Mois : novembre 2017 Page 1 of 2

Les 3 bonnes choses

plant tea flower petal rose food holiday rest pink teacup relaxation icing beauty porcelain rose petals pleasure vacations the drink flowering plant flower bouquet centrepiece land plantBut : faire un bilan positif, voir le bon côté des choses, cultivez un regard neuf sur les événements de notre quotidien, développer l’optimisme et se sentir plus heureuse.

Voici comment procéder :

Chaque jour, avant de vous coucher, repensez à votre journée et notez sur un carnet prévu à cet effet trois choses positives c’est- à-dire des moments ou sensations qui vous ont rendu heureuse dans cette journée et pour lesquelles vous éprouvez de la gratitude.

Chaque jour, la vie nous offre de petits cadeaux dont nous n’avons pas toujours conscience : de l’eau qui coule pour votre douche, une parole attentionnée, un éclat de rire, une sensation de bien-être après une séance de sport, un rayon de soleil, un sourire, une chanson enivrante, un bon film, le ronron de votre matou, les arômes d’un bon thé fleuri, etc.

Tous ces petits événements agréables sont des cadeaux de la journée auxquels nous avons tendances à ne plus prêter attention. Et pourtant, ils sont tellement importants pour notre bien-être.

Prenez un temps pour ressentir cette émotion de plaisir ou de gratitude que vous avez éprouvez et qui vous anime à nouveau.

Pour chaque événement rapporté, répondez à l’une de ces questions :

-> réfléchissez à la façon dont vous avez pu/ su créer ces moments ?
-> “pourquoi c’est arrivé ?”
-> “quelle est sa signification ?”
-> “comment faire pour que cela arrive encore à l’avenir ?”

Cet exercice quotidien permet d’être reconnaissant (à qui ou ce que vous voulez) pour tout ce qui nous arrive de bien et également de ne rien prendre pour acquis. Ils permettent d’entrer en contact avec la meilleure part de nous-même.

Il n’est donc pas nécessaire de chercher très loin pour trouver le bonheur.

Pour savourer ces petits bonheurs, vous pouvez :

-> soit les partager en famille à l’heure du souper ou avant de se coucher ;
-> soit les noter chaque soir dans un petit carnet.

Pour les plus sceptiques, afin de briser les résistances internes : faites “comme si” pendant un temps, et vous verrez que cela marche. Avec le temps, l’esprit suit les mots et le changement émotionnel s’opère.

creatricesdubonheur.com

Les 12 lois pour se créer un environnement positif

Le développement personnel, c’est apprendre à s’apprivoiser, à vivre en harmonie. Cette psychologie représente un ensemble de courants de pensées et de méthodes destinées à l’amélioration de la connaissance de soi.

Cela passe par la valorisation de ses talents et de ses potentiels, à l’amélioration de sa qualité de vie en passant par la réalisation de ses aspirations et de ses rêves.

C’est la relation à l’autre, mais aussi la relation à soi. C’est un long combat vers l’épanouissement personnel, mais comment faire ? Dans cet article, on vous donne les clés pour évoluer dans un environnement positif vous permettant de développer votre être intérieur.

  1. Pour attirer du positif, envoyez du positif

Plus vous serez optimiste et donnerez aux autres votre joie de vivre, mieux ils se comporteront avec vous. C’est le principe du cercle vertueux ; plus vous rayonnez, mieux votre entourage vous le rendra.

  1. Allez vers des personnes épanouies

Le secret de la réussite personnelle nécessite d’aller vers les personnes quie elles-mêmes, ont connu le succès. Comme par contagion, la réussite des autres vous donnerez la volonté d’y arriver et de vous surpasser pour réussir.

  1. Surmontez toute jalousie par l’imitation

Jalouser ceux qui réussissent ne vous fera pas atteindre l’épanouissement personnel. Au contraire, mieux vaut les imiter ! En effet, imiter une personne qui vous fascine révèlera en vous votre potentiel et vos talents naturels. 

  1. Remplacez le reproche par la compréhension

Après avoir surmonter le vice de la jalousie, vous devez également arrêter les reproches. Pour ce faire, essayez de vous mettre à la place de l’autre et tentez de comprendre. 

  1. Faites le tri dans vos relations

Créer un environnement positif passe aussi par la maîtrise de ses relations. Commencez d’abord par faire le tri dans celles-ci. Si vous conservez des relations qui vous détruisent et ne vous apportent plus rien de constructif, laissez-les partir.

  1. Soyez ouvert(e) à la rencontre

Rencontrer de nouvelles personnes est le signe que vous êtes en pleine évolution ! Savoir laisser partir certaines personnes, c’est aussi savoir laisser la place à d’autres.

  1. Entourez vous de bonnes personnes

Mais pour s’entourer de personnes positives, encore faut-il les reconnaître… Une personne bonne pour vous est quelqu’un qui vous dynamise, qui fait rennaître en vous le meilleur. Elle vous comprend, vous inspire, vous permet d’avancer. 

  1. Soyez clair(e) sur ce que vous voulez

Pour se créer un environnement positif, il est important de connaître ses propres limites pour ne pas subir les actions des autres. Faites savoir ce que vous êtes, ce que vous aimez, mais surtout ce que vous voulez dans la vie. Ainsi, vous éviterez de nombreux conflits ! 

  1. Soyez reconnaissant(e) envers l’autre

La reconnaissance, en voilà un mot qui fait peur. Cela passe par un “merci” sincère à quelqu’un que l’on aime. Ne cherchez pas de raison particulière, il vous suffit d’apprécier le moment présent et d’exprimer vos sentiments à ceux qui comptent pour vous. 

  1. Choisssez les meilleurs lieux de vie

Privilégiez les lieux de vie où vous vous sentez bien. Le positif se trouve aussi dans les lieux que vous choisissez, alors faites le tri dans vos endroits favoris et préférez les meilleurs d’entre eux. Ceux qui vous font du bien, tout simplement.

  1. Soyez toujours prêt(e) pour l’action

Lancez-vous, soyez à l’affut de toute nouvelle aventure. Sortir de sa zone de confort car “le chemin vers le succès est souvent dépaysant”. Découvrez de nouvelles choses, de nouvelles saveurs, soyez curieux ! 

  1. Filtrez les mauvaises nouvelles

Enfin, pour s’entourer d’un environnement positif, quoi de mieux que de n’avoir que de bonnes ondes autour de soi ? Filtrer les mauvaises nouvelles, c’est faire abstraction de certaines choses, de certaines idées. Il s’agit d’arriver à trouver un certain équilibre dans votre vie.

Emmanuelle Ringot    www.marieclaire.fr

Éloge de la solitude

Beaucoup en ont peur. La fuient. N’osent pas l’affronter. Et d’ailleurs, vivre seul(e) n’est pas toujours très bien accepté. Et si la solitude était pourtant une richesse. Voire une aubaine ? Explications avec Jacqueline Kelen, écrivain, auteure de L’esprit de solitude (Ed. La Renaissance du livre).

Eloge de la solitude

Pourquoi faire l’éloge de la solitude ?

La solitude est un thème éminemment humain et dans un même temps, terriblement repoussé. Car on associe le plus souvent la solitude à l’isolement, à la séparation, au deuil, à l’abandon et donc à une grande forme de détresse. La solitude ressemble donc à épouvantail monstrueux qu’il faut fuir à tout prix. Dans notre société, il n’est pas “normal” de rester seul(e), d’en être heureux, tout comme cela paraît suspect de ne pas vouloir d’enfant. Car beaucoup ne réalisent pas que choisir la voie solitaire, ce n’est pas vivre comme une âme en peine, abandonnée de tous.

De mon point de vue, c’est la solitude qui nous fait passer du statut d’homme mortel à celui d’être humain. Car elle nous met en contact direct avec nous-mêmes et nous offre un accès privilégié à notre richesse intérieure. Elle nous offre l’opportunité de nous découvrir, de rendre chacun d’entre nous unique et de nous ouvrir pleinement aux autres. Elle nous délivre de l’isolement, en nous faisant passer du “moi”, conditionné et dépendant car toujours en rapport aux autres, au “je” libre et responsable.
La solitude est notre maturité.

Comment apprendre à “positiver” sa solitude ?

La solitude est souvent perçue comme une épreuve quand on l’expérimente après une rupture, un abandon, un deuil. Alors plutôt que de tenter de la fuir, il faut faire face et traverser cette épreuve. En se disant que c’est l’occasion d’une rencontre avec soi et une ouverture sur tous les possibles. Au lieu de penser que l’on ne peut plus rien faire, que l’on devient inutile parce que l’on est seul, il faut au contraire plonger au plus profond de soi pour découvrir toutes les richesses que l’on possède.

Pour ce faire, je conseille souvent d’écrire. D’écrire dans un carnet ou un cahier, toutes les choses que l’on aimerait faire ou vivre, tous les rêves qui nous habitent sans laisser s’installer le barrage du rationnel.
Et interrogez-vous sur ce qui vous en empêche. C’est bien souvent le regard des autres. Prenez alors conscience que c’est vous qui créez votre vie, qui en êtes responsable, et non les autres. La solitude nous offre cette belle leçon : il faut d’abord attendre de soi et non des autres. Il faut d’abord savoir compter sur soi et s’aider soi-même. Et les autres viendront vers vous car ils ne seront pas là pour, en premier lieu, combler vos manques ou animer votre vie.

Est-il important de se ménager des moments de solitude quand on vit en couple ou en famille ?

Oui, car il est toujours important de garder le contact avec soi-même. Quand on vit en couple ou en famille, on finit trop souvent par croire que l’on n’existe plus sans l’autre. Il est donc important de cultiver son jardin secret, de prendre du temps pour soi sans culpabiliser (ce n’est pas un acte égoïste ! ), voire de se ménager un petit territoire bien à soi dans l’espace géographique familial.

Une autre façon de se retrouver avec soi-même peut passer par la méditation. Le simple fait de rester chaque jour, assis un quart d’heure sans bouger, les yeux clos, dans le silence, est un formidable moyen de s’enraciner au plus profond de soi-même, et donc dans sa vie. Sans qu’il y ait pour autant d’implication religieuse ou spirituelle. Ce sont juste des retrouvailles intimes, un moment que l’on s’offre pour s’écouter, se comprendre, se recentrer. Et d’une certaine manière, se respecter.

Laurence Ravier   http://www.psychologies.com

Et si vous acceptiez ce que la vie vous offre ?

Quand les peurs ou ce que l’on ne veut pas sont le chemin…

Qui mieux que la vie sait ce qui est bon pour nous ?
Souvent, on va tenter de comprendre le mécanisme de création ou de manifestation, alors qu’il n’y a rien a comprendre.

Il n’y a pas de chemin meilleur ou moins bien.
Il n’y a pas de route toute tracée.
Rien n’est écrit d’avance.

Quand la vie nous met sur la route des événements ou des situations qui nous font peurs, souvent (toujours?!!), c’est le chemin à prendre.

:: Face à un choix, de quelle manière procédez-vous pour être sûre de faire le bon ?
:: Prenez-vous la facilité, ce qui fait moins peur, ou allez-vous vers ce qui vous fait peur en sentant que c’est peut-être la voie la plus courte ?

Il n’y a pas de hasard, je pense que vous le savez.
La vie mettra toujours sur notre route ce qu’il nous faut au moment juste.

D’ailleurs, est-ce la vie ou notre âme qui nous a poussé en ce lieu, face à cette situation, ou à faire cette rencontre ?
Ou à lire cette publication…
Tout est lié.

Alors, laissez-vous guider par votre âme et le flux de la vie.

Tout ce que nous rencontrons sur notre route est parfait.
Peut-être que ça ne nous plait pas parce que ça ne répond pas à nos attentes, mais ce sera le chemin que votre âme aura choisi.

Et rappelez-vous la dernière fois que vous avez fait quelque chose qui vous faisait peur ?

:: Comment vous sentiez-vous après ?
N’avez-vous pas senti cette force intérieure, celle qui vous anime au plus profond de vous?

Ce processus est la puissance féminine en action.
C’est la force de vie.
La vie qui coule à travers vous.

Accueillez-vous ce tout qu’elle vous offre ?

Tentez une journée simplement, ne lui refusez rien, accueillez tout ce qu’elle vous propose, ce sera juste le début d’une très belle histoire…

Karine    http://www.essenti-elles.com

En finir avec la souffrance

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« La douleur et la souffrance sont inévitables tant et aussi longtemps que vous êtes identifié à votre mental, c’est-à-dire inconscient spirituellement parlant. Je fais ici surtout référence à la souffrance émotionnelle, également la principale cause de la souffrance et des maladies corporelles. Le ressentiment, la haine, l’apitoiement sur soi, la culpabilité, la colère, la dépression, la jalousie, ou même la plus petite irritation sont sans exception des formes de souffrance. Et tout plaisir ou toute exaltation émotionnelle comportent en eux le germe de la souffrance, leur inséparable opposé, qui se manifestera à un moment donné. N’importe qui ayant déjà pris de la drogue pour « décoller » sait très bien que le « planage » se traduit forcément par un « atterrissage », que le plaisir se transforme d’une manière ou d’une autre en souffrance. Beaucoup de gens savent aussi d’expérience avec quelle facilité et rapidité une relation intime peut devenir une source de souffrance après avoir été une source de plaisir. Si on considère ces polarités négative et positive en fonction d’une perspective supérieure, on constate qu’elles sont les deux faces d’une seule et même pièce, qu’elles appartiennent toutes deux à la souffrance sous-jacente à l’état de conscience dit de l’ego, à l’identification au mental, et que cette souffrance est indissociable de cet état.

Il existe deux types de souffrance : celle que vous créez maintenant et la souffrance passée qui continue de vivre en vous, dans votre corps et dans votre mental. Maintenant, j’aimerais vous expliquer comment cesser d’en créer dans le présent et comment dissoudre celle issue du passé.

La plus grande partie de la souffrance humaine est inutile. On se l’inflige à soi-même aussi longtemps que, à son insu, on laisse le mental prendre le contrôle de sa vie.

La souffrance que vous créez dans le présent est toujours une forme de non-acceptation, de résistance inconsciente à ce qui est. Sur le plan de la pensée, la résistance est une forme de jugement. Sur le plan émotionnel, c’est une forme de négativité. L’intensité de la souffrance dépend du degré de résistance au moment présent, et celle-ci, en retour, dépend du degré d’identification au mental. Le mental cherche toujours à nier le moment présent et à s’en échapper. Autrement dit, plus on est identifié à son mental, plus on souffre. On peut également l’énoncer ainsi :

PLUS ON EST À MÊME DE RESPECTER ET D’ACCEPTER LE MOMENT PRÉSENT, PLUS ON EST LIBÉRÉ DE LA DOULEUR, DE LA SOUFFRANCE ET DU MENTAL.

Tant que vous êtes incapables d’accéder au pouvoir de l’instant présent, chaque souffrance émotionnelle que vous éprouvez laisse derrière elle un résidu. Celui-ci fusionne avec la douleur du passé, qui était déjà là, et se loge dans votre mental et votre corps. Bien sûr, cette souffrance comprend celle que vous avez éprouvée enfant, causée par l’inconscience du monde dans lequel vous êtes né.

Cette souffrance accumulée est un champ d’énergie négative qui habite votre corps et votre mental. Si vous la considérez comme une entité invisible à part entière, vous n’êtes pas loin de la vérité. Il s’agit du corps de souffrance émotionnel. Il y a deux modes d’être : latent et actif. Un corps de souffrance peut être latent 90 % du temps. Chez une personne profondément malheureuse, cependant, il peut être actif tout le temps. Certaines personnes vivent presque entièrement dans leur corps de souffrance, tandis que d’autres ne le ressentent que dans certaines situations, par exemple dans les relations intimes ou les situations rappelant une perte ou un abandon survenus dans leur passé, au moment d’une blessure physique ou émotionnelle. N’importe quoi peut servir de déclencheur, surtout ce qui écho à un scénario douloureux de votre passé. Lorsque le corps de souffrance est prêt à sortir de son état latent, une simple pensée ou une remarque innocente d’un proche peuvent l’activer.

Le corps de souffrance ne désire pas que vous l’observiez directement parce qu’ainsi vous le voyez tel qu’il est. En fait, dès que vous ressentez son champ énergétique et que vous lui accordez votre attention, l’identification est rompue. Et une dimension supérieure de la conscience entre en jeu. Je l’appelle la présence. Vous êtes dorénavant le témoin du corps de souffrance. Cela signifie qu’il ne peut plus vous utiliser en se faisant passer pour vous et qu’il ne peut plus se régénérer à travers vous. Vous avez découvert votre propre force intérieure. Vous avez accédé au pouvoir de l’instant présent.

Plusieurs corps de souffrance sont exécrables mais relativement inoffensifs, comme c’est le cas chez un enfant qui ne cesse de se plaindre. D’autres sont des monstres vicieux et destructeurs, de véritables démons. Certains sont physiquement violents, alors que beaucoup d’autres le sont sur le plan émotionnel. Ils peuvent attaquer les membres de leur entourage ou leurs proches, tandis que d’autres préfèrent assaillir leur hôte, c’est-à-dire vous-même. Les pensées et les sentiments que vous entretenez à l’égard de votre vie deviennent alors profondément négatifs et autodestructeurs. C’est ainsi que les maladies et les accidents sont souvent générés. Certains corps de souffrance mènent leur hôte au suicide.

Si vous pensiez connaître une personne, ce sera tout un choc pour vous que d’être pour la première fois confrontée soudainement à cette créature étrange et méchante. Il est cependant plus important de surveiller le corps de souffrance chez vous que chez quelqu’un d’autre.

Remarquez donc tout signe de morosité, peu importe la forme qu’elle peut prendre. Ceci peut annoncer le réveil du corps de souffrance, celui-ci pouvant se manifester sous forme d’irritation, d’impatience, d’humeur sombre, d’un désir de blesser, de colère, de fureur, de dépression, d’un besoin de mélodrame dans vos relations, et ainsi de suite. Saisissez-le au vol dès qu’il sort de son état latent.

Le corps de souffrance veut survivre, tout comme n’importe quelle autre entité qui existe, et ne peut y arriver que s’il vous amène à vous identifier inconsciemment à lui. Il peut alors s’imposer, s’emparer de vous, « devenir vous » et vivre par vous. Il a besoin de vous pour se « nourrir ». En fait, il puisera à même toute expérience entrant en résonance avec sa propre énergie, dans tout ce qui crée davantage de douleur sous quelque forme que ce soit : la colère, un penchant destructeur, la haine, la peine, un climat de crise émotionnelle, la violence et même la maladie. Ainsi, lorsqu’il vous aura envahi, le corps de souffrance créera dans votre vie une situation qui reflétera sa propre fréquence énergétique, afin de s’en abreuver. La souffrance ne peut soutenir qu’elle-même. Elle ne peut se nourrir de la joie, qu’elle trouve vraiment indigeste.

Lorsque le corps de souffrance s’empare, vous en redemandez. Soit vous êtes la victime, soit le bourreau. Vous voulez infliger de la souffrance ou vous voulez en subir, ou bien les deux. Il n’y a pas grande différence. Vous n’en êtes pas conscient, bien entendu, et vous soutenez avec véhémence que vous ne voulez pas de cette souffrance. Mais si vous regardez attentivement, vous découvrez que votre façon de penser et votre comportement font en sorte d’entretenir la souffrance, la vôtre et celle des autres. Si vous en étiez vraiment conscient, le scénario disparaîtrait de lui-même, car c’est folie pure que de vouloir souffrir davantage et personne ne peut être conscient et fou en même temps.

En fait, le corps de souffrance, qui est l’ombre de l’ego, craint la lumière de votre conscience. Il a peur d’être dévoilé. Sa survie dépend de votre identification inconsciente à celui-ci et de votre peur inconsciente d’affronter la douleur qui vit en vous. Mais si vous ne vous mesurez pas à elle, si vous ne lui accordez pas la lumière de votre conscience, vous serez obligé de la revivre sans arrêt. Le corps de souffrance peut vous sembler un dangereux monstre que vous ne pouvez supporter de regarder, mais je vous assure que c’est un fantôme minable qui ne fait pas le poids face au pouvoir de votre présence.

Lorsque vous commencerez à vous désidentifier et à devenir l’observateur, le corps de souffrance continuera de fonctionner un certain temps et tentera de vous amener, par la ruse, à vous identifier de nouveau à lui. Même si la non-identification ne l’énergise plus, il gardera un certain élan, comme la roue de la bicyclette continue de tourner même si vous ne pédalez plus. A ce stade, il peut également créer des maux et des douleurs physiques dans diverses parties du corps, mais ceux-ci ne dureront pas.

Restez présent, restez conscient. Soyez en permanence le vigilant gardien de votre espace intérieur. Il vous faut être suffisamment présent pour pouvoir observer directement le corps de souffrance et sentir son énergie. Ainsi, il ne peut plus contrôler votre pensée.

Dès que votre pensée se met au diapason du champ énergétique de votre corps de souffrance, vous y êtes identifié et vous le nourrissez à nouveau de vos pensées.

Par exemple, si la colère en est la vibration énergétique prédominante et que vous avez des pensées de colère, que vous ruminez ce que quelqu’un vous a fait ou ce que vous allez lui faire, vous voilà devenu inconscient et le corps de souffrance est dorénavant « vous-même ». La colère cache toujours de la souffrance.

Lorsqu’une humeur sombre vous vient et que vous amorcez un scénario mental négatif en vous disant combien votre vie est affreuse, votre pensée s’est mise au diapason de ce corps et vous êtes alors inconscient et ouvert à ses attaques. Le mot « inconscient », tel que je l’entends ici, veut dire être identifié à un scénario mental ou émotionnel. Il implique une absence complète de l’observateur.

L’attention consciente soutenue rompt le lien entre le corps de souffrance et les processus de la pensée. C’est ce qui amène la métamorphose. Comme si la souffrance alimentait la flamme de votre conscience qui, ensuite, brille par conséquent d’une lueur plus vive. Voilà la signification ésotérique de l’art ancien de l’alchimie : la transformation du vil métal en or, de la souffrance en conscience. La division intérieure est résorbée et vous devenez entier. Il vous incombe alors de ne plus créer de souffrance.

Concentrez votre attention sur le sentiment qui vous habite. Sachez qu’il s’agit du corps de souffrance. Acceptez le fait qu’il soit là. N’y pensez pas. Ne transformez pas le sentiment en pensée. Ne le jugez pas. Ne l’analysez pas. Ne vous identifiez pas à lui. Restez présent et continuez d’être le témoin de ce qui se passe en vous. Devenez conscient non seulement de la souffrance émotionnelle, mais aussi de « celui qui observe », de l’observateur silencieux. Voici ce qu’est le pouvoir de l’instant présent, le pouvoir de votre propre présence consciente. Ensuite, voyez ce qui se passe.

Le processus que je viens de décrire est profondément puissant mais simple. On pourrait l’enseigner à un enfant, et espérons qu’un jour ce sera l’une des premières choses que les enfants apprendront à l’école. Lorsque vous aurez compris le principe fondamental de la présence, en tant qu’observateur, de ce qui se passe en vous – et que vous le « comprendrez » par l’expérience -, vous aurez à votre disposition le plus puissant des outils de transformation.

Ne nions pas le fait que vous rencontrerez peut-être une très grande résistance intérieure intense à vous désidentifier de votre souffrance. Ce sera particulièrement le cas si vous avez vécu étroitement identifié à votre corps de souffrance la plus grande partie de votre vie et que le sens de votre identité personnelle y est totalement ou partiellement investi. Cela signifie que vous avez fait de votre corps de souffrance un moi malheureux et que vous croyez être cette fiction créée par votre mental. Dans ce cas, la peur inconsciente de perdre votre identité entraînera une forte résistance à toute désidentification. Autrement dit, vous préféreriez souffrir, c’est-à-dire être dans le corps de souffrance, plutôt que de faire un saut dans l’inconnu et de risquer de perdre ce moi malheureux mais familier.

Examinez cette résistance. Regardez de près l’attachement à votre souffrance. Soyez très vigilant. Observez le plaisir curieux que vous tirez de votre tourment, la compulsion que vous avez d’en parler ou d’y penser. La résistance cessera si vous la rendez consciente. Vous pourrez alors accorder votre attention au corps de souffrance, rester présent en tant que témoin et ainsi amorcer la transmutation.

Vous seul pouvez le faire. Personne ne peut y arriver à votre place. Mais si vous avez la chance de trouver quelqu’un d’intensément conscient, si vous pouvez vous joindre à cette personne dans l’état de présence, cela pourra accélérer les choses. Ainsi, votre propre lumière s’intensifiera rapidement. Lorsqu’une bûche qui commence à peine à brûler est placée juste à côté d’une autre qui flambe ardemment et qu’au bout d’un certain temps elles sont séparées, la première chauffera avec beaucoup plus d’ardeur qu’au début. Après tout, il s’agit du même feu. Jouer le rôle du feu, c’est l’une des fonctions du maître spirituel. Certains thérapeutes peuvent également remplir cette fonction, pourvu qu’ils aient dépassé le plan mental et qu’ils soient à même de créer et de soutenir un immense état de présence pendant qu’ils s’occupent de vous.

La première chose à ne pas oublier est la suivante :

TANT ET AUSSI LONGTEMPS QUE VOUS VOUS CRÉEREZ UNE IDENTITÉ QUELCONQUE À PARTIR DE LA SOUFFRANCE, IL VOUS SERA IMPOSSIBLE DE VOUS EN LIBÉRER.

Tant et aussi longtemps que le sens de l’identité sera investi dans la souffrance émotionnelle, vous sabotez inconsciemment toute tentative faite dans le sens de guérir cette souffrance ou y résisterez d’une manière quelconque. Pourquoi ? Tout simplement parce que vous voulez rester intact et que la souffrance est fondamentalement devenue une partie de vous. Il s’agit là d’un processus inconscient, et la seule façon de le dépasser est de le rendre conscient.

Réaliser soudainement que vous êtes ou avez été attaché à votre souffrance peut-être la cause d’un grand choc. Mais dès l’instant où cette prise de conscience a lieu, l’attachement est rompu.

Un peu comme une entité, le corps de souffrance est un champ énergétique qui se loge temporairement à l’intérieur de vous. C’est de l’énergie vitale qui est prise au piège et ne circule plus.

Bien entendu, le corps de souffrance existe en raison de certaines choses qui se sont produites dans le passé. C’est le passé qui vit en vous, et si vous vous identifiez au corps de souffrance, vous vous identifiez par la même occasion au passé. L’identité de victime est fondée sur la croyance que le passé est plus puissant que le présent, ce qui est contraire à la vérité. Que les autres et ce qu’ils vous ont fait sont responsables de ce que vous êtes maintenant, de votre souffrance émotionnelle ou de votre incapacité à être vraiment vous-même.

La vérité, c’est que le seul pouvoir qui existe est celui propre à l’instant présent : c’est le pouvoir de votre propre présence à ce qui est. Une fois que vous savez cela, vous réalisez également que vous-même et personne d’autre êtes maintenant responsable de votre vie intérieure et que le passé ne peut pas l’emporter sur le pouvoir de l’instant présent.

L’inconscience le crée, la conscience le métamorphose. Saint Paul a exprimé ce principe universel de façon magnifique : « On peut tout dévoiler en l’exposant à la lumière, et tout ce qui est ainsi exposé devient lui-même lumière. » Tout comme vous ne pouvez vous battre contre l’obscurité, vous ne pouvez non plus vous battre contre le corps de souffrance. Essayer de le faire créerait un conflit intérieur et, par conséquent, davantage de souffrance. Il suffit de l’observer et cela suppose l’accepter comme une partie de ce qui est ce moment. »

Eckhart Tolle

Extrait de « Mettre en pratique le pouvoir du moment présent » (Ariane Editions)

Quand notre corps ne suit plus, c’est qu’il est grand temps de l’écouter!

Si nous étions sages, nous serions constamment à l’écoute des signaux de notre corps : il nous dit clairement ce dont il a besoin chaque jour : plus de repos, une meilleure alimentation, moins de choses dommageables pour lui, un meilleur environnement, des relations plus harmonieuses, des aliments sains et simples, plus de mouvements, d’exercices, moins de stress et de tensions, plus de plaisir et plus d’amour!

Notre corps, c’est notre meilleur ami, notre meilleur allié. Comment se fait-il que nous ne l’écoutions pas plus souvent? Pourquoi ne sommes-nous pas à son service plutôt que d’exiger qu’il soit à notre service?

Nous n’avons qu’un seul corps et que cela nous plaise ou non, nous devons en prendre soin comme la prunelle de nos yeux!

Car si le corps ne suit plus, comment réaliser notre mission sur terre?

Trop souvent, nous étirons l’élastique et nous dépassons nos limites physiques et mentales. Nous voulons prouver à tout un chacun que nous sommes tellement productifs, performants, fiables, responsables. Nous nous demandons beaucoup plus que ce que les autres exigent de nous! Et nous finissons tôt ou tard par excéder les limites physiques de notre corps. À partir de là, nous avons beau continuer de nous en demander autant, le corps ne suit plus.

L’estime de soi, c’est aussi apprendre à respecter, honorer même ce corps qui habite notre âme, celui qui nous sert pour toute cette vie, le seul que nous aurons. Si nous n’en prenons pas soin, nous en paierons chèrement le prix. Le repos est aussi important que l’exercice!

Tout s’imprègne dans notre corps : nos émotions refoulées, nos colères ravalées, nos peines secrètes, nos blessures enfouies… Nous lui en demandons tellement et pourtant, que lui offrons-nous en retour? De la malbouffe, un manque de sommeil, un environnement hostile, des exigences toujours plus élevées, un manque d’exercices…

Notre santé, notre corps est ce que nous avons de plus précieux. Dommage qu’il nous faille parfois attendre de perdre la santé pour enfin l’apprécier!

Prenons donc soin de notre corps chaque jour, ce véhicule divin qui nous permet de nous réaliser et d’aimer. Ne le méprisons pas, ne le négligeons pas, ne l’oublions pas. Car notre corps lui, ne nous oubliera pas!

Diane Gagnon    http://lasolutionestenvous.com/

Le souffle, ce pont entre l’inconscient et le conscient

Pourquoi aller chercher si loin le bonheur, quand on sait que le souffle est notre meilleur allié pour le trouver ! En effet, il est toujours présent auprès de nous, ne nous laissant jamais seul, suivant chacun de nos états émotionnels, et chacune de nos pensées. Mais il est souvent méconnu et rarement utilisé. Quelques conseils pour apprivoiser cet allié de taille et ainsi s’appuyer dessus pour aider le corps à se libérer des tensions et souffrances du passé.

Le souffle, un outil magique dont il faut prendre soin

Nous le savons, de nombreuses manifestations physiques, de type nœud au ventre ou cœur serré, sont directement liées à la respiration. En effet, la moindre tension dans le corps impacte le souffle qui se trouve réduit, entraînant ainsi un enchaînement de conséquences : le diaphragme qui avait pour habitude de monter et descendre à chaque souffle, pas moins de 21 000 fois par jour quand même, se retrouve bloqué et quasi immobile. Il ne remplit plus son rôle de massage doux et régulier des viscères, et les intestins qui sont laissés à eux-mêmes, sans ce bon massage commencent à ralentir leur travail.

De plus, ces effets se cumulent avec le déclin du souffle lié à l’âge. Oui, car le souffle change au cours des âges de la vie. Le changement le plus perceptible est la localisation du souffle dans le corps. Un bébé ou un jeune enfant respire de façon spontanée avec une respiration abdominale marquée. Les différents stress et traumatismes de la vie impactent peu à peu la musculature du diaphragme, et le plexus solaire notamment. Ils vont se tendre, puis se crisper pour finir par se bloquer. Nous sommes alors obligés de gonfler exagérément la poitrine ou même de monter les épaules pour respirer.

Cependant ! Vous pouvez modifier cette évolution ! En effet, elle n’est pas inéluctable, elle n’est pas naturelle, elle est le fruit d’une méconnaissance du souffle et de son importance et d’une méconnaissance des pratiques à notre disposition pour contrecarrer ce blocage progressif. Les pratiques comme celle du yoga ou de la méditation de pleine conscience, accordent une place prépondérante au souffle et sont orientées vers une liberté du corps et une grande souplesse de la musculature de la cage thoracique qui favorise amplitude et rythme régulier du souffle. Alors, quelque soit votre âge et l’origine des blocages, il est possible de redonner de la mobilité au diaphragme, de redresser le buste pour libérer la cage thoracique, de prendre conscience du souffle et de le chérir comme un compagnon toujours présent à nos côtés !

Le souffle, pont entre l’inconscient et le conscient

Le souffle présente deux facettes :

  • Une automatique ou inconsciente : Au cours de la journée, et même de la nuit, la respiration se fait automatiquement sans que nous ayons besoin de la provoquer.
  • Une consciente : On peut retenir son souffle volontairement, lui imprimer un rythme, choisir de respirer par le nez ou la bouche, etc.

Il s’avère que le souffle est la seule fonction du corps qui possède ces deux facettes. Il devient alors très intéressant car les multiples expériences faites depuis des millénaires ont mis en lumière que l’action consciente sur le souffle avait des répercussions sur les fonctions inconscientes ou inatteignables par la volonté seule. C’est pour cette raison que le souffle est directement impacté par la vie émotionnelle et mentale, et une observation attentive nous fera découvrir qu’une forte agitation mentale accélère le souffle, qu’un stress le modifie alors que le souffle devient plus ample et profond quand nous sommes en état de calme intérieur.

De nombreuses techniques de recherche du bonheur s’adressent à la gestion des émotions et à la psychologie humaine, ne serait-il pas intéressant pour être complet de s’adresser également au corps et à ce qui l’anime : le souffle ? Il s’avère que celui-ci agit comme un dissolvant des tensions, avec un pouvoir régénérateur. Ces dimensions du souffle sont peu pratiquées et sont puissantes. Des séries d’exercices simples nous permettent de restaurer les éléments physiques et respiratoires qui favorisent l’état de santé.

Le souffle, une porte vers le moment présent

Dans les traditions spirituelles de l’Inde, le souffle est un véritable vecteur de l’énergie, il met en relation l’individu avec le Tout, l’Univers, à chaque expiration la vie s’en va et revient, et à chaque inspiration jusqu’au dernier souffle…

La particularité du souffle est qu’il est permanent, omniprésent et toujours disponible à l’observation. Ainsi celui qui observe son souffle, ne peut se situer dans le passé, ni dans le futur. Celui qui observe son souffle est immanquablement dans le moment présent. C’est pour cela qu’il sert de support de méditation de façon récurrente tant dans le yoga que dans les techniques méditatives bouddhistes.

Alors, pas besoin de courir pour trouver une heure pour méditer, ou devoir s’organiser pour pratiquer. A chaque instant, à tout instant nous pouvons reprendre la conscience de notre souffle et l’observer sans le modifier. Nous serons alors pleinement présents et détendus ! Respirez !

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Vous êtes votre plus grand guide !

Et si vous repreniez confiance en vous ?

Dans un monde où les choses vont vite, trop vite et dans lequel des choix multiples s’offrent à vous à chaque instant, comment trouver son juste chemin ? Il ne s’agit pas du bon ou du mauvais chemin, mais de celui qui est le votre. Et si votre intériorité, l’être divin que vous êtes était votre solution ? Vous êtes votre plus grand guide.

Prendre conscience de son intériorité

Il est en chacun de vous une corde vibratoire qui vous rappelle à votre justesse. Lorsqu’elle se manifeste, vous savez que vous êtes sur le chemin le plus juste pour vous. Certains l’appellent le centrage, d’autre le divin, d’autre encore l’intuition. Peu importe le nom que vous lui donnerez, mémorisez cet état. Suivez cette vibration. Suivez cette sensation qui, lorsqu’elle se manifeste, vous donne la sentiment d’être à votre place car vous êtes dans l’ici et maintenant et rien ne pourrait changer ça.

Cette incarnation est un espace de limites et de contraintes physiques. Elle vous invite à prendre conscience de l’être que vous êtes dans son entier. Elle met certaines frontières entre les êtres. Pour autant ces frontières ne restent que physiques. D’un point de vue énergétique, vous êtes tous reliés les uns aux autres. Vous avez tous en vous la mémoire collective de cette planète qui vous accueille. Vous recevez sans arrêt des informations subtiles en lien avec l’extérieur de votre corps. Vous êtes un récepteur en continu.

Conversation intime avec le monde

Vos sens sont ainsi constamment stimulés et vous invitent à épouser ce qu’il se passe tout autour de vous. C’est une tentation et une attraction constante qui ne s’arrêtera pas. La vie vous offre un panel d’aventures et d’expériences sensitives qui éveillent la totalité de vos sens à chaque instant. Prenez un instant pour vous rendre compte de l’intensité douce et discrète de cette conversation. Ressentez le vent sur votre peau, écoutez les bruits et humez ces odeurs qui se diffusent tout autour de vous. Soyez à l’écoute de ce que vous captez. Vous êtes un être d’énergie qui avance au contact d’autres énergies.

Vous êtes un être unique

Ici, dans cet espace, vous êtes présent. Dans cette présence, vos sens vous racontent une histoire. Chaque énergie qui vient vous toucher, vous ramène à votre intériorité la plus profonde. Elle allume une mémoire, une part de votre être qui vous est propre. C’est ce qui fait de vous un être unique. J’insiste sur votre unicité. Vous êtes un être UNIQUE. Pour autant, vous êtes reliés à tout ce qui vous entoure. C’est la toute la difficulté de votre incarnation : vivre dans votre unicité en restant connecté au monde dans lequel vous évoluez.

Retrouver l’équilibre esprit-corps-émotions-spiritualité

J’observe que beaucoup d’entre vous se perdent dans l’immensité de ce vécu. La stimulation et l’attraction de leur vie entraine un perte de lien avec leur intériorité profonde. Ils n’arrivent plus à se placer ou à prendre les décisions qui s’avèrent les plus justes pour eux. Par réflexe, l’esprit se met en marche pour analyser la masse d’informations qui se présente et faire le choix le plus optimal. Votre esprit est un allié infini. Pour autant, il ne peut occuper tout l’espace de votre champ de décision. Il ne peut tout savoir et n’a pas accès à l’ensemble des informations. L’esprit fait des choix conscients et inconscients. Il choisit de prendre ou de ne pas prendre en compte les éléments d’une situation. L’esprit s’adapte.

Je le répète : c’est un merveilleux allié qui ne doit pas devenir le despote de votre vie.

Alignez-vous. Centrez-vous. Allez dans la pleine conscience de ce que vous vivez. Retrouvez le chemin vers votre espace d’expression intérieur. Vous êtes des êtres complexes et d’une richesse incommensurable. Accepter chaque sursaut, chaque vibration et chaque message qui se dessine dans votre corps. Observez vos lumières intérieures, écoutez les messages qui se diffusent en vous. Soyez attentifs aux sensations qui vous invitent à observer le monde sous un autre angle. Toutes ces informations sont votre richesse et vous conduiront à vous placer dans l’ici et le maintenant. Chacun d’entre vous connait déjà cet état. Chacun d’entre vous a déjà ressenti, l’espace d’un instant, cette sensation d’être au bon endroit, au bon moment et de ne vouloir être nul part ailleurs. Chacun d’entre vous connait ce soulagement et ce plaisir à être relié au tout, tout en étant relié à soi. Se vivre dans son unicité sans rejeter le monde est votre plus belle aventure. C’est alors accepter d’écouter les deux univers dans leur conversation la plus intime. C’est porter une attention sur votre intériorité au contact du monde extérieur.

Trouvez votre centre

Je sais à quel point l’équilibre est fragile. Mais votre intériorité est l’expression même de ce que vous êtes. Trouvez la voie la plus juste pour vous. Trouvez la voie qui vous conduira à reprendre contact avec votre intériorité. Retirez toute notion de lourdeur et de gravité dans ce processus. Ceci est un cheminement que vous pouvez opérer dans le jeu. Voici une petite piste…

Prenez une situation précise sur laquelle vous vous sentez peut-être perdu ou en hésitation. Prenez une feuille. Inscrivez toutes les options et les envies qui se présentent à vous. Une à une, prenez le temps de les formuler. Puis, pendant un instant, imaginez que vous ne connaissez aucune limite, aucune contrainte et que tout est possible. Vraiment, faite-le : vous avez tout l’amour disponible autour de vous, tout l’argent dont vous avez besoin et rien ne peut vous empêcher d’atteindre vos souhaits les plus profonds. Que se passe-t-il a cet instant ? Quelle voie se présente à vous ? Quel chemin se dessine clairement ? Votre voix intérieure vient de se faire entendre. Vous avez votre piste, votre chemin, votre prochain pas.

Vos potentiels intérieurs sont la clé de votre libération…

Modelez votre monde en prenant conscience de votre univers intérieur…

Imaginez un monde dans lequel votre pensée se matérialiserait devant vous. Imaginez un monde dans lequel votre imagination n’a pas de limite… Pouvez-vous croire que tout ce que vous souhaitez se réalise ? Je vous l’affirme tout ce que vous croyez, imaginez ou souhaitez profondément, prend vie juste devant vous. Alors comment créer votre monde ?

Épousez-vous une bonne fois pour toute !

Soyons honnêtes quelques instants… Nous, les êtres humains, nous passons une grande partie de notre temps à prendre en compte l’autre : à ce qu’il pourrait penser, à ses besoins, ses attentes ou encore ses envies. En ce même temps, nous passons au second plan. Pourtant, l’être à qui vous avez fait une promesse en vous incarnant dans votre vie c’est VOUS. Prendre conscience que la personne avec qui vous allez vivre toute votre vie c’est VOUS est important. Il ne s’agit pas ici de ne penser qu’à vous égoïstement. Il s’agit de revenir à l’essentiel, et l’essentiel réside en vous. Et oui, dès votre naissance, c’est un mariage d’âme, d’énergie et de matière qui s’est opéré ! Vous-vous êtes incarné pour vivre une expérience qui vous est personnelle.

Vous êtes le centre de votre univers

Vous êtes un être unique connecté au monde. Dans votre connexion, je vous invite à prendre conscience que c’est en vous que l’univers s’exprime. C’est au travers de vous que la vie se dessine. C’est grâce à vous, qu’à chaque instant, de nouveaux jours se dessinent. Vous êtes au centre de votre monde. C’est par votre existence que l’univers est ce qu’il est aujourd’hui. Il est peut-être difficile de le comprendre mais je vous demande de recevoir et d’accueillir cette idée. Prenez un instant pour vous imaginer comme une énergie puissante qui vibre en continue. Chaque vibration que vous émettez est reçue et vous est renvoyée en retour. Vous pouvez alors comprendre que ce qui se dessine autour de vous existe déjà en vous. De même que ce qui n’existe pas en vous, ne se manifeste pas autour de vous. Pour être plus précise, vous êtes réceptif à ce qui existe en vous. Lorsque cela n’existe pas, vous ne le percevez pas. Ainsi, le monde est à l’image de ce que vous êtes ! Vous êtes le centre de votre monde.

La danse de l’univers

Allons un peu plus loin : si je suis le centre de mon monde et que vous êtes le centre de votre monde, alors je comprends que c’est une danse infinie qui se déroule tous les jours en nous et autour de nous. Une danse qui permet à nos univers de s’unir et se détacher au fil de nos évolutions respectives. Il n’y a pas un univers vers lequel nous devons tous nous diriger : nos mondes se mélangent et se mêlent pour créer de nouveaux espaces communs. Dans cette même danse énergétique, votre univers continue d’alimenter l’énergie qui circule en tout lieu et à tout moment. Vous êtes à vous seul une source de création infinie ! Par vos choix, vos croyances, vos élans, vos envies et vos intentions, vous impulsez votre propre rythme. En restant dans votre énergie et dans votre centre, vous invitez d’autres univers à créer un espace commun. Vous permettez aux autres de danser avec vous et vous laissez les univers trop différents danser sur leur rythme propre dans leur espace.

Prenez conscience de votre pouvoir (création)

Prendre conscience de votre pouvoir devient alors essentiel. Vous avez le pouvoir sur ce que vous êtes et qui vous êtes. Vous avez le pouvoir de modifier et de transformer votre monde. Vous êtes puissant dans tout ce que vous entreprenez simplement parce que vous envoyez votre vibration. Soyez-en convaincu. Plus vous allez dans votre vibration, plus vous pouvez étendre sa puissance. Plus vous croyez en votre pouvoir de création, plus sa vibration grandit et voyage au delà de l’espace que vous pouvez vous imaginer. Chaque peur, restriction ou croyance limitante que vous mettez en place est une porte que vous fermez dans le champ des possibles. De ce fait, chaque barrière que vous levez est une possibilité et un espace de création dans lequel le flux de la vie peut venir s’installer.

Transformer votre vie

Prenez un instant pour réfléchir sur une situation qui vous bloque ou qui semble vous contraindre. Mettez des mots sur vos ressentis et libérez vos pensées. Prenez le temps d’écrire tout ce qui vous traverse. Vous avez alors un aperçu du monde que vous habitez ou plutôt le monde que vous avez créé. Regardez chaque porte qui vous semble fermée. Sur une deuxième feuille, je vous propose de reprendre toutes les limites et les blocages que vous avez noté. Faites-en la liste. C’est ici que va pouvoir intervenir la magie. Fermez les yeux et regardez le creux de vos mains. Vous pouvez y voir les clés. Vous avez toutes les clés pour transformer les murs que vous rencontrez et ouvrir les portes qui se sont fermées. Faites preuve d’imagination. Accueillez le champ des possibles dans toute sa puissance. Si vous n’aviez aucune limite, que pourriez-vous faire ? Qu’auriez-vous envie de faire ? Quel serait votre élan le plus profond ? Je vous demande de noter à coté de chaque point de votre liste la réponse qui réside au plus profond de vous.

En cet instant, vous avez reconnecté avec votre vibration pure, votre fil énergétique. Dans cet élan réside votre ouverture et votre essence de vie. Ressentez-le, vivez-le dans votre intériorité. Réintégrez-le dans votre cœur : imprégnez-vous pour vibrer votre essence de tout votre être. Laissez cette énergie agir et vous ouvrir un nouvel univers.

http://perlelouise.fr/

Pourquoi nous lisons tous les faits divers : 6 raisons

 

Nous cliquons tous sur les faits divers 

Allez, avouez-le ! Vous aussi, vous cliquez sur les faits divers. Vous ne savez pas trop pourquoi, mais vous êtes bien souvent happé par cette ‘une’ un peu glauque.

Rien d’anormal. D’ailleurs si les médias nous proposent toujours plus de fait-divers, c’est bien que ces articles rapportent un bon nombre de lecteurs !

D’où vient notre attrait pour cette rubrique sordide ? Il suffit que les mots « meurtre », « massacre », « viol » ou « torture » soient écrits pour que l’envie nous prenne d’en savoir plus. Plus c’est macabre, plus ça fait de l’audience.

Docteur, c’est quoi notre problème au juste ?

Les 6 raisons du clic catastrophe

En dix ans, le nombre de faits divers dans les JT a augmenté de 73 %

Le fait divers : ce voyeur

Nous avons tous un réflexe un brin voyeur. Nous sommes bien souvent curieux et aimons connaître l’intimité du voisin. Au fond, nous le savons. Ce voyeurisme nous « excite » au quotidien. Qu’il s’agisse de connaître la nouvelle conquête de votre collègue ou le dernier potin concernant votre voisin. Cela ne nous sert à rien, mais c’est ainsi.

Et le sordide n’y échappe pas. Citons ces bouchons gigantesques sur l’autoroute. Nous sommes tous envahis par ce sentiment de honte, lorsque, ralentissant à notre tour, nous jetons un œil sur le monospace qui vient de s’encastrer dans la glissière de sécurité… Y aurait-il quelques viscères à admirer ? A quoi bon ?

Ce voyeurisme n’est pas très élégant mais l’homme est ainsi fait.

Le fait divers : ce consolateur

Le fait divers rassure: savoir que nous ne sommes pas la victime du psychopathe pervers qui a égorgé une famille ordinaire dans une bourgade sans histoire, c’est plutôt une bonne nouvelle !

Cela permet de relativiser un peu les tracas de son quotidien même si quelques minutes après on a déjà oublié la promesse qu’on vient de se faire : « il faut profiter de la vie car tout peut arriver ! ».

Finalement, tant que notre nom n’est pas dans le journal, nous sommes tous de petits veinards. Autant savourer la chance qu’on a d’avoir encore nos quatre membres et de ne pas s’être fait tronçonner au milieu d’un bois.

Le fait divers : ce lien social

Un fait divers, c’est comme un bon potin. On aime le suivre à la manière d’une série américaine et on attend avec impatience la suite de l’enquête. C’est un feuilleton à part entière et c’est excitant puisque la fiction fait irruption dans la réalité !

En plus, le suspens peut durer des mois voire des années. Beaucoup estiment alors que le fait divers permet de créer du lien social entre les individus. Cela nous donne des choses à raconter et un sujet commun sur lequel partager nos opinions ! D’ailleurs, le verbe nous vient assez facilement quand il s’agit de narrer quelques détails sordides.

Le fait divers : cet amour du négatif

Quand tout va mal, tout va bien ! C’est un peu absurde mais le négatif emporte souvent la bataille dans nos vies. Plus c’est noir, plus notre égo est satisfait puisqu’il peut émettre quelques pleurnicheries sur lui-même et sur l’espèce humaine à laquelle il appartient.

Le fait divers est un procédé journalistique qui s’appuie sur des ressorts psychologiques puissants. Notamment sur notre tendance à vouloir trouver des sources de complaintes permanentes et des raisons de se déresponsabiliser.

Le fait divers : cette raison de trouver un coupable

Un bon petit meurtre quelque part où personne ne s’y attendait, c’est assurément le signe d’une société en déperdition et d’un système qui dysfonctionne. D’ailleurs, cet homicide tombe à pic car on ne savait pas trop sur quoi pester ce matin.

Un fait divers est l’occasion rêvée d’accuser les politiques, les économistes, les mondialistes, la justice et le boucher (si ce métier n’existait pas, il y aurait moins de couteaux et de hachettes sur le marché, non ? ). Et d’ailleurs, si on sautait sur cette occasion pour extrapoler à notre voisin que l’on ne supporte pas sous prétexte qu’il est de la même région, de la même religion, de la même famille.

De l’émotion dans un feuillet

Finalement un fait divers juteux, résumé en quelques lignes, nous fait économiser le prix de la location d’Hostel en DVD. Puisqu’on aime se faire peur, ressentir des picotements dans le ventre et se fasciner pour la face sombre de la nature humaine, le fait divers à toutes ses raisons d’être. C’est un condensé express de sensations fortes.

Mais soyons bien conscient des raisons pour lesquelles nous les lisons et de leurs conséquences sur notre humeur. Combien de fois avons-nous refermé le journal en concluant un « on ne peut plus faire confiance à personne ! ». Pas sûr alors que notre appétence pour le macabre nous aide à être plus heureux.

Se focaliser sur un fou, qui hélas, a coupé les jambes de sa voisine n’a aucune raison d’être ! Car au fond, vous, votre voisin, vous l’aimez bien.

Conclusion, vous fermez votre journal ou votre page web avec un sentiment négatif !

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