Mois : janvier 2018 Page 1 of 2

Suivez votre cœur et oubliez les normes pour devenir la personne que vous êtes censé être

Suivez votre coeur

Les gens disent qu’en restant optimiste, on est plus heureux et en meilleur santé. Enfant on nous apprend à sourire, à être de bonne humeur, à faire bonne figure, puis adulte on nous dit de voir le bon côté des choses, faire contre mauvaise fortune bon coeur, voire le verre à moitié plein. Mais régulièrement la réalité, nous force à arrêter la mélodie du bonheur. Vous pouvez tomber malade, votre copain peut vous trompez, vos amis peuvent vous décevoir. C’est dans ces moments là qu’on a le plus envie d’être soi même, de tomber le masque et de montrer son vrai visage, angoissé, malheureux.

Grey’s Anatomy – Meredith

Que voulez-vous dans votre vie?

Qu’avez-vous toujours souhaité accomplir?

Qu’est-ce qui vous a donné le courage de continuer quand vous étiez au plus mal?

La réponse à ces questions est l’une des clés les plus importantes du bonheur dans votre vie. Ainsi, vous ne devez pas retenir la réponse.

Qu’est-ce que vous aimez vraiment? Ne me donnez pas les réponses étiquetées avec une étiquette socialement acceptable. Je veux que vous disiez la vérité absolue, que feriez-vous si vous aviez toutes les ressources à votre disposition? Si quelque chose était possible.

Vous ne devez pas retenir votre passion, nommez-la et défendez-la. C’est votre drapeau. Vous devez donner toute votre énergie pour que tout cela arrive. Vous devez l’embrasser, vous ne devez pas le retenir.

Ce monde vous aimera comme vous êtes. Vous devez simplement lever le voile des émotions factices et de la fausse identité que vous avez créée. Les gens qui vous aiment aimeront vos cicatrices, vos rêves, vos formes et vos couleurs.

Vous êtes magnifique, et c’est grâce à votre propre identité. Vous avez traversé beaucoup de choses dans votre vie et vous résistez. Vous êtes une personne courageuse. Vous devez laisser sortir votre vrai moi. Vous avez simplement besoin de vos mots, vos intérêts, vos passions, vos bras et votre feu.

Les gens peuvent d’abord être jaloux de vous, ils peuvent vous envier. Mais c’est parce que vous êtes capable de faire ce dont ils ne peuvent que rêver.

Une fois que vous aurez commencé, vous devrez continuer votre voyage car peu à peu vous serez ce que vous êtes censé êtes! Vous découvrirez une grande force. Vous découvrirez que vous êtes une âme unique. Vous découvrirez la beauté et le plaisir.

Vous éblouirez. Vous brillerez.

J’espère avoir réussi à provoquer au moins quelque chose de positif en vous.

« Sois toi-même. Tout le monde est déjà pris. » Oscar Wilde

Romain CALISSE   www.espritsciencemetaphysiques.com

Sortez de cette troisième dimension pour vous éveiller à plus grand !

L’image contient peut-être : nuage et eau

C’est en préparant votre jardin intérieur à labourer, à enlever les mauvais herbes, à arroser que la lumière vient à vous et sortir de cette 3ième dimension.

Mais si vous restez en troisième dimension, là, l’enjeu est plus difficile. Ce sont vos corps émotionnels qui prendront le dessus et de manière beaucoup plus puissante, ils auront de l’emprise. Ces émotions auront de l’emprise sur vous si vous n’êtes pas solide, bien ancré, dans votre corps sacré de lumière, dans votre cœur vibral. C’est le seul endroit pour monter en fréquence, sachez-le.

Ce message est porteur de hautes fréquences. Vous absorbez en ce moment ces douces fréquences en vous. Cette vibration qui illuminera tout autour de vous les émotions qui sont stagnantes en vous. Sachez que tout est vibration alors soyez vous aussi une vibration d’amour, une vibration de lumière que vous envoyez partout autour de vous.

Soyez de ceux qui sont venus sur cette planète pour ce grand jour. Affairez-vous quotidiennement à vous unir à plus grand que vous, en vous. C’est le seul chemin pour arriver à bon port. Les choses inutiles n’ont plus lieu d’être en ces temps de grâce. Ne perdez plus votre temps. Soyez vigilant puisque toutes les raisons sont bonnes pour s’éloigner de son sacré. Soyez conscient, conscient de vos gestes, conscient de votre vie, conscient de vos actions.

Nous apportons dans ce message des cristaux d’éveil, des pépites de lumière qui entrent en vous comme un rayon pour éveiller vos codes christiques en vous, pour vous ouvrir à plus, à plus grand.

Soyez fidèle à ce que vous recevez du dedans. Plus vous êtes éveillé, plus votre source vous guide, alors soyez attentif, le chemin est devant vous. Prenez le temps de respirer cette lumière qui entre en vous. Des douches de lumière actuellement sont déversées sur la planète, soyez-en conscient et respirez cette lumière quand vous sentez une vague arriver en vous. Respirez-la, c’est de cette manière que nous arriverons au point de convergence. Soyez des phares lumineux. Sortez de cette troisième dimension pour vous éveiller à plus grand, à plus. Vos corps énergétiques sont préparés maintenant pour cela. Expérimentez la lumière en vous. Ce message contient une dose de fréquences pour vous aider en ce sens.

Sachez que nous sommes là pour protéger votre planète. Nous sommes les gardiennes des océans. Sachez que nous sommes un nombre assez grand pour protéger votre planète. Nous venons d’un autre plan et nous travaillons avec d’autres dimensions, sur des plans subtils. Sachez que vous n’êtes pas seul, des êtres d’une grande beauté sont autour de vous pour vous aider à faire cette traversée. Nous vous aimons.
www.effetbaleine.com

J’ai décidé d’arrêter de trouver des excuses aux gens qui m’entourent

 

Avant, j’avais pour mauvaise habitude de trouver des excuses aux gens, j’imaginais toutes sortes de scénarios pour essayer d’expliquer et d’excuser leur comportement étrange ou je croyais à mes propres mensonges pour essayer d’éviter le sentiment de déception.

Mais j’ai fini par réaliser que plus vous trouvez d’excuses aux gens, plus la blessure finit par être profonde. Plus vous vous mentirez, plus ils iront loin dans leurs mensonges. J’ai donc décidé d’arrêter de leur trouver des excuses.

Désormais, je ne cherche plus à lire entre les lignes des messages qu’ils m’envoient, car les gens qui vous aiment vraiment vous enverront toujours des messages que vous n’aurez pas besoin d’analyser ou de remettre en question.

Je ne tolère plus les gens qui parlent trop et qui n’agissent pas assez, je me fie uniquement à leurs actions désormais.

Je ne fais plus d’exceptions pour les personnes qui n’en font aucune pour moi.

Je ne cherche plus à me frayer un chemin parmi les gens qui ne veulent de moi que lorsque ça leur convient.

J’ai décidé d’arrêter d’être là pour les gens qui n’étaient pas là lorsque j’avais besoin d’eux.

Désormais, je ne tends plus la main aux gens qui répondent uniquement quand ils en ont envie.

Avant je pensais que les gens répondaient à la gentillesse avec gentillesse, mais maintenant je sais que certains répondent à la gentillesse avec égoïsme.

J’ai arrêté de penser que les gens pouvaient être trop occupés et qu’ils n’avaient pas une minute pour écrire quelques mots. En réalité, tout est une question de priorités.

Maintenant, je suis rationnel et moins compréhensif, je ne me complique plus la vie.

Ceux qui m’aiment trouveront des moyens d’être là et ceux pour qui je ne compte pas réellement trouveront des raisons de s’enfuir. C’est aussi simple que cela.

Les gens qui vous aiment vous le montreront, vous le diront. Les autres ne vous aimeront que lorsqu’ils auront besoin de votre amour et vous oublieront dès qu’ils auront eu ce qu’ils veulent.

Ceux qui vous voudront dans leur vie feront un effort, resteront en contact, se souviendront de votre anniversaire et des dates importantes et ne passeront pas des mois sans prendre de vos nouvelles. Ceux qui ne le font pas seront toujours bloqués dans la zone grise entre les étrangers et les amis ou les amis et les amants.

J’arrête de voir les gens en gris. Ils sont soit noirs ou blancs. Soit ils vous aiment, soit ils vous détestent. Ils cherchent des excuses pour ne pas faire partie de votre vie ou trouvent des raisons d’en faire partie.

Stéphanie R   www.espritsciencemetaphysiques.com

10 leçons de vie puissantes de l’Alchimiste de Paulo Coelho

 

leçons de vie puissantes de l’Alchimiste de Paulo Coelho

L’alchimiste de Paulo Coelho est l’un des livres les plus vendus de l’histoire. C’est l’histoire de Santiago, un berger en route pour réaliser sa « Légende personnelle », qui a inspiré des personnes du monde entier à réaliser leurs rêves.Voici dix des passages et des leçons les plus populaires à appliquer à votre vie.

10 leçons de vie puissantes de l’Alchimiste :

1. La peur est un obstacle plus grand que l’obstacle lui-même

Mon cœur craint de souffrir, dit le jeune homme à l ‘alchimiste, une nuit qu’ils regardaient le ciel sans lune. Dis-lui que la crainte de la souffrance est pire que la souffrance elle-même. Et qu’aucun n’a jamais souffert alors qu’il était à la poursuite de ses rêves.

Toute poursuite nouvelle nécessite l’entrée dans un territoire inexploré – c’est effrayant. Mais avec un grand risque vient une grande récompense. Les expériences que vous gagnez dans la poursuite de votre rêve en vaudront la peine.

2. Ce qui est « vrai » durera toujours.

Si ce que tu as trouvé est fait de matière pure, cela ne pourrira jamais. Et tu pourras y revenir un jour. Si ce n’est qu’un instant de lumière, comme l’explosion d’une étoile, alors tu ne retrouveras rien à ton retour. Mais tu auras vu une explosion de lumière. Et cela seul aura déjà valu la peine d’être vécu

Lorsque vous êtes à la recherche de la «bonne» décision, sera récompensé celui qui résiste à l’épreuve du temps.

3. Casser la monotonie.

Quand tous les jours sont ainsi semblables les uns aux autres, c’est que les gens ont cessé de s’apercevoir des bonnes choses qui se présentent dans leur vie.

La gratitude est la pratique de reconnaître le bien chaque journée. La vie peut facilement devenir stagnante, banale et monotone, mais cela change en fonction de ce que nous choisissons de voir.

4. Enlacer le présent.

Parce que je ne vis ni dans mon passé, ni dans mon avenir. Je n’ai que le présent, et c’est lui seul qui m’intéresse. Si tu peux demeurer toujours dans le présent, alors tu seras un homme heureux

Il ne sert à rien de résider dans le passé, ni de vous perdre en vous inquiétant de l’avenir. Dans le moment présent, vous êtes ouvert à toutes les possibilités – trouver comment vous engager avec le moment présent changera votre vie.

5. Devenir une meilleure version de vous-même crée un effet d’entraînement

C’est ce que font les alchimistes. Ils montrent que, lorsque nous cherchons à être meilleurs que nous le sommes, tout devient meilleur aussi autour de nous.

La croissance, le changement et l’évolution se tissent au sein de la réalité. Devenir une meilleure version de vous-même crée un effet d’entraînement, une attraction qui profite à tout ce qui vous entoure: votre style de vie, votre famille, vos amis, votre communauté.

6. Prendre des décisions.

Quand quelqu’un prend une décision, il se plonge en fait dans un courant impétueux qui l’emporte vers une destination quil n’a jamais entrevue, même en rêve.

Les actions découleront de la confiance de votre décision; Rester assis à attendre ne vous mènera nulle part.

7. Soyez quelque peu irréaliste.

Je vois le monde comme je souhaiterais que les choses se produisent, et non comme elles se produisent réellement.

Certaines des plus grandes inventions n’auraient pas eu lieu si les gens choisissaient d’accepter le monde tel qu’il est. Les grandes réalisations et innovations émergent d’une mentalité qui ignore l’impossible.

8. Continuez à escalader.

Le secret de la vie, c’est de tomber sept fois et se relever huit fois

Certains des plus grands romans de l’histoire ont été publiés après avoir reçu des centaines de refus. Heureusement, ces auteurs n’ont jamais abandonné.

9. Concentrez-vous sur votre propre voyage.

Tout le monde semble avoir une idée précise sur la façon dont les autres devraient mener leur vie mais aucune sur la leur.

Il est facile d’être influencé par les autres, mais vous serez misérable si vous finissez par vivre la vie de quelqu’un d’autre. Il n’y a rien de mal à prendre des conseils et à apprendre des autres, mais assurez-vous que ceux-ci s’alignent avec vos désirs et vos passions.

10. Toujours agir.

Il n’y a qu’une seule façon d’apprendre. C’est par l’action. 

Vous pouvez étudier, lire et écouter, mais l’expérience complète est quand vous prenez des mesures et des actions.

Maxime Follet   https://www.espritsciencemetaphysiques.com

Faire ou être ?

Aujourd’hui nous allons parler des temps actuels. Des temps où les énergies y sont désormais complètement différentes. Des énergies de la Conscience dans lesquelles nous baignons de plus en plus. Ces dernières sont là pour nous aider, voir même pour nous pousser à nous retrouver nous m’aime. À retrouver notre état de Conscience Supérieur dans le but de nous élever, de nous affranchir des bas états de conscience, ou si vous préférez, de nous affranchir de la dualité qui s’exprime encore en nous.

 Alors en ces temps de Grâce il n’est pas rare de se retrouver dans une configuration de Vie plus légère. Une configuration où nous n’avons parfois pas grand chose à FAIRE. Ce n’est bien sûr pas tout le monde qui vit cela, mais surtout pas tout le monde qui le vit en même temps. Car nos calendriers quantiques sont simplement différents, dans le sens personnel et personnalisé du terme.

 Ainsi donc certains d’entre nous comme je le mentionnais ci-avant, se retrouvent avec du temps, et de l’espace, pour ÊTRE.

À quoi cela peut t’il bien servir et quel en est le but?

Ceci a pour objectif de nous pousser vers nous m’aime. De nous tourner vers notre intérieur. De nous poser. De nous reposer. Nous ressourcer. De nous retirer du vacarme extérieur si nous en avons besoin. De profiter d’un espace vital plus accru, plus aéré. D’avoir plus de liberté au sens temporel du terme. Le tout au profit d’un quotidien plus productif.

 Non pas plus productif dans le sens de FAIRE. Mais plus productif dans le sens de pouvoir plus facilement recouvrer notre ÊTRE. Un face à face parfois délicat car nous ne sommes plus très habitués à nous percevoir sous toutes nos coutures. Percevoir nos carences, ce qui nous cause du tord, ce qui nous sabote le moral parfois même.

Alors que retenir de tout ça?

Et bien tout simplement de ne pas vous inquiéter si vous vivez des périodes de non-FAIRE car il s’agit là d’un exercice nécessaire pour vous contraindre à vous retrouver, à renouer avec votre ÊTRE Supérieur. Et ce quelque soit la durée dont vous avez besoin pour vivre ce réajustement profond et tant attendu depuis bien longtemps.

 Ayez donc CONFIANCE en votre cheminement personnel, qui et ce malgré les apparences, ne vous veut que du bien.

 ÊTRE C’EST ÉGALEMENT FAIRE

 Jérôme RodAnge   www.guidancelumiere.com

Vivre l’instant présent

Aujourd’hui je vais vous parler de l’instant présent, ce seul et unique instant qui n’a jamais existé. Ce seul instant oui car il n’est pas possible de vivre en dehors de maintenant.

Même si vous étiez capable de vous déplacer dans le temps, car le temps est relatif, vous ne feriez que changer d’instant, ce qui implique donc que votre seule destination possible sera toujours le Présent.

 Il est ainsi assez évident d’établir un constat simple, constat qui nous indique qu’il n’y a pas autre chose que ce seul et unique instant, et que de ce fait, il serait plus que judicieux, pour ne pas dire vital, de nous y plonger et de le vivre pleinement. C’est à dire, de passer le moins de temps possible dans une appréhension du futur qui n’existe que dans notre tête, ou dans un regret du passé qui la encore n’existe que dans notre tête.

 J’entends bien ne pas condamner notre possibilité de faire des projets d’avenir ou de guérir des blessures du passé. Mais il s’agit bien là de tout autre chose :

NE PLUS FUIR CET INSTANT PRÉSENT.

 Ne plus le fuir en passant la majorité de nos journées dans notre tête (passé/futur), mais embrasser pleinement le moment présent, y être présent, y être dédié, y être impliqué, et ce quelque en soit son contenu, que ce dernier soit approuvé ou non.

 En effet, il n’est pas ressourçant de vivre dans l’attente d’un lendemain plus verdoyant, d’une situation ou d’un contexte différent de ce que l’instant présent nous offre.

Cela n’est pas judicieux car cette habitude, bien qu’il n’y ai rien de mal à cela, finira par nous éloigner de plus en plus de l’instant présent, et ce de façon chronique.

 Ainsi donc, et surtout si nous souhaitons vivre dans un état de Conscience plus harmonieux, nous avons tout intérêt à embrasser le plus souvent possible ce seul et unique instant dans lequel nous vivons.

Car jamais vous ne réussirez à vous sentir pleinement vivant en dehors du seul instant qui vous relie à la Vie, qui vous relie et vous aligne avec vos parts Supérieures, avec l’Univers dans son ensemble.

 Jamais personne n’a canalisé une pensée inspirante en dehors de ce seul instant dans lequel se retrouver en phase avec Soi même et avec le Tout.

Alors ceci étant dit, et si vous souhaitez vivre un quotidien plus inspirant et plus en alignement avec vous même, alignez-vous autant que faire ce peut dans cet instant qui peut tout, à partir du moment où vous le côtoyez.

 VIVEZ L’INSTANT !

 Jérôme RodAnge    www.guidancelumiere.com

Sourire ou souffrir

Aujourd’hui les Guides m’invitent à vous parler de la notion de souffrance qui bien souvent est davantage générée par le mental qui à son tour déclenche les émotions indésirables correspondantes. J’entends par là que bien souvent nous souffrons gratuitement dans notre tête qui a l’habitude, voir la maladie chronique, de s’inventer des histoires à caractère dramatique concernant notre parcours actuel et aussi à venir. Des histoires oui, ou si vous préférez des projections qui ne reposent sur absolument rien, si ce n’est la PEUR, qui elle est également chronique à sa manière.

 Ainsi donc, il s’agit de se rendre compte à quel point plus de 99% de nos craintes s’avèrent n’avoir été fondées sur rien d’autre que du vide. Ou si vous préférez, il s’agit là de pensées qui ne vous appartiennent pas. Des pensées reliées à la pensée collective. Pensée collective fortement conditionnée par la programmation mentale, programmation issue des manipulations ancestrales bien connues à ce jour.

 Alors que faire de tout ça?

 Dans un premier temps, le reconnaître. C’est à dire se rendre compte à quel point nous nous tournons en bourrique alors que rien d’important ou de réel ne justifie ce remue ménage incessant et à ce jour parfois même épuisant. Puis dans un second temps il s’agit d’opter entre l’habitude (SOUFFRIR) ou le juste état de Conscience (SOURIRE).

 Le juste état de Conscience car cet état vous est initialement naturel. Alors dans la mesure du possible, optez pour le SOURIRE à la Vie, et ce quelque en soit son contenu. Car vous n’avez nul besoin de changer votre réalité pour pouvoir exprimer votre nature. Ce qu’il vous faut plutôt c’est la “prise de Conscience” qu’il vous est possible d’inverser cette tendance à partir du moment où votre détermination alimentera ce changement.

 SOURIEZ !

 Jérôme RodAnge   www.guidancelumiere.com

J’ai le droit de ne rien faire et de ne pas être parfait(e) !

J’ai le droit de ne rien faire ! Plus encore… j’ai le droit de ne pas être parfait(e).

Peut-on ÊTRE nous-mêmes, simplement, tel que nous sommes ?
Avec tout ce que cela comporte, TOUT.
La vie est ce qu’elle est, avec ses hauts et ses bas ; la joie et la tristesse, la peur et l’amour… Avec TOUT ce qui EST ! Rien n’est ni bien, ni mal.
L’invitation est d’Être AVEC ce qui EST, c’est TOUT !
Voyons avec lucidité ce monde que nous avons fabriqué à notre convenance, selon NOS critères, NOS valeurs, NOS croyances. Voyons le décalage qu’il y a très souvent entre ce que nous pensons et ce que nous sommes Véritablement! Entre un événement tel qu’il est et ce que nous projetons de celui-ci, avec toutes les histoires que nous y ajoutons. Entre la réalité de ce qui EST et ce qui se raconte dans notre tête en pensant à cela.
Ceci nous amène à Être vrai, authentique, honnête et à Voir que ce qui semble parfois être imparfait, est en fait ce que nous nommons « la Vie ».
Et celle-ci, fait ce qu’elle a à faire, lorsque c’est le temps de le faire, c’est tout !
Quelque soit l’expérience que nous vivons, aussi atroce ou enchanteresse soit-elle… elle va passer, parce que TOUT PASSE, oui TOUT PASSE!

Il n’y a rien à éviter, à nier, à transcender, à guérir… Soyons réalistes!
Il n’y a pas plus tard…. Il n’y a pas de paradis à la fin de nos jours.
La seule réalité qui soit : ICI et MAINTENANT… AVEC ce qui EST.

Ginette Forget   http://ginetteforget.blogspot.ca/

Le travail…, ce n’est pas la santé !

Ainsi le travail contrairement au dicton de mon enfance ne serait pas la santé ! Intuitivement, puis je le dire sans fausse modestie, je l’ai pressenti très tôt dans mon enfance que le travail fatiguait, et surtout que son excès nuisait à la santé et à l’équilibre personne, au travers d’un conflit jamais résolu entre faire ce que l’on veut et faire ce que l’on doit faire. Je viens d’avoir la confirmation, établie par plusieurs scientifiques américains que le travail, c’est une certitude maintenant, est nuisible à la santé, entraîne de nombreux troubles, coûte cher à la société. Cela nous est confirmé avec une étude conduite par un professeur de l’Université de Caroline du Nord.Mais l’inactivité aussi, semble nuisible à un bon équilibre. Il nous faudra donc trouver un juste milieu entre travail et loisir, entre temps d’activité et de repos, entre agitation et rêve, ce qui me semble relever du bon sens.

Car cette étude nous dit aussi que la mortalité semble diminuer avec l’augmentation du chômage. Quand on est dans cette situation d’avoir à rechercher un emploi, du travail, on vit (certainement) moins confortablement, mais apparemment plus longtemps. Ainsi, d’après l’étude du professeur américain, quand la croissance économique se détériore, il semble que certaines maladies diminuent. Tout se passe comme si dans le combat pour la survie (car être au chômage longue durée est un véritable combat pour l’existence et le respect de soi) nous entraînait paradoxalement à nous porter mieux. Attention, il ne s’agit pas de conclure en faisant un éloge de la pauvreté, où une invitation à se maintenir au chômage… mais de s’ouvrir à une réflexion sur notre relation avec le travail.

Nous découvrons grâce à ces scientifiques, que l’attention, la mémoire sont stimulées par une grasse matinée ou une bonne sieste, que le cerveau est plus actif, disponible après un temps de repos, que le temps consacré au rêve éveillé, à bailler aux corneilles (qui n’existent pratiquement plus) est salutaire. Quand nous avons l’esprit clair, dégagé peu encombré de pensées autour “des choses à faire…” le stress diminue, nos relations aux autres sont plus souples, plus ouvertes, plus gratifiantes.

Dans ma jeunesse, j’ai souvent entendu ma mère invoquer deux valeurs vitales à son existence :

« Pourvu qu’on ait du travail et la santé ». Elle associait vaillamment ces deux notions sans penser un seul instant, qu’elles pourraient aussi se combattre et se faire du tort l’une à l’autre !

Il y avait bien de temps en temps, un voisin, une connaissance ou un proche qui succombait, qui disparaissait parce que, murmurait la rumeur publique, “il s’était crevé à la tâche !”. On attribuait dans mon milieu populaire, tout cela au patron, “un exploiteur”, “un suceur de sang”, disait-on !

C’est vrai qu’il fallait être en bonne santé, en ce temps-là, pour pouvoir travailler 12 à 14 h par jour, et durer le plus longtemps possible, “travailler jusqu’au bout” pour ne pas être à la charge des autres.

Donc aujourd’hui, entre un assistanat social dominant pour certains, un béquillage pharmacologique au quotidien pour d’autres, qui amollit, atténue les défenses, diminue les immunités et trop de travail pour beaucoup, (les 50 H sont largement dépassées dans beaucoup de secteurs). Ou encore un travail tellement morcelé, qu’il nous éparpille. Nous avons, les uns et les autres, à trouver un chemin pour rester non seulement vivants mais en santé. J’ai quand même toujours en moi, la nostalgie de ce temps, pas si lointain, où l’on pouvait dire “le travail, c’est la santé”, car le plaisir du bien faire, de la tache bien accomplie, du travail bien exécuté donnait une dynamique de vie extraordinairement encourageante et confirmait une estime de soi, qui semble nous faire défaut aujourd’hui.

Jacques Salomé    www.j-salome.com/

Quelle définition avez-vous de vous m’aime ?

Haute définition

Nous vivons une époque où nous regardons sur nos écrans plats des films en Haute Définition. Par contre, quand il s’agit de nous-mêmes nous avons tendance à visualiser des définitions, limitatives et enfermantes.

Nous nous enfermons dans les définitions que nous avons de nous –mêmes.

La plupart de celles-ci nous ont été transmises et inculquées par l’extérieur.

Un partie inconsciente de nous à dit « Oui » et, à notre insu nous modelons notre comportement, nos habitudes et nos actes pour « coller à cette définition ».

La plupart de des définitions sont limitatives, enfermantes, dévalorisantes. Ce sont celles-ci qui tissent la trame de notre devenir.

Exemple :

« Je suis au chômage, j’ai des problèmes d’argent depuis des années, je n’arrive pas à m’en sortir et à mon âge il n’y a aucune raison valable pour que çà change ».

Ce genre de définition agit comme une sentence au niveau de la conscience et  nous place dans un statut de pauvre créature impuissante, ballottée par le destin collectif.

Au lieu de nourrir cette définition emprisonnante, il suffit d’oublier le passé et de changer le paradigme.  Effacer le passé, en disant par exemple «  Je suis une créature responsable, créative, sur le chemin du meilleur de moi-même et des opportunités magnifiques vont se présenter à moi aujourd’hui ».

La première pensée du matin génère le climat de la journée. On peut se dire : «  encore une journée de boulot, çà va être la galère, et puis en plus  il pleut »   ou «  qu’est ce que je vais bien pouvoir faire aujourd’hui pour être heureux, tiens il pleut mais çà va pas durer ».

Celui qui se réjouit sans cause chaque matin, simplement parce qu’il est vivant, se tisse un bel avenir, la joie de vivre le rend en meilleure santé.

Celui qui râle ou se plaint tout le temps, n’est pas reconnaissant de ce qu’il a (la vie) se tisse un chemin épineux.

Certes, il ne s’agit pas de jouer l’autruche et de ne pas voir la réalité du présent mais d’accepter ce qui est, de sortir d’une zone de lutte intérieure  pour entrer dans une zone de paix, car c’est là et nulle part ailleurs que l’inspiration surgit.

Personne d’autre que nous  peut dire « Je Suis » à notre place et c’est par ces deux mots magiques que nous élaborons la définition que nous avons de nous-mêmes et que nous créons cette réalité.

« Profite de chaque moment, ta vie c’est maintenant »

Christian Duval   http://lagazettedewydyr.over-blog.com/

Page 1 of 2

Fièrement propulsé par WordPress & Thème par Anders Norén