Mois : février 2018 Page 1 of 2

La vie demande notre participation active

Il existe aujourd’hui de nombreuses méthodes (prouvées scientifiquement ou non ) pour améliorer notre vie dans ce que nous cherchons à transformer : notre richesse, notre apparence, notre état d’être, notre poids…

Qui n’a pas papillonné d’un livre à l’autre avec cette certitude que cette fois ça allait fonctionner… Après tout, l’auteur est convaincu et vous prouve par A+B l’efficacité de ses conseils.

Mais nous sommes tous unique et ce qui peut convenir à l’un ne correspond pas forcément à l’autre. Il s’agit donc d’aller dans son discernement personnel, apprendre à bien se connaître pour sentir (et non pas savoir intellectuellement) ce qui est efficace sur nous.

Toute méthode peut marcher, du moment qu’elle vient créer une résonance dans nos processus intérieurs. Mais ce n’est pas suffisant pour un résultat positif, l’essentiel c’est de s’impliquer dans le processus c’est-à-dire de le faire en conscience et d’en aimer chaque étape. Si vous vous mettez trop de pression, si vous êtes trop exigeant, vous allez créer une tension qui va vous conduire au résultat contraire à celui espérer. Ce qui fonctionne ne peut être réalisé qu’à partir du principe du moindre effort. Je reconnais que cela va à l’inverse de ce qu’on nous a appris, mais est-ce que ce que nous tenons pour acquis fonctionne ?

En effet, la volonté du mental n’est pas suffisante pour créer un résultat permanent car rien n’est plus puissant que la vibration. Or celle-ci est dirigée par vos émotions et vos croyances, et non par vos connaissances intellectuelles. Il s’agit donc de quitter la volonté basée sur la personnalité pour embrasser un niveau plus grand, votre conscience supérieure reliée à votre identité divine qui est la seule à pouvoir vous guider vers votre réussite, grâce à l’intelligence de la vie.

Savez-vous vous engager pour vous dans votre quotidien ? Savez-vous dès que vous vous réveiller vous offrir de l’amitié, de l’amour, de la reconnaissance ? Vous placez-vous au centre de votre vie et faites-vous de votre bien-être votre priorité ? Savez-vous rester au centre de votre vie et vous offrir d’abord de la gentillesse et de la bienveillance ? Si c’est oui, alors vous êtes dans la bonne direction, celle de votre détente et votre lâcher-prise intérieurs qui vous permettront de réaliser vos projets, de concrétiser vos envies.

Donc, avant de suivre une méthodologie quelconque (et sûrement très profitable), assurez-vous de votre implication affective dans le processus et que vous faites cela par respect et amour de vous, non par rapport à une situation ou une personne extérieure.

Rappelez-vous que la Vie est simple, et pour que vous bénéficiez de tout l’Amour qu’Elle vous offre, pour expérimenter la fluidité et la facilité, appliquez d’abord ces règles sur vous : faites-vous confiance, faites confiance à la vie, traitez-vous avec gentillesse et simplicité, engagez votre énergie dans votre réussite à vous aimer et à vous réaliser. Rien ne peut se produire sans votre concours actif !

par Sophie Riehl   http://www.natureetharmonie.net/

Foutez-vous la paix

Aujourd’hui nous allons parler d’un sujet qui me tiens beaucoup à Cœur, et pour cause, il s’agit là selon moi du noyau qui peut tout : LA PAIX.

 LA PAIX ou si vous préférez l’absence de problématiques. Une absence de tracas mentaux. Une absence de soucis, de choses à redire, de choses à blâmer. Une absence d’auto-critiques envers soi même et envers son parcours de Vie. Une absence de critiques envers les autres, la société, le Monde et la Vie. Grosso modo une absence de plaintes.

Voilà donc selon moi une courte et simple définition de la Paix.

 Une Paix qui ne nécessite pas d’efforts supplémentaires à réaliser, mais plutôt une Paix qui nécessite des efforts en moins. Des efforts en moins oui car cela est très prenant que ce soit en temps ou en énergie de passer nos journées à nous plaindre. De passer nos journées à geindre comme me disent souvent les Guides :

“N’as tu pas fini de geindre?” (lol)

 Oui mais voilà que nous sommes toutes et tous plus ou moins sévèrement habitués à ce “mouvement réflex” qu’est devenue la plainte. Un réflex tant et si bien entretenu de tous que celui-ci est considéré comme normal, comme faisant partit des meubles, comme faisant partit de la Vie. Une Vie qui alors se veut plaintive, se veut critiquable.

 Alors qu’est-ce qu’on fait avec tout ça?

 Et bien déjà le reconnaitre, en prendre Conscience. Prendre Conscience que souvent nous faisons tout ce qu’il faut pour NE PAS vivre la Paix. La Paix qui souvenez-vous n’est qu’une absence de plainte, une absence de sévérité si vous préférez. Ainsi donc comme nous disions plus haut, ce sont des efforts en moins à fournir, et non pas des efforts nouveaux.

Le “travail sur soi” est à mon regard un non sens, car c’est bien du CONTRAIRE qu’il s’agit pour recouvrer la Paix en Soi. C’est à dire de revenir à notre Essence Ciel, de revenir à notre état naturel qu’est la Paix. Une nature qui nous est profonde, qui nous est intime. Oui intime car la Paix c’est vous et elle ne peut qu’être exprimée à partir du moment où vous prenez la ferme décision de VOUS FOUTRE LA PAIX !

 LA PAIX COMMENCE PAR VOUS

 Jérôme RodAnge   https://www.guidancelumiere.com

Ce qui semble nous nuire nous aide

 Même si elle nous met souvent en pétard, il faut dire que la vie est quand même bien faite.  Si nous avons souvent l’impression qu’elle s’acharne sur nous, il s’avère plutôt qu’elle travaille fort pour nous faire expérimenter les conditions qui nous permettront de mieux comprendre et corriger ce qui, en fait, nous empêche d’accéder à une vie plus harmonieuse et épanouie.

 Ce n’est pas un concept que nous comprenons d’emblée, mais si nous prenons le temps d’analyser notre passé, il y a fort à parier pour que nous réalisions que ce qui nous semblait négatif au départ s’est souvent transformé en quelque chose de beaucoup plus constructif avec le temps.  Il est rare de ne pas ressortir d’une situation grandis ou mieux éclairés, à moins de s’obstiner à voir les choses selon une perspective nuisible.

 Subir ou faire avec

 Face à n’importe quelle circonstance, nous aurons toujours deux choix :  Subir ou faire avec.  Si nous choisissons de nous voir comme une victime, il va de soi que nous venons de multiplier par cent ou par mille les effets dévastateurs que celle-ci aura sur nous.  Nous venons de lui céder tout notre pouvoir en nous avouant vaincus d’avance.

 Pourtant, personne n’a vraiment la capacité de nous faire nous sentir minables et misérables.  Du moins, sans notre accord.  Car tout est toujours une question de perception et il est important de comprendre que les autres nous percevront toujours de la même façon que nous nous percevons nous-mêmes.

 Nos plus grandes faiblesses et insécurités, mais surtout nos plus grandes craintes, sont toujours démasquées, même si nous aimerions bien les camoufler aux yeux du monde.  Un simple regard, une parole ou un geste suffisent souvent à laisser transparaître ce que nous refusons d’être ou d’éprouver.  Et j’oserais dire qu’il est possible de juste ressentir l’autre dans toute sa complexité et sa lourdeur sans qu’il n’y ait aucune forme de communication entre nous.  Il nous est tous déjà arrivé de ne pas connecter avec une personne ou de nous sentir vidés en sa présence.

 En choisissant « de faire avec » une situation plutôt que de la subir, nous adoptons une attitude davantage tournée vers l’action.  Nous ne nions pas ce qui se passe; au contraire, nous essayons de nous y adapter, tout en cherchant des pistes de solution pour un dénouement favorable.  En un mot, nous devons apprendre à travailler avec les circonstances afin de les tourner à notre avantage.

 Bien que certaines personnes semblent penser le contraire, la recherche du bonheur n’est pas quelque chose d’exclusivement réservé aux amateurs de chandelles et d’encens.  Cela fait partie de notre but ultime à tous:  Atteindre un état de paix intérieure.

 Lorsque nous voyons les choses sous la perspective que, la plupart du temps, ce qui semble vouloir nous nuire nous aide, nous acceptons de nous laisser conduire par la vie qui, bien souvent, sait mieux que nous quelle est la bonne route à emprunter.

Jackie B. Hamilton    https://www.jackiebhamilton.com

Cultivez votre joie chaque jour

Pensez-vous qu’il soit possible d’être heureux aujourd’hui ? Avez-vous cette croyance positive en la vie qui vous offre un chemin de joie intérieur ?

Est-il possible d’être à 100% heureux ?

Votre esprit veut y croire et pourtant vous vous rendez compte qu’il est difficile d’être heureux chaque jour, que cela peut arriver quelques jours par semaine, par mois ou même par an.

Quand j’étais petite, je croyais que si on avait été heureux un moment de sa vie, cela suffisait pour le reste de sa vie. Je voyais tellement de personnes tristes autour de moi, que je me sentais mal en leur présence.

Je ne comprenais pas comment il était possible d’être malheureux. Et pourtant …

J’ai changé de mode de pensée et je suis devenue comme mon entourage. J’essayais d’être heureuse, mais chaque difficulté ou épreuve me ramenait à cette croyance qu’il est impossible d’être heureux à 100%.

Et si on se démarquait du reste de notre entourage en vibrant de joie ? Et si on pouvait passer pour un extra-terrestre qui est heureux et joyeux en toutes occasions ?

C’est un choix constant, présent à chaque pensée, parole et action. Que choisissez-vous aujourd’hui de vivre ? Qui avez-vous décidé d’être aujourd’hui ?

J’ai choisis de cultiver et de suivre ma joie.

Cela demande du courage, car parfois on a l’impression d’être un peu à part, de rire et de sourire de tout. Je me sens même parfois décalée.

J’accepte ma petite folie intérieure et ose suivre cette joie.

Un jour, mon frère a demandé enfant à ma grand-mère : « Dadou, pourquoi on est sur Terre ? »

Ma grand-mère est restée bouche bée, elle ne savait pas quoi lui répondre. Puis elle entend de ma bouche : » ba pour s’amuser ! »

Elle me raconte souvent cette histoire pour me rappeler la puissance de la joie sur Terre.

La joie est ma compagne de vie

Je lui fais confiance à chaque fois, elle m’emmène au bout du monde seule. Elle m’aide à trouver mon chemin, à me lancer seule dans une aventure professionnelle, à rencontrer des personnes pétillantes et extrêmement bienveillantes.

Je la suis à chaque fois, même si parfois je culpabilise.

Et bien sûr … je la cultive.

Cultivez votre joie

Chaque matin, je me demande :

« que puis-je faire aujourd’hui pour être heureuse ? »

Puis je choisis au moins 3 actions qui me remplissent de joie, des actions simples et réalistes. Ainsi ce sourire sur mes lèvres devient naturelle, car je m’autorise à être joyeuse et à la cultiver chaque jour.

Transformez votre regard sur la vie et ayez confiance en votre âme, elle vous guide à chaque pas. Même si vous traversez une tempête, célébrez l’arrivée et le départ de cette tempête, car le cadeau qu’elle contient est merveilleux.

Osez avoir foi en ce que vous voyez !

Et vous, que faites-vous chaque jour pour cultiver votre joie ?

Sarah Diviné   http://divinelumiere.com

Le Tableau du Soi

Vos-outils-tableau-soi

Le tableau du soi …

Vous avez surement déjà entendu parler du tableau de vision ou « Vision board » en version anglophone. Cet outil de développement personnel, fortement utilisé pour la loi d’attraction, qui consiste à créer un tableau avec des illustrations, qui représentent ce que nous souhaitons voir se matérialiser dans notre vie.

Aujourd’hui, j’aimerai vous présenter une alternative à ce tableau qui est le Tableau du Soi.

Rien n’est plus important dans notre évolution que de se connecter à soi, se connaitre, se ressentir, être fière de qui l’on est dans le présent. Une recette magique qui ouvre bien des portes, dont la loi d’attraction, et surtout, l’expansion de l’être. Car c’est en ressentant la joie de qui nous sommes dans le présent que cette fameuse loi se met en route, car nous rayonnons pleinement l’être que nous sommes. L’univers écoute nos vibrations, il écoute celles que l’on émet à l’égard de notre propre personne.

La joie d’être soi…

Mais sachons-nous déjà qui nous sommes ? Cela est plus incertains dans une société qui nous dicte inconsciemment la personnalité que nous devons endosser au risque de créer la croyance intérieure, que d’être authentique nous rend marginal, abandonné, rejeté, jugé. Nous étalons ce mécanisme à d’autres concepts, comme la spiritualité. Inconsciemment, nous établissons une identité qui nous parait légitime. Nous nous poussons à nous fondre dans un moule au risque de complètement oublier l’étincelle de l’âme, ce soi, qui n’a qu’une envie, celle d’être en vie et de manière authentique.

Le Tableau du Soi est un outil qui vous permet de mieux vous rendre compte de qui vous êtes et d’en être fière.

Tout comme un tableau de vision il vous suffit de découper des petites images, les télécharger ou les dessiner.
Mais attention, choisissez exclusivement des images qui vous représentent, celles qui correspondent à la personne que vous êtes, là, tout de suite, maintenant. J’exclue dans ces images toutes notions de personnes, d’animaux, car lorsque l’on s’identifie à un être vivant, c’est qu’il y a dépendance affective et manque d’amour de soi.

Vous aimez le bleu ? Vous trouvez que son énergie correspond à la vôtre ? Allez hop ! On découpe ! et on colle !
Et on continue avec tout un tas d’image qui vous font le même effet.

Une fois assemblées, ces images les unes à côté des autres, forment un tableau, un tableau de vous, un tableau de votre soi, votre propre personnalité.

Je vous invite chaque jour à choisir une image de votre tableau, et à vous l’approprier par des ressentis. C’est-à-dire, ne pas l’intellectualiser mais focaliser votre attention sur ce que vous ressentez à sa vue, soyez en fière, soyez fière de vous.

Ce tableau du Soi est voué à être changé autant de fois que vous le souhaitez. Ecoutez-vous, si vous sentez qu’une image ne résonne pas avec la personne qui s’affine au fil du temps, alors n’hésitez pas à la changer. Soyez fière d’être une personne qui se découvre tous les jours et qui affine sa perception de qui elle est.

En exemple, je vous présente le tableau de mon moi :

Dans ce tableau il y a des couleurs, la créativité, la joie …
Un carnet, qui représente l’écriture, la lecture…
Des villes et paysages que j’affectionne, qui représentent mes origines ou mes envies de voyage.
Des bras, dont le mouvement évoque pour moi la danse de la liberté.
Des fleurs, un café, un cristal, une vie rythmée de nature, de cuisine de spiritualité, de trésors terrestres…

(Les images proviennent de Pinterest)

Tableau du soi

Iris   http://irisandco.fr

La clé se trouve dans votre regard

Aujourd’hui il me tiens à Cœur de vous parler de la seule et unique Clé qui puisse vous permettre de Transcender votre expérience, c’est à dire vous permettre d’élever votre champ de Conscience au-delà des apparences, au-delà de l’illusion de ce Monde théâtral.

 En effet, le remède ne peut être trouvé à l’extérieur de vous. L’extérieur ne peut qu’éventuellement vous aider à vous révéler vous m’aime en votre propre intérieur. J’entends par là que vous ne pouvez pas faire l’économie du réajustement de perception du Monde qui doit et qui ne peut que passer par vous, par vous m’aime.

 Le verbe AIMER oui car il est strictement impossible de souhaiter un quotidien meilleur temps et si longtemps que vous continuez de regarder à travers la mauvaise paire de lunettes, à travers le filtre de la dualité, de la division, de la comparaison et du jugement.

 Si vous faites partit de ceux et celles qui souhaitent vivre plus en Paix, plus en harmonie et plus en Joie, comprenez bien que cela n’arrivera JAMAIS temps et si longtemps que vous continuez de voir des ennemis à l’extérieur, de voir du danger, de voir des gentils et des méchants, de vous percevoir vous même comme incomplet, inaccompli, inachevé, etc, etc. C’est littéralement une anti-thèse que d’espérer vivre la Paix et l’Unité en continuant de regarder le Monde et vous même à travers le filtre de la division.

 Cela ne peut tout simplement pas arriver. Alors que faire?

 Simplement changer de regard, de façon de voir, de paire de lunettes. Une paire de lunettes qui Unifie et non plus qui divise, qui oppose, qui compare et condamne quiconque ou vous même.

 Cette “paire de lunettes de l’Unité” est déjà vôtre. Vous l’utilisiez plus souvent étant enfant. Il était plus facile à cette époque de vous en servir naturellement, oui naturellement car ces lunettes, ce regard Unifiant, c’est VOUS!

Oui c’est VOUS puisque c’est votre nature. C’est votre nature d’être détaché de tous jugements, et ce quelque soit la gravité apparente des situations ou comportements.

 Alors on fait quoi?

On continue d’alimenter un regard erroné? Un regard mensonger? Un regard déformé?

Ou bien on change son point de vue, on change son angle de vue pour s’apercevoir qu’au-delà des apparences, qu’au-delà des jugements et des auto-jugements, se trouve un champ de Conscience qui Unifie, qui Marie et qui guéri tout.

 IL EST TEMPS DE RECOUVRER LA VUE

 Jérôme RodAnge     www.guidancelumiere.com

La joie

 

La joie ne réside pas dans l’atteinte d’un objectif, l’obtention d’un bien, l’occupation d’un lieu ou la proximité plus ou moins grande avec telle ou telle personne. La joie ne s’acquiert ni ne se développe en fonction d’éléments extérieurs, ou alors elle est confondue avec de la satisfaction, du plaisir ou du contentement, qui sont « ces bonnes choses » auxquelles l’on prédit toujours une fin inéluctable.

Croire que la joie est tributaire de circonstances observables est le moyen le plus sûr de ressentir frustration, manque ou tristesse dès la disparition ou la diminution de ces circonstances. Afficher un sourire ou éclater de rire n’est pas nécessairement expression de la joie. En effet, bien des mesquineries, des dénis de soi ou des hypocrisies se dissimulent derrière des sourires de façade. Et bien des moqueries, des rejets, des railleries engendrent de faciles rires en cascade, comme si la souffrance ou l’ignorance d’autrui pouvaient être réjouissantes.

A l’inverse, des larmes, aussi abondantes puissent-elles paraître, ne sont pas forcément signe d’amertume, mais bien souvent un baume extraordinaire qui, littéralement, coule de Source.

La joie est un sourire silencieux qui marche sans but avec une infinie légèreté et une profondeur insondable, juste mû par la certitude inébranlable d’être pleinement responsable de tout ce qui advient dans l’existence.

C’est un état libéré de toute forme de victimisation, de toute notion de culpabilité, de tout élan sauveur. C’est un abandon de toute idée d’échec ou de réussite, au profit d’une gratitude qui accueille, comme une bénédiction, chaque respiration, chaque apnée, chaque pulsation et chaque soubresaut.

C’est un joyau qui jamais ne se trouve lorsqu’on le cherche mais se révèle à celles et ceux reconnaissant que la Vie, dans sa plénitude, est écrin.

C’est une conscience pleinement déployée dans l’instant présent, oubliant hier et ignorant demain, une conscience qui se sait à la fois don et réception, cause et conséquence, créatrice et création.

C’est une absolue absence d’attente qui est ouverture à la toute puissance de ce qui naît, ici et maintenant, en réponse amoureuse et parfaite à la vibration du cœur et à la fréquence de l’âme.

Ce qui nous dérange chez les autres en dit long sur nous

Tous ces gens sont placés là, sur notre route, pour nous apprendre quelque chose que nous refusons de voir en nous.

Ce n’est pas la première fois que j’affirme que, si nous voulons véritablement évoluer dans la vie, ce sont vers nos « ennemis » que nous devons nous tourner, car ils sont des sources d’informations précieuses pour nous aider à progresser rapidement. Si nous avons assez d’ouverture pour les voir comme telles, évidemment…

Par « ennemis », j’entends toutes ces personnes qui nous agacent, nous dérangent, nous font vivre de l’inconfort. Ceux et celles avec qui nous vivons des conflits ou tout individu que nous n’arrivons pas à sentir ni de près ni de loin. Pensons aussi à ceux qui sont notre cible lorsque nous versons dans le sarcasme ou dans la mesquinerie… Tous ces gens sont placés là, sur notre route, pour nous apprendre quelque chose que nous refusons de voir en nous. Soit il s’agit de quelque chose dont nous avons honte, soit cela éveille de douloureux souvenirs avec lesquels nous ne nous sommes pas encore réconciliés. Peu importe, ils sont les porte-paroles de tout ce qui n’a pas été compris et pardonné.

Se battre contre ses démons

À titre d’exemple, je me souviens à quel point, il y a de cela plusieurs années, j’avais horreur de devoir me plier à l’autorité. De sentir que je devais me soumettre aux ordres de quelqu’un – même si ce quelqu’un était celui qui signait mon chèque de paye – provoquait chez moi une certaine forme de révolte. En fait, je me sentais humiliée. Oui, vous avez bien lu… Humiliée! Humiliée de ne pas avoir le choix de refuser ce qu’on me demandait. C’est profond, n’est-ce pas?

Ma vision des choses faisait en sorte que j’interprétais toute forme d’autorité comme un abus de pouvoir, même si ça n’en était pas un en réalité.

Ma vision des choses faisait en sorte que j’interprétais toute forme d’autorité comme un abus de pouvoir, même si ça n’en était pas un en réalité. Tout cela à cause d’expériences vécues au cours de mon enfance, expériences au cours desquelles j’avais senti qu’on avait tenté de m’écraser et de me diminuer.

Au fond, j’étais réfractaire à l’autorité parce que j’en voulais énormément à ma mère et à la façon dont elle m’avait souvent injustement traitée.

Accepter l’inconfort pour guérir

Heureusement, j’ai énormément cheminé depuis, mais je dois avouer qu’il reste une petite pointe d’inconfort par rapport à l’autorité et celle-ci veut parfois remonter à la surface et se faire justice. Toutefois, désormais, j’ai assez de discernement pour comprendre ce qui se passe et pour faire la part des choses.

Si nous prenons quelques instants pour penser à quelqu’un pour qui nous éprouvons une certaine forme d’aversion ou avec qui le courant ne passe vraiment pas… Essayons de voir ce qui suscite chez nous autant de réactions négatives et voyons si, en réalité, cette personne ne nous renvoie pas une image de nous dont nous avons honte ou peur ou si elle n’éveille pas tout simplement un souvenir qui nous a énormément blessés ou marqués.

Évidemment, le plus facile serait de s’éloigner de ces personnes, de les ignorer tout simplement. Parfois, les émotions qu’elles nous font vivre sont si intenses que, oui, il est sans doute préférable de prendre du recul pour mieux nous préparer à leur faire face ultérieurement.

Quoi qu’il en soit, ce que nous devons retenir ici, c’est que si ça accroche avec quelqu’un, c’est qu’il y a un message dans la boîte aux lettres pour nous.

Jackie B. Hamilton   https://www.jackiebhamilton.com/

Nous devrions tirer notre énergie de la nature et non des autres

 

tirer notre énergie de la nature

Il n’y a pas d’erreurs dans ce monde, nous faisons tous partie d’un chef-d’œuvre universel. Nous sommes plus grands que vous ne le pensez, nous sommes plus grands que ce que nous avons été conditionnés à croire. En progressant dans l’évolution de la pensée, nous commençons à nous souvenir qu’il y en a plus, nous commençons à nous rappeler que nous sommes les créateurs.

Afin de créer la réalité, la science, la spiritualité et la conscience nous montrent que toutes les choses sont vivantes avec de l’énergie. Alors que le champ quantique commence à découvrir une nouvelle compréhension de notre monde physique, les anciennes cultures indigènes évoluent avec anticipation alors que nous nous reconnectons à la connaissance qu’elles détiennent depuis toujours. Les prophéties s’accomplissent presque tous les jours et il n’en reste plus que quelques-unes.

Au cours des 250 dernières années, nous avons appris à penser notre chemin à travers la vie, nous avons appris à prendre l’énergie dont nous avons besoin de notre prochain. Qu’il s’agisse des ressources, le travail physique, le pouvoir ou la célébrité. Nous avons été conditionnés à croire que la progression est basée sur le manque, la domination et la peur.

Aujourd’hui, alors que nous commençons à nous souvenir de sentir notre chemin à travers la vie via notre moi supérieur, notre cœur, notre instinct, ou quel que soit le nom par lequel on choisit de l’appeler. Nous voyons que la planète elle-même est l’équilibre de la vie, la terre mère est le donneur et le preneur de toute l’énergie dont nous pourrions avoir besoin, à la fois positive et négative. Nous pouvons tirer notre énergie des montagnes, des arbres, des océans, du vent et des rivières.

Quand vous vous sentez faible, il n’est pas juste d’attaquer quelqu’un d’autre émotionnellement ou physiquement, tout ce que nous faisons, c’est nous blesser les uns les autres et perpétuer le cycle du manque et de la limite. La nature vous enlèvera cette énergie négative et apportera de l’équilibre à votre vie, vous remplissant d’énergie positive.

Jean-Charles R   https://www.espritsciencemetaphysiques.com

Quelle est notre responsabilité dans le déroulement du spectacle du monde ?…

Terrorisme…

Les temps actuels, par leur intensité, nous obligent à réaliser de profondes prises de conscience. La principale doit nous conduire à mesurer notre responsabilité dans le déroulement et le contenu du spectacle du monde.

Les temps ne sont plus à commenter avec effroi, stupeur, colère, indignation, résignation ou sentiment d’impuissance ce qui se joue devant nous, comme si cela était séparé ou indépendant de nous, comme complètement coupé de nos scénarios intérieurs. Car, que nous l’assumions ou non, ce qui se joue devant nos yeux est le fruit de nos entrailles. Ce qui se joue devant nos yeux est l’expression manifeste de ce que nous portons et produisons individuellement et collectivement. Ce qui se joue devant nos yeux est la densification terrifiante de toutes les paroles et pensées que nous émettons, si souvent empreintes de dualité, de condamnation, de jugement, de rejet, de peur.

Si nous nous croyons étrangers à l’expression du monde, et particulièrement dans ce que nous lui trouvons de plus vil, de plus obscur, de plus violent, de plus cruel, alors nous perpétuons encore et encore l’idée que le problème vient de l’autre et, par conséquent, que la solution arrivera de l’extérieur. Si nous nous croyons étrangers à l’expression du monde, nous nous privons, de fait, de notre capacité à le faire évoluer par notre implication vibratoire collective. Quel être sur Terre a-t-il retrouvé un jour l’apaisement, lors d’un puissant accès de colère, d’angoisse ou de haine du fait qu’on lui hurle dessus, qu’on le frappe ou qu’on le condamne sans merci ? Aucun. Pourquoi continuons-nous alors à croire que cela sera possible si c’est notre voix qui crie, notre main qui maltraite ou notre conviction qui sanctionne ?

Il n’est plus temps de crier à la conspiration, au complot, plus temps de dénoncer telle prétendue manipulation, de blâmer telle dérive, de regretter tel laxisme, de chercher des explications rationnelles fondées sur l’Histoire, l’équilibre des forces ou de vagues concepts sociologiques. Il n’est plus temps de se perdre en prévisions chaotiques ni, non plus, en une sorte d’espérance infantile en l’installation progressive, comme par enchantement, d’heures plus douces.

Pour l’avoir expérimenté durant de longues années, il m’a été donné de comprendre que personne ne revient sain et sauf de la guerre. Personne. Il ne faut jamais se fier à l’absence de blessures physiques… Une partie de nous meurt toujours sur le champ de bataille. Que ce champ de bataille se situe en Centrafrique, en Afghanistan, dans le centre de Paris ou sur la Côte d’Azur. La partie de nous qui meurt est celle qui portait encore certaines croyances fondées sur les notions de bien ou de mal, sur les notions de bourreau et de victime, de vainqueurs et de vaincus. Chacune de nos intentions belliqueuses ou vengeresses, avant même qu’elle ait pris forme dans la réalité concrète, appelle dans l’immédiateté une contrepartie de même nature, émanant de celui que nous considérons comme notre adversaire. On ne combat jamais que soi-même… Jusqu’à ce que l’on dépose les armes et prenne conscience que, faute de l’un des deux combattants, la guerre s’arrête.

Les temps actuels nous amènent à laisser mourir en nous cette idée que ce qui déchire et meurtrit nos existences est la conséquence exclusive de l’ignorance, de l’obscurantisme, de la haine ou du fondamentalisme caractérisant les autres. Tant que nous ne nous reconnaitrons pas comme co-créateurs – par la peur qui nous étreint, nous enferme et nous voile – de ce qui advient en ce monde, alors nous continuerons d’assister, chaque fois plus sidérés, à la matérialisation du manque d’amour en nous.

Combattre la violence ne demande aucun courage, juste de l’inconscience. Le courage, au sens étymologique du « cœur qui agit », consiste en cette reconnaissance humble que seule la paix véritablement installée en nous peut engendrer un climat de paix autour de nous. Tout ce contre quoi nous luttons se renforce. Mettre toute notre énergie dans la riposte revient à focaliser nos efforts vers la haine et la peur. Si aucune énergie ne vient nourrir en nous l’amour, l’harmonie, la guérison, comment pourrons-nous semer autre chose que le contraire, le déni, le négatif de ce que nous sommes ?

Il est temps que l’Humanité cesse de croire que les solutions à tous ses maux sont dans l’action. Elles sont dans l’être. Quel sera le premier des puissants de ce monde à déposer son armure qui, telle une cible, attire nécessairement à elle des flèches ? Quel sera le premier des puissants de ce monde à, courageusement, manifester par sa vibration et son Verbe, l’Amour qui annihile tout ce qui est moins que lumière, plutôt que de repartir encore une fois en guerre, ainsi que cela se reproduit depuis des éons ? Les « puissants » de ce monde sont toujours à l’image des peuples qui les hissent sur leur trône.

Nous sommes responsables de la façon dont nous regardons le monde. Nos yeux sont le portail de notre âme. De la qualité de notre regard dépend l’élévation ou, au contraire, l’abaissement vibratoire de ce qui est observé. Tant que nous projetterons sur l’autre la somme de toutes nos peurs, nous le maintiendrons sous une cloche de plomb de laquelle il ne pourra s’extraire que par la violence.

L’heure est au passage de l’empathie à la compassion. L’empathie nous fait souffrir de la souffrance du monde, en la faisant grossir. La compassion est cet état qui ne nie en rien la peine ou la douleur ressentie par l’autre mais, parce que le regard porté ne l’enferme ni dans le statut de victime ni dans celui de bourreau, permet une aide véritable et d’initier un processus de libération. Si nous pleurons, par empathie, du fait de la souffrance éprouvée par autrui, nous serons tôt ou tard ceux qui sentiront monter en eux la colère, la violence ou le sentiment d’impuissance du fait de la cruauté manifestée par tel autre. Et les rôles s’inverseront, une fois de plus…

Combien de temps allons-nous perdurer dans ces archaïsmes qui ont mené l’Humanité dans sa posture actuelle ? En vérité, la décision nous revient. Elle est intérieure. Elle est notre responsabilité collective et individuelle d’êtres humains dotés de conscience.

Gregory Mutombo   http://gregorymutombo.com

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