Mois : mai 2019 Page 1 of 2

LA PENSÉE AU SERVICE DE L’AMOUR UNIVERSEL

Garder les pensées positives ne constituent en aucun cas la voie ascensionnelle par excellence. Beaucoup tendent à penser que cette pratique leur apportera satisfaction et comblera leurs désirs, souvent tournés sur le matériel. Souhaiter une nouvelle voiture, une nouvelle maison, un prochain voyage en famille. Ils pratiquent ainsi délibérément une activité mentale qui s’avérera bien plus difficile qu’ils ne l’avaient imaginé.

En effet, votre plan mental n’est en aucun cas celui qui manifeste la pensée divine, ni ne la projette dans les cieux de la manne universelle. Lui tout seul ne peut sculpter les entreprises de l’univers à votre égard. Pour solliciter l’univers, il faut accepter que l’univers vous sollicite. C’est à dire que vous soyez le messager de votre propre lumière, de l’activité de l’Amour/intelligence universelle en votre propre sanctuaire, plus que la personnalité qui conçoit ses désirs en fonctions de ses schémas de constructions et de ses conditionnements.

Pour être en phase avec vos véritables aspirations, il ne suffira pas de chercher intérieurement à vous convaincre ou à convaincre l’univers en ayant peur de penser négativement. Il faudra vous libérer du conditionnement englobant les craintes et les doutes, en nourrissant votre foi en conscience du fait que tout est pris en charge. À partir du moment où vous cultivez davantage la transparence en vos propres remous émotionnels et mentaux, vous dissipez le brouillard de leur activité pour entrer en harmonie avec l’information universelle supérieure qui guidera vos pas sans que vous n’ayez à douter de sa manifestation.

Lulumineuse   www.lulumineuse.com

LE MEILLEUR SCÉNARIO

J’ai beaucoup parlé de vide dans mes précédents articles depuis ces deux dernières années. Le vide, le rien, la vacuité ou encore le silence, il y a plusieurs mots pour définir cet espace sans espace. C’est de là que tout prend naissance et tout meurt à la fois où notre monde prend forme à partir de cette non-forme, sans nom et sans temporalité.

L’espace de la présence d’où on peut sentir la permanence stabilité et l’impersonnel, qui donne une impression d’immobilité et de rigidité dans le bon sens du terme (Ce mot m’est venu lorsque je l’ai réalisé). C’est là que la neutralité apparaît.

Nous faisons une multitude d’expériences pour arriver à cet état d’équilibre. Chaque chose qui se présente à nous est finalement la meilleure à vivre qui soit, peu importe son état.

Il demeure en Soi, une recherche qui naît de l’insatisfaction de nos vies, croyant en un espace où tout est beau et tout lumineux. Que d’idées et d’imagination sont véhiculées par la spiritualité faisant croire à l’illumination. Que d’aberrations et de leurres nous avons tant entendus et crus nous éloignant de ce que nous-sommes. Pourtant, dans cette multitude de chemins qui se présentent à nous, chacun va suivre celui qui lui semble le meilleur pour y accéder. Chacun aboutira au même résultat, réaliser qu’il n’y a rien à réaliser, pas plus d’éveil que d’illumination. Il n’y a rien que vie qui s’extrait de ce seul espace qui existe, une vie des plus simples et ordinaire que le mental ne sait pas appréhender.

Le mouvement et cette recherche de la quête de sens n’ont que pour objectif la reconnaissance de Soi, se voir finalement au travers de toute apparition et manifestation.

Plus le mouvement vers l’intérieur s’effectue, plus l’immuable apparaît. Mais ce non-mouvement figé fait peur, parfois même effraie, il intrigue, trop stable, donnant même la sensation de mourir à son approche. Pourtant, c’est cela même que nous recherchons inconsciemment. Lorsqu’on est sur le point de l’atteindre, beaucoup fuiront par peur de s’abandonner et n’iront pas jusqu’au bout alors que même ils le recherchent. Tout le paradoxe de ces expériences.

Mais c’est ce qui attire malgré tout. Tel un aimant il se représente dès que c’est possible jusqu’au moment du non-retour.

Alors ce qui terrifiait, inquiétait ou angoissait cesse en un instant de se manifester pour laisser la place à un silence.

On réalise finalement que tout a toujours été ainsi, que depuis toujours l’expérience est vécue dans cet espace sans temps, vivant tous les scénarios qui soient dans l’inévitable. Le film n’aurait pas pu se mouvoir autrement. Que tout ce qui a pu se passer était là pour le meilleur des divertissements, celui à chaque fois le même de se découvrir en toute chose et tout objet dans l’expérience.

En définitive, nous avons vécu et vivons toujours le meilleur des scénarios qui soit.

par Samia Aissaoui    http://samia-aissaoui.com

LE PARDON EST UN CHOIX

La colère et l’amertume ne se contentent pas d’exister à travers la situation qui nous préoccupe dans le moment, elles s’étendent à toutes les situations que nous vivons et vivrons et à toutes les relations que nous entretenons et entretiendrons. Elles sont tel un poison que l’on verse au bord d’une rivière et qui finit par rejoindre le fleuve. Elles nous consument tout entier.

La colère et l’amertume naissent souvent d’une offense que l’on a subie – la plupart du temps au cours de l’enfance – et que nous avons interprétée comme une attaque directement tournée contre nous : une injustice, une trahison, une honte, du mépris, du dénigrement… Parfois, le geste est volontaire, mais la plupart du temps il est simplement l’expression d’une blessure beaucoup plus grande que porte notre oppresseur, blessure qui contrôle la plupart de ses actions et réactions.

Parfois, nous sommes victimes et, parfois, nous causons du tort. Et lorsque nous sommes dans ce deuxième rôle, c’est qu’il y a forcément un malaise à l’intérieur de nous qui a envie de s’exprimer.

LE PARDON VIENT AVEC LA COMPRÉHENSION

Mon premier pardon est destiné à ma mère dont les actions et comportements ont tous contribué à me faire sentir insignifiante et indigne d’être aimée.

Toutefois, le jour où j’ai réalisé que je lui en voulais un peu moins, c’est lorsque je me suis mise à la défendre parce que, tout à coup, je comprenais mieux que sa vie n’avait pas été facile. Du coup, je me suis demandée comment, moi, j’aurais réagi en de pareilles circonstances et la réponse est demeurée un champ vide.

Cela n’efface en rien ce qu’elle m’a fait subir, mais me libère par contre de mon empreinte de victime car je comprends mieux désormais que cela n’avait rien à voir avec moi, mais tout à voir avec ses propres démons et blessures.

LE PARDON VIENT AVEC LA COMPASSION

Pour arriver à se libérer de la rancoeur que l’on éprouve, il est nécessaire de reconnaître que nous sommes tous des êtres sensibles dont la perception est continuellement faussée par toutes les mauvaises expériences que nous avons vécues, perception qui nous rend davantage réactifs à toute situation similaire.

Par exemple, nous serons allergiques à une personne qui ment si nous avons senti un certain manque d’authenticité de la part de nos parents. Allergiques aussi aux personnes qui n’ont pas de parole si nos parents n’ont jamais respecté leurs engagements. Et la liste va sans fin.

Le pardon vient irrémédiablement lorsque nous avons la capacité d’inverser les rôles, mais surtout de remettre totalement à l’autre la responsabilité de ses actes, et ce, en se soustrayant tout simplement de ce qui ne nous appartient pas.

Toutefois, il est primordial pour notre survie de ne pas tomber dans le panneau du « pardon à tout prix » si nous sentons que cela permettra à l’autre de nous abuser à nouveau.

Il faut que le pardon soit réfléchi et intelligent et il faut se sentir assez solide pour être capable de mettre nos limites ou de garder nos distances avec l’oppresseur.

Le pardon est un acte de libération envers l’autre, mais surtout pour soi-même.

Jackie B. Hamilton    https://www.jackiebhamilton.com/

Se sentir seul et triste : pourquoi ce sentiment et que faire ?…

Dans une société hyperconnectée, la solitude pourrait paraître inconcevable. Et pourtant, il s’agit de l’un des maux les plus fréquents du monde moderne. En effet, même si internet abolit les frontières, relie les pays et continents, nous rapproche les uns des autres et facilite les échanges internationaux, nous n’avons jamais été aussi nombreux à souffrir de l’isolement. Une récente étude a d’ailleurs, démontré que près de 4.8 millions de Français n’entretiennent presque aucune relation avec les autres en dehors de leurs amis virtuels. C’est donc une évidence, avoir plusieurs millions de fans sur Instagram ou tweeter et des milliers d’amis (es) sur Facebook, n’empêche pas se sentir seul et triste. Le point sur ce mal de vivre !

La solitude en quelques mots

Du mot latin « solus », la solitude se définit comme l’état d’esprit passager ou durable d’une personne seule. Autrement dit qui n’est engagé dans aucun rapport social. Dans un champ plus large, la solitude désigne à la fois le fait d’être seule et le sentiment qui l’accompagne. Le plus souvent la tristesse. Raison pour laquelle, la solitude est souvent liée à l’état de déprime et de manque. De fait, même si parfois, l’individu peut choisir intentionnellement la solitude pour s’éloigner des problèmes interpersonnels. Ou encore pour se retrouver avec lui-même. Le plus souvent, il s’agit d’un état subi. Aussi bien dû à une absence d’interaction sociale qu’une impression d’isolement ou une sensation d’incomplétude.

D’ailleurs, il faut savoir que la solitude peut se ressentir n’importe quand et n’importe où. Ainsi, seul, à deux, en groupe ou au milieu d’une foule anonyme, on peut se sentir seul et triste. De nombreuses personnes affirment même que nous n’éprouvons jamais autant la solitude qu’en compagnie des autres. À ce propos, Frédéric Beigbeder avait écrit dans L’Amour dur trois ans « Les mondains sont des solitaires perdus dans une abondance de connaissances floues ».

Évidemment, il faut comprendre que le fait de se sentir seul et triste n’est en rien une anomalie névrotique. Selon les psychologues, le sentiment de solitude est une partie intégrante de la condition humaine. En effet, de la naissance à la mort, chaque individu est fondamentalement seul. Seul pour ressentir, seul pour réfléchir ou encore seul pour souffrir. Le fait de se sentir seule et triste sans les autres tout autant qu’avec eux peut donc se définir comme cette expérience ressentie d’être avec soi-même.

Se sentir seul et triste : d’où vient ce sentiment ?

Le savez-vous, le corps humain est composé de plus de dix mille milliards de cellules et près de 500 espèces différentes de bactéries dans la flore intestinale ? Et ce n’est pas tout ! Nous sommes entourées de milliers de plantes, d’animaux domestiques, d’insectes, de voisins… Rien qu’en France, on dénombre même près de 66,99 millions d’habitants.
Et pourtant, il nous arrive encore de nous sentir seuls. Alors comment est-ce possible de se sentir seul et triste alors que nous sommes entourés d’autant d’êtres vivants ? Eh bien, sachez que la solitude a plusieurs composantes.

Tout d’abord, il survient lorsque l’individu éprouve le sentiment d’absence physique. En effet, l’être humain est un être social dont l’épanouissement est conditionné par la vie avec ses paires. Le fait de se sentir seul et triste est donc associé à un manque de compagnie et un manque d’échange avec une personne réelle. Ensuite, la solitude vient également de l’attente non satisfaite que l’individu a de la personne qui est censée le considérer, partager ses émotions, ses pensées et ses malheurs. Ladite blessure narcissique entre alors, en ligne de mire. D’ailleurs, au-delà de la solitude, cette insatisfaction le contraint souvent à se poser de nombreuses questions concernant sa relation avec l’autre. Pourquoi je me sens incompris ? Pourquoi ai-je un sentiment de vide alors que j’ai quelqu’un à mes côtés ? Comment sentir l’amour de quelqu’un ?…Ces questions reviennent encore et encore !

Enfin, tout évènement peut également devenir une cause de solitude, si le cerveau l’interprète ainsi. De fait, peu importe qu’elle soit réelle ou non, ce sera la façon dont l’individu va vivre la situation qui va engendrer l’état de solitude et de tristesse.

Alors que faire quand on se sent seul ?

Se sentir seul et triste : les pistes pour mieux vivre la solitude

« La solitude est l’aphrodisiaque de l’esprit, comme la conversation celui de l’intelligence » disait Emil Michel Cioran, philosophe poète et écrivain roumain. Pourtant, à bien y regarder, personne n’aime réellement se sentir seul. D’ailleurs, le sentiment de solitude au-delà de sensation de vide, la vague de tristesse et le cœur lourd génèrent bien souvent des maux psychologiques et sociaux très importants. En effet, se sentir seul et triste peut être très pesant et très difficile à assumer. Certaines personnes percevoir en elle comme un mécanisme d’alerte contre l’abandon et le rejet par les autres. Ceci explique pourquoi de nombreuses personnes se demandent souvent comment sentir l’amour de quelqu’un et que faire quand on se sent seul ? La clé à cette question se trouve dans un certain nombre d’attitudes et d’aptitudes à cultiver :

S’interroger sur ses besoins

Que faire quand on se sent seul ? Et bien, pour ne pas se sentir seul et triste, il est important pour d’apprendre à hiérarchiser ses besoins et ses manques. Ceci afin de mieux cibler ses priorités. Et donc, d’y voir plus clair dans vos attentes vis-à-vis de vous, mais aussi des autres. Pour cela, il faut identifier les origines de ce sentiment de solitude. Non seulement cette identification permettra de prendre conscience que la solitude existe, mais également de mettre en œuvre le changement que vous souhaitez.

Prendre soin de soi

Comme vous le savez certainement, le fait d’être seul et de se replier sur soi est un facteur de risque de dépression et d’altération de l’estime de soi. En effet, plus un individu se sent seul, moins il s’attribuera de la valeur. Pour désamorcer cette situation problématique, prendre soin de soi autant physiquement qu’émotionnellement est donc primordial. Non seulement, pour l’épanouissement personnel, mais aussi pour rebooster la confiance en soi. D’autant plus qu’en sortant de votre cocon vous vous donnez la chance de faire de belles rencontres. Soignez votre apparence physique, pratiquez des activités physiques, sportives ou artistiques et surtout privilégiez les petits plaisirs.

Apprendre à être à l’aise avec soi-même

En effet, l’art de bien être avec soi-même est un atout de taille contre la solitude. Tout d’abord, parce qu’en apprenant à vivre avec la solitude, vous dédramatisez votre situation. Ensuite, savoir être seul favorise la connaissance de soi et permet de se réconcilier avec soi. En effet, pouvoir vivre pleinement les moments de solitude sans se sentir seul et triste, c’est le chemin vers l’acceptation de soi. Et comme le disait si bien Ralph Waldo Emerson, « Être soi-même dans un monde qui essaye constamment de vous en empêcher est la plus grande des réussites. »

Mathieu Vénisse   https://www.penser-et-agir.fr/

NOUS SOMMES LES BOURREAUX DE LA VICTIME QUE NOUS FAISONS VIVRE EN NOUS

Nous sommes les bourreaux de la victime que nous faisons vivre en nous. Considérez que peu importe ce qui a pu être dit sur vous ou réalisée à votre insu n’est pas la véritable blessure qui vous tourmente. Car ce qui vous tourmente en réalité, ce ne sont pas ces gestes ou ces paroles, mais les sentiments et les pensées qui sont nés en vous à l’issue de cette expérience douloureuse. Et que le seul fardeau que vous portez alors en vous, ce sont ces mêmes ressentiments et ces mêmes pensées que vous nourrissez en vous comme un virus qui chercherait à contaminer une plaie ouverte.

Pour soigner cette plaie, vous devez vous libérer de ce propre bourreau que vous êtes à vous-même et qui fait tant souffrir la victime que vous nourrissez de fait également. Ce bourreau qui alimente le souvenir avec la même émotion lourde, les mêmes pensées parasites, celles qui tournent en boucle en essayant de trouver une issue. Souvent en rejetant la faute sur le personnage malfaiteur.

Mais constatez que ce personnage vit ses propres expériences, ses propres pensées parasites et son propre aveuglement. Alors vous comprendrez que la seule délivrance possible, c’est celle que vous vous autorisez à vous-même dès lors que vous cessez d’alimenter votre souffrance avec des pensées et des émotions qui vous blessent. « Notre esprit bâtit notre vie. Votre pire ennemi ne peut pas vous blesser autant que vos pensées. Mais une fois maitrisé, personne ne vous aidera autant que vos pensées. » Bouddha.

Lulumineuse   http://lulumineuse.com/

Il ne va rien se passer… c’est juste un film…

Voilà un bien grand mystère, tout se passe et à la fois, rien ne se passe. Exactement comme au cinéma, nous regardons un film, celui-ci se déroule et nous sommes témoins de ce qui se joue. Parfois nous sommes touché(es), étonné(es), effrayé(es), émerveillé(es), dépassé(es), envouté(es), etc.…  Cela se passe sous nos yeux, nous sommes là assis(es), immobiles!

 Pourtant, le cerveau vit cela comme étant réel, nous sommes alors pris par l’émotion, les projections, les histoires qui nous touchent ou pas. Selon nos croyances, nos valeurs et notre conception de la vie, nous allons interpréter, juger, qualifier ce qui est vu. Pour chaque personne, ces mêmes images vont résonner différemment, quelquefois c’est semblable mais jamais pareil, car chacun interprète et voit cela à partir de son point de vue.

Et si notre vie était un film? Étant donné que nous en sommes l’acteur principal, il est très difficile de VOIR cela, car le scénario semble si réel. Il est beaucoup plus facile de voir la vie « des autres », que de voir la nôtre. Pourtant logiquement, il est évident que ce que nous voyons ne peut être que la projection de ce qui se passe en soi, de ce que nous voyons, sentons, ressentons, entendons. Bien sûr, selon notre éducation, notre vécu, nos histoires de vie, mais cela est vu à partir de nous, du personnage, nulle part ailleurs.

De ce point de vue, il est alors possible de VOIR que « les autres », que « le film » que nous voyons est simplement là pour nous permettre de voir nos conditionnements, nos croyances, nos pensées et en être LIBRES. De VOIR que cela vit en nous, pas chez l’autre!  En vérité, c’est le scénario, le rêve de ce que nous croyons être qui tombe.

Et si tout cela était encore une invitation à revenir à la maison. À VOIR que rien n’est perdu, car rien de tout cela ne nous a jamais réellement appartenu. À respirer, à rester Ici, dans l’instant, la seule réalité qui Soit. À VOIR que tout passe… Une seule chose reste, « ÇA ». La Vie, l’Amour.

Ginette Forget   www.ginetteforget.com/

Accorde-toi l’immunité face à la culpabilité…

Je dédie tout particulièrement cet écrit à une Magnifique étoile qui se reconnaîtra, dont les mots ont pris ce jour Racine au Cœur de nos énergies Réunies…

 Je ne sais que « Justement » bien, que lorsque l’on est dans la phase de Vie souffrante qui demande à libérer le plus gros et panser les blessures, c’est bien loin d’être simple… Et que l’on aurait envie de sauter cette étape pour passer directement à celle d’après…

Mais résultat, on se centre sur les choses qui ne sont pas encore là, sur qui l’on croit n’Être encore pas, sur les blessures qui ne sont pas encore guéries, sur les peurs qu’amènent notre évolution, et arrive même parfois une boule de neige de culpabilité du fait que l’on a l’impression de ne pas avancer…

On finit par en vouloir à soi-même de ne pas réussir à se Libérer… Une raison de plus pour ne pas se récompenser en ne regardant pas nos qualités ni tous nos efforts fournis et nos avancées, et pour rester le nez collé à tout ce que l’on n’a pas encore fait ni libéré…

Regarde et Vois ton évolution… Regarde et ressens la personne que tu étais hier, et celle que tu es aujourd’hui…

Félicite-toi de l’énergie que tu déploies pour Toi-même et qui contribue à notre évolution à Tous, et récompense-toi pour l’Engagement dont tu fais preuve au quotidien…

Essaie de plonger en Toi, de te centrer et de te connecter à ton Cœur jusqu’à réussir à faire le vide des peurs ne serait-ce qu’une petite minute… Et là, ressens pleinement à quel point Tu te suffis amplement à Toi-même de par ta Force et ton Rayonnement déjà Présents, lorsque ton ego ne te les cache pas…

Tu as déjà Tout en Toi (promis !), c’est « Juste » que tes blessures ouvertes t’empêchent encore d’en prendre pleinement Conscience…

Essaie de t’apporter cet Amour que tu recherches à l’extérieur, en commençant par te donner le Droit de te l’octroyer…

Nous Sommes Magnifiques…

Et Nous méritons Toutes et Tous de nous offrir chaque jour l’opportunité de nous le rappeler, en nous Accordant l’immunité face à la culpabilité…

par Louise  https://www.la-lueur-d-etoile.com/

LIBÉRONS NOS PEURS !

Je sens actuellement autour de moi de multiples personnes qui ont peur. Peur du lendemain ; peur du vide ; peur du rejet ; peur de l’abandon ; peur du changement …. Et cela englobe encore de multiples raisons crées par le mental limité. Libérons nos peurs !

Notre mental, qui est si bien programmé depuis fort longtemps, ne sait même pas que ces peurs ont la capacité de se dissoudre si nous osons être en confiance avec nous- même. Je dirais être en Amour pour l’Être merveilleux que NOUS SOMMES tous. Cet Amour est courageux ; tenace ; puissant.

Enfermés dans nos peurs

Lorsque nous sommes enfermés dans nos peurs, nous tournons en boucle avec ces diverses agressions qui, à chaque minute empoisonnent et emprisonnent notre vie, notre liberté d’Être.

Pourtant, nous pouvons libérer nos peurs. Eh oui, de quelle façon me direz vous ? En n’ayant plus peur de nos peurs. Je sais que dire à l’autre : “Ta peur n’est qu’illusion” lorsque nous sommes dans notre peur, ne rassure pas.

Parce que nous n’avons jamais appris à accueillir nos peurs et à les libérer. C’est possible, non pas en renforçant la peur par des phrases ou des propos interprétés par nos nombreuses croyances programmées depuis si longtemps. Notre mental ne connaît pas d’issue. Alors, il tourne en boucle, reprenant ce qu’il connait et s’épuise. Un des processus de la dépression.

La dépression

Je nomme la dépression comme le “cancer” de l’âme. Ces programmations inscrites dans nos mémoires cellulaires, programmations activées par notre mental ou nos pensées limitées. Limitées non pas par manque d’intelligence mais parce le mental n’est pas relié à l’Intelligence du Cœur. Cette intelligence uniquement relié au mental et ces connaissances reliées aux croyances que l’on nous a inculquées nous bloque.

L’Intelligence du Cœur qui surpasse tout le reste est une Confiance, une Foi illimitée dans notre puissance et capacité de transformation. Lorsque la peur apparaît, avec pour facteurs déclencheurs diverses programmations inscrites dans notre cerveau “primaire”, nous ne savons plus comment sortir de cet état.

–Bienveillance envers Nous

Regardons-la avec bienveillance et demandons à L’Univers de dissoudre cette peur et de remplacer le mot “peur” par un mot libérateur : Amour/Joie/Confiance/Plénitude/Abondance…. Le verbe est créateur, ne l’oublions pas .

Donc, nous avons la capacité, à chaque instant de remplacer un mot qui représente une vibration par un autre qui est plus Lumineux vibratoirement. Peur/Tristesse/Souffrance…. ne vibre pas de la même façon que Amour/Joie/Espoir. Soyons notre propre guérisseur, nous en sommes capables. Ne baissons pas les bras. Libérons nos peurs !

Soyons en confiance dans notre pouvoir de guérison. Pour un temps, s’il est nécessaire, laissez vous être accompagnés par les guides/éclaireurs que NOUS SOMMES sur le terrain. Laissons Nous prendre la main pour apprendre une nouvelle façon de nous transformer et cela pour l’Éternité. Apprendre à nous aimer et nous estimer. Tout passe par l’Amour de Soi et non le rejet ou la bataille. Soyons patient car tout cela se modifie au rythme qui est juste pour chacun de Nous.

Chers Frères et Sœurs

Chères Âmes en souffrance actuellement, Nous sommes là pour vous accompagner dans ce processus de transformation.

Contactez- Nous et nous vous guiderons du mieux que pouvons en fonction de votre acceptation à chaque instant,

Paix et Amour à tous

Corinne

À qui et à quoi souhaitez-vous donner votre énergie?

Dans ce monde actuel où l’actualité dépeint une multitude d’événements tous plus lourds et difficiles les uns que les autres, et où votre système de fonctionnement encourage la corruption et vous tient en esclavage, à qui et à quoi souhaitez-vous donner votre énergie? Que souhaitez-vous co-créer ensemble? Il est temps pour vous de choisir. Il est temps de vous positionner. De déterminer à quelles créations vous voulez participer. En effet, de nombreuses personnes ne sont pas conscientes qu’elles participent à créer la discorde et le déséquilibre. Elles ne sont pas non plus conscientes qu’elles encouragent le maintient du contrôle de votre population par des têtes dirigeantes et une poignée de personnes influentes qui agissent comme s’ils étaient la main de Dieu! Comment croyez-vous que vous arrivez à maintenir ce déséquilibre dans votre grand système? Par vos pensées, très chers, par vos pensées!

 Vous croyez connaître la puissance créatrice de la pensée mais vous n’en savez encore rien sur le sujet! Vous avez une vague idée de ce que la pensée créatrice peut matérialiser mais vous ne connaissez encore rien sur sa puissance réelle! Vous êtes comme des petits enfants qui croient savoir que le feu peut être dévastateur car ils sentent sa chaleur lorsqu’ils s’en approchent alors qu’ils n’ont encore jamais été témoin d’un immeuble en flamme et des dégâts que peut causer ce feu. Il en est ainsi, vous vous doutez que le pouvoir créateur de votre pensée est puissant parce que vous avez essayé d’utiliser la Loi de l’attraction à certains moments et que vous avez connu du succès mais en connaissez-vous réellement toute sa puissance? Si vos pensées peuvent attirer à vous ce que vous désirez, elles peuvent aussi beaucoup plus facilement, créer de la discorde, des guerres, des maladies et quoi d’autres encore! Pourquoi disons-nous que vous pouvez créer encore plus facilement le désordre que créer l’ordre?

C’est parce que lorsque vous tentez de créer l’équilibre, la guérison, l’amour, l’harmonie, etc., votre mental interfère en semant le doute en vous sans même que vous en soyez conscient. Alors, vos pensées « positives » sont parsemées de doute et sont entachées de pensées discordantes qui viennent annihiler l’effet créateur « positif » de vos pensées. Alors que lorsque vous lisez des informations qui annoncent des catastrophes ou encore démontrent des guerres ou autres types d’événements dévastateurs qui sont la cause d’énergies à forte concentration de basse fréquence, votre mental n’interfère pas autant car ce type d’énergie est normal pour lui. Il les prend pour acquis et donc il vous aide à entretenir ces informations et événements en vous! Ainsi, vos pensées, forme des égrégores car vous n’êtes pas les seuls à avoir lu ou à avoir regardé les infos portant sur le même sujet. Vous devenez donc des co-créateurs des catastrophes.

 Nous vous invitons, à prendre conscience à chaque instant des pensées qui se mettent en place dans votre cerveau. Nous vous invitons à choisir vos médias d’information, à choisir le type de renseignements auxquels vous portez votre attention afin de vous assurer que vous véhiculez l’Amour, la paix et l’harmonie ainsi que la confiance. Car lorsque vous faites circuler des renseignements concernant l’hypothèse d’apocalypse, de catastrophes mondiales, de destruction massive, etc., vous participez à créer ces événements en plus de soutenir le plan d’esclavage par la peur. C’est lorsque vous avez peur, que vous êtes le plus facilement contrôlable car votre vulnérabilité ouvre toute grande la porte aux soi-disant sauveurs de l’humanité. Nous ne disons pas de ne pas vous informer sur ce qui se passe mais nous vous implorons d’être vigilants sur ce que vous choisissez de divulguer à la population et de ce que vous discutez avec les autres car si vous n’avez crainte devant les prophéties car vous avez accumulé assez de Lumière en vous pour vous sentir protégé, ce n’est pas le cas de tous! C’est aussi cela l’éveil de conscience mes très chers Sœurs et Frères! Choisir délibérément de servir la Lumière en ne laissant entrer en soi que de la Lumière pour ensuite ne laisser que la Lumière rayonner de vous.

par Nancy  http://entre-ciel-et-terre.ca/

LE MENTAL DOIT S’UNIR AU CENTRE SOLAIRE

Passer d’un article a un autre, d’une vidéo à une autre, d’une formation, d’une conférence, d’un stage ou de tout autre chose… J’aimerais vous dire ceci : Ce que vous faites avec votre tête à vouloir chercher à tout prix à devenir une autre personne ou à trouver la magie à l’extérieur de vous n’a pas grand intérêt lorsque ces motivations sont celles d’un mental en quête d’arguments, d’histoires, de méthodes ou de tout ce qui pourrait le remplir ou le satisfaire. Car le mental est une machine insatiable et ne sera jamais satisfait. C’est pour quoi il doit s’unir au centre solaire de votre être, le cœur subtil.

 Bouddha le disait ainsi : « Un sot a beau demeurer des années en contact avec la science, il ne connaîtra pas plus le goût de la science que la cuillère plongée dans la sauce ne connaît le goût de la sauce ».

Qui peut parler de la sensation d’un lever de soleil dans un ciel rosé ? Qui peut parler de la lueur qui traverse et élève le corps entier quand une vérité vient éclairer notre monde intérieur ? Et la délicate odeur des fleurs du printemps ? Si ton coeur est sur pause et que ton mental cherche à se remplir ?

La nourriture de l’âme est l’expérimentation des sensations et elle est ressentie dans la région de notre centre solaire jusque dans celle où la femme porte la vie physique. D’ailleurs, la naissance de l’humain prend- elle racine dans notre tête ? C’est dans cette région sacrée, ce cœur solaire que l’humain à mis de côté au profit de sa tête, que la naissance subtile a lieu également. Vous aurez beau activer vos méninges, il n’en sortira pas d’enfant. Et c’est cela même pour l’enfant du subtil, si vous voulez que des prises de conscience vous éclairent vraiment, il faut se lier à ce qu’il y a de plus profond en vous et vous libérer des pensées superficielles et des apprentissages qui restent des connaissances.

L’expérience délivre la connaissance activée, car votre tête n’a pas fait simplement que l’aborder en surface, vos cellules l’ont vécue en profondeur. Vous l’avez vécu « dans vos tripes » et cette expression fait directement référence à cette région solaire souvent mal comprise alors qu’elle est d’une importance capitale. Quand nos actions sont motivées par cette région et non uniquement par la tête, rien ne peut décevoir, car rien n’est recherche, tout est expérience: La Vie.

L’expérience subtile, c’est vivre et goûter en profondeur le monde subtil à travers la matière, à travers son quotidien comme un livre d’apprentissage. Se centrer, s’équilibrer, s’essayer, s’expérimenter et se permettre au fur et à mesure tous ces changements intérieurs pour rayonner ce centre solaire. Et non lire avec la tête, emmagasiner et se remplir, toujours remplir cette même région cérébrale et la dissocier des profondeurs. Si tu veux trouver des clés en toi, assure- toi que la porte de cette région soit ouverte. C’est de cette porte que la lumière peut jaillir.

Lulumineuse   http://lulumineuse.com/

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