Mois : février 2024 Page 1 of 3

TOUT COMMENCE PAR SOI ET FINI AVEC SOI

Par Régis Raphaël Violette

Tout est lumière, le temps est illusoire, ce qui a été, ce qui est et ce qui est à venir, se trouve être toujours le même espace temps.

Tant que l’on est dans ce monde, tout semble réel, lorsque l’on quitte ce monde, il n’a jamais existé que dans le rêve éphémère de tous les possibles.

En réalité il n’y a personne, ce que l’on pense, croit et prétend être, n’est qu’une projection éphémère sur le grand écran de l’éternel présent.

En fait, on est la Présence Éternelle et c’est à travers le pouvoir de l’intelligence absolue que l’on crée ce rêve éphémère de tous les possibles.

En d’autres mots, rien n’est vraiment réel, tout est éphémère, tant que l’on est dans cette forme humaine, on fait l’expérience et l’apprentissage de ce qui est éphémère, issu de l’intelligence absolue de la Présence Éternelle.

Il y a huit milliards d’humains et combien de personnes ont foulé ce monde ?

En fait, il n’y a aucune personne puisque tout est lumière, c’est-à-dire la Présence Éternelle.

On pourrait penser, croire et prétendre qu’il n’y a que le vide, mais détrompez-vous, il y a que la Présence Éternelle, source divine de tout ce qui est éphémère, quelle que soit la vie, la réalité, la dimension ou autre.

La Présence Éternelle a tout créé et cela avant même d’être manifesté sur le grand écran de l’éternel présent, rien n’est réel, tout en est la projection éphémère.

Voilà pourquoi l’homme n’est pas éternel, ainsi en est-il pour tout ce qui est, la raison est fort simple, c’est que l’on est la Présence Éternelle.

Qu’importent les croyances, les autres réalités, les autres mondes, univers ou autre, tout fait partie de tous les possibles. Tout est l’œuvre de l’intelligence absolue de la Présence Éternelle.

Quelles que soient vos peurs, vos incompréhensions, vos histoires, vos pensées, tout ce à quoi vous faites référence, rien n’est réel. Il a que la Présence Éternelle, c’est-à-dire ce que l’on est de toute éternité.

Qu’importe ce que l’on vit à travers cette forme humaine et ce qui fait office de réalité, avant même d’être, de le vivre, de l’expérimenter par les expériences et apprentissages éphémères de la vie. Tout est illusoire, une projection de ce que l’on est de toute éternité en la Présence Éternelle.

Régis Raphaël Violette

Source : justeetre.blogspot.com

JE SUIS LA PAIX DE MON MONDE

Par Lulumineuse

La paix dans le monde vient de la promesse d’une paix intérieure.

Si je veux installer la paix dans le monde, et si chaque âme est un monde,

alors chaque âme doit apprendre à installer la paix dans son propre monde.

Je suis la paix de mon monde.

Et je suis la paix du monde.

Je n’attends pas la paix du monde comme une solution.

Je suis l’écho de la paix du monde, je suis son expression.

Je choisis ce que je suis.

Je choisis le bruit et les silences.

Je choisis l’harmonie ou l’impatience.

Je suis la paix que je cherche dans le monde.

Mon onde est la paix du monde.

Qu’est-ce que la paix du monde si ce n’est un monde rempli d’âmes

baignant dans la quiétude de leur propre Lumière ?

Ma Lumière est mon paradis, mon éden.

Le monde de paix est la Lumière que j’incarne sur terre.

Source : t.me/actualislulumineuse

SORTIR DE L’ÉNERGIE DU RESSENTIMENT, DE LA JALOUSIE ET DE L’ENVIE

Par Delphine Orieux

Vouloir et désirer ce que les autres ont et créer du ressentiment envers ceux qui ont ce que nous convoitons, est un sentiment qui nous ronge de l’intérieur.

Les émotions qui en découlent ne peuvent qu’alimenter des pensées, paroles et actes, non alignés avec notre cœur. Ce qui en découle est un retour de bâtons immédiat qui nous renvoie au sentiment de manque.

Le fait d’envier quelqu’un ou d’être jaloux par rapport à une situation, nous renvoie à notre propre sentiment de manque d’Amour, que ce soit de l’ordre financier, matériel, professionnel, affectif ou social, qui implique un besoin de reconnaissance extérieure.

Ce besoin se crée en réponse à un manque de reconnaissance intérieure qui s’est créé suite à la création de situations dans notre vie.

Ces créations de manque se basent sur des croyances, des empreintes émotionnelles d’expériences vécues ou de mémoires.

Changer de regard et comprendre la situation sous un autre angle permet de transcender l’envie et la jalousie.

Ainsi, quand nous comprenons que ce que fait l’autre, ce qu’a obtenu l’autre, les qualités de l’autre, la connaissance de l’autre ou la situation de l’autre, est une conséquence directe de ce qu’il est, de son vécu, et que celui-ci prend une direction qui incombe à ses choix et missions de vie, nous ne pouvons plus vouloir les fruits de sa propre vie, qui n’est pas la nôtre.

Nous créons nos propres fruits et avons nos propres choix et missions de vie. Quand il y a envie de ce qu’il y a chez l’autre, cela vient nous rappeler à ce que nous souhaitons manifester dans notre vie et qui ne l’est pas encore pleinement.

Ce qui nous est renvoyé est juste un miroir qui vient nous montrer : regarde ce que ton âme souhaite manifester.

L’autre est un exemple de manifestation parmi d’autres, la manifestation dans notre propre vie dépend de ce que nous sommes et de nos propres choix. Nos choix sont uniques et répondent à nos besoins évolutifs. Ceux des autres ne correspondent pas.

Ainsi, identifier ce que nous aimerions développer est un outil indispensable qui marche par effet miroir, en interagissant avec le monde qui nous entoure.

C’est à nous de trouver notre propre chemin pour faire fructifier les graines que nous avons en nous, pour que les fruits arrivent à maturité.

Les personnes, les décors, les activités, le matériel et les situations vécues pour comprendre cela, ne sont que des miroirs.

Quand les fruits sont mûrs, tout est naturellement mis en place du fait de nos choix qui se portent dans ce sens-là. Ainsi la vie œuvre à travers nous, pour développer la croissance dans un but évolutif.

Généralement nous prenons conscience, après avoir parcouru le chemin, que le chemin de la croissance est plus exaltant que d’obtenir simplement les fruits, sans avoir contribué à leur croissance.

Alignons-nous avec le cœur pour percevoir quels sont les fruits que nous souhaiterions cultiver en nous et laissons-nous porter par l’énergie de la vie qui œuvre.

Ce qui interfère ou ralentit la croissance, est ce que nous créons nous-mêmes, par nos croyances et nos émotions qui se présentent tels des obstacles en cours de chemin.

Quand l’obstacle se présente, nous nous tournons vers l’extérieur de notre chemin, en cherchant à aller là où nous allions avant que la route soit bloquée. C’est là que la jalousie et l’envie surviennent.

Au lieu de chercher désespérément ailleurs comment continuer notre chemin, regardons l’obstacle et franchissons-le ou contournons-le, pour ensuite avancer sur notre route après l’obstacle.

Avoir rencontré d’autres pèlerins sur leur chemin, nous a juste rappelé que nous avons la force et les ressources pour avancer et les faire fructifier dans notre vie.

Soutenons-nous les uns et les autres en se focalisant sur nos propres fruits, pour montrer qu’il est toujours possible d’avancer et d’évoluer.

Patience et résilience, courage et force, sont des vertus qui permettent à la vie de prospérer, quoi qu’il arrive sur son chemin.

Regardons les plantes qui poussent n’importe où, dans des conditions parfois abruptes et ardues, elles sont pour nous des modèles de vie.

Le chemin est tracé avec notre âme, par le cœur. La tête est l’outil qui permet de créer, la boussole est le cœur.

Ainsi, s’il y a des doutes, des peurs, de la jalousie, du désespoir, de l’envie, ce n’est que la tête perdue face aux obstacles, qui se crée d’autres obstacles.

Revenir dans le cœur permet de faire des choix qui correspondent à nos véritables besoins, ceux qui nous permettent d’avancer et d’évoluer.

Revenir dans le cœur, c’est s’accorder de la confiance, se reconnaître en tant qu’être pleinement créateur de sa vie, s’Aimer en tant l’énergie issue de l’Esprit Source. Ainsi la Foi et la Confiance sont rayonnées par le cœur et ceux-ci attirent alors les inspirations qui nous permettent de se dépasser, donc de contourner nos propres obstacles, jusqu’à faire fructifier encore et encore tout ce que la vie a à nous offrir.

Merci, Merci, Merci

Source : ouvrir-son-coeur.fr

TROUVER LA FORCE ET NOURRIR L’ESPOIR

Par Delphine Orieux

Lorsque nous vibrons sur de bas aspects de conscience, nous construisons notre réalité autour de ces basses croyances. Ainsi tout ce qui nous entoure nous renvoie à cette vibration qui nous enfonce dans cette perspective lourde de conséquences.

Quand nous demandons de l’aide ou que nous avançons dans une démarche d’élévation, nous ouvrons la porte à d’autres croyances qui nous font changer de perspectives.

Ainsi nous construisons une nouvelle réalité où des croyances plus élevées viennent nourrir l’espoir de se sortir de ces conséquences en s’allégeant et en s’élevant dans notre conscience.

Nous rencontrons alors de nouvelles situations, de nouvelles personnes, de nouvelles circonstances qui nous montrent qu’il est possible de s’élever au-delà des difficultés rencontrées, car ces nouveaux éléments l’ont déjà fait et les résultats nous montrent qu’ils ont été capables d’y arriver.

Ces nouveaux aspects se sont présentés comme des facettes de nous qui ont réussi à transcender ces croyances pour s’élever. Comme ces éléments font partie de nous, de notre monde, de notre collectif, de notre Esprit, alors nous y sommes déjà arrivés. L’espoir grandit, car nous avons les ressources et les capacités de le faire, car nous l’avons déjà fait.

Ainsi ce chemin nous rappelle juste que nous avons déjà toutes ces ressources en nous et cela nous est remémoré.

La réalité se transforme, car les croyances se sont modifiées et notre conscience s’étant élargie, nous avons une perspective plus grande et plus profonde.

C’est ainsi que nous trouvons la force et que l’espoir grandit.

Merci à toutes ces facettes de nous qui nous remémorent nos capacités et qui nous donnent la force de s’élever à travers les difficultés.

Nous exprimons des facettes qui vont aider d’autres êtres et le collectif, et eux-mêmes expriment des facettes qui nous aident. Nous sommes tous des éléments du même monde et nous nous entraidons mutuellement. Gratitude à Tous et Tout ce qui Est.

Merci, Merci, Merci

Source : ouvrir-son-coeur.fr

Voici quelques moyens rapides de gérer les grandes émotions

Par Julie Peters

Les émotions accablantes sont courantes, mais elles semblent souvent insurmontables. Essayez ces techniques pour vous ancrer et vous détendre.

Les émotions fortes font partie de la vie, et pas seulement pour les tout-petits. Il est normal et naturel, en tant qu’être humain, d’avoir de grandes réactions face aux inévitables difficultés de la vie.

Malheureusement, notre culture n’est pas très douée pour gérer nos grandes émotions, et beaucoup d’entre nous ont reçu le message qu’il faut supprimer et réprimer ces sentiments pour pouvoir continuer à fonctionner. C’est une mauvaise idée, notamment parce que ces émotions bloquées finissent par se manifester d’une autre manière, souvent sous la forme de symptômes physiques. Lorsque nous essayons constamment de ne pas ressentir ce que nous ressentons, nous créons une réaction de stress constante dans notre corps, ce qui peut nous rendre très malades.

Voici de meilleures idées pour gérer ces grandes émotions afin qu’elles vous aident à vous sentir bien physiquement et émotionnellement.

Suivez le courant

La meilleure façon de gérer une grande émotion est de la ressentir. Permettez-lui de circuler dans votre corps, détendez-vous et respirez. Laissez-vous aller aux pleurs, aux tremblements, aux sanglots, aux cris et à toute autre forme d’expression et de communication de l’émotion. Vous pouvez le faire seul ou avec une personne de confiance. (Essayez cette méditation !)

Il est évident que nous ne sommes pas toujours en mesure d’exprimer pleinement nos émotions et que nous devons donc les retenir jusqu’à ce que nous ayons la possibilité d’être présents à elles. (Voir ci-dessous pour plus d’idées à ce sujet).
Revenir au présent

Il existe d’innombrables façons simples de s’ancrer dans le moment présent pour se calmer. En voici quelques exemples :

Croisez vos bras sur votre poitrine et tapotez alternativement sur vos épaules. Cela peut aider à ramener le cerveau dans le présent et à calmer le système nerveux.

Les tapotements EFT sont un concept similaire, mais ils ont une séquence spécifique et sont souvent effectués en répétant une affirmation, telle que “C’était avant et c’est maintenant”.

Essayez une technique de respiration comme la respiration carrée : Comptez quatre temps pour l’inspiration, quatre temps pour la pause, quatre temps pour l’expiration et quatre temps pour la pause. Répétez cette technique jusqu’à ce que vous vous sentiez mieux.

Une autre pratique respiratoire simple consiste à se concentrer sur l’inspiration et l’expiration. Répétez jusqu’à ce que vous vous sentiez plus calme.

Frottez vos mains l’une contre l’autre et tapez du pied sur le sol.

Regardez autour de vous, y compris au-dessus et derrière vous. Remarquez vraiment votre environnement physique.

Comptez cinq choses que vous pouvez voir, quatre choses que vous pouvez toucher, trois choses que vous pouvez entendre, deux choses que vous pouvez sentir et une chose que vous pouvez goûter.

Trouvez toutes les choses bleues dans la pièce. Puis toutes les choses rouges. Passez d’une couleur à l’autre jusqu’à ce que vous vous sentiez plus calme.

Secouez, sautez, marchez ou dansez : le mouvement est un moyen puissant de revenir au corps et de sortir de la réaction de stress.

Respirez profondément en reniflant une odeur réconfortante comme la lavande ou votre parfum préféré.

Imaginez un récipient

Lorsque vous vous sentez suffisamment calme et que vous avez quelques minutes à vous, imaginez un récipient dans lequel vous pouvez ranger tout ce que vous pensez ne pas pouvoir gérer en ce moment. Imaginez-le dans les moindres détails : la couleur, la forme, la taille, la texture et le type de couvercle ou de serrure.

Imaginez que vous y placez tout ce que vous n’avez pas les ressources nécessaires pour gérer en ce moment, en précisant que vous gardez ces choses en sécurité et sacrées jusqu’à ce que vous vous sentiez capable de les gérer.

Écoutez la sagesse de vos émotions

Toutes nos émotions ont un but, une fonction et une signification. En général :

La colère identifie un besoin qui n’est pas satisfait ou une limite qui est franchie. Elle réclame un changement.

La tristesse traite une perte. Elle a besoin de temps, de tendresse, de douceur et de personnes sûres.

La peur identifie une menace et veut que nous nous mettions à l’abri.

La joie veut être partagée et exprimée.

Le dégoût identifie quelque chose de physiquement ou émotionnellement toxique et veut le faire sortir/éloigner.

Le désir sexuel nous pousse à nous rapprocher de quelqu’un ou de quelque chose.

Essayez d’identifier l’émotion. Où la ressentez-vous dans votre corps ? Que remarquez-vous à propos de la sensation et de l’énergie de l’émotion ? Si elle pouvait parler, que dirait-elle ? Tenez un journal du point de vue de l’émotion. Si la colère pouvait parler d’elle-même sans filtre, que dirait-elle en réalité ?

Pratiquer le calme

Plus il y a de pratiques de calme dans votre vie et dans votre routine, plus il est facile pour votre système nerveux de se glisser dans un état de calme. Le calme est une habitude comme une autre et doit être pratiqué. Voici quelques idées :

Les pratiques de mouvement apaisantes comme le yoga, le qigong, la danse et certains arts martiaux sont merveilleuses pour réguler la respiration et le système nerveux. Trouvez-en une qui vous plaise et assistez à un cours au moins une fois par semaine. Il est également très bénéfique de pratiquer ces activités avec d’autres personnes qui sont également calmes.

Intégrez la méditation et les pratiques respiratoires à votre routine quotidienne, même si c’est pour vous endormir le soir. Les méditations guidées sont excellentes, surtout si vous êtes novice en la matière ou si vous vous sentez stressé.

Prenez chaque jour le temps de vous détendre dans le calme. Il peut s’agir de se reposer dans une position confortable (Savasana ou Legs Up The Wall sont d’excellentes postures de yoga pour cela) ou de faire une sieste pendant 10 à 15 minutes par jour.

Remarquez les pratiques calmantes que vous pratiquez déjà dans votre vie quotidienne, comme cuisiner, faire des mots croisés ou marcher dans la nature, et faites de ces activités une priorité dans votre routine.

Notez quels sont les amis ou les membres de la famille avec lesquels vous vous sentez en sécurité et serein, et faites en sorte de passer plus de temps avec eux. Remarquez ceux qui vous stressent et faites de votre mieux pour passer moins de temps avec eux.

Soutenez-vous avec la méditation pour ressentir de grands sentiments.

Julie Peters

English version : https://www.spiritualityhealth.com/
Traduit et partagé par la Presse Galactique

Besoin de rien pour se sentir bien

Nous sommes persuadés avoir besoin de certaine chose comme aussi de certaine expérience dans l’optique de pouvoir être enfin bien avec soi-même. Toute la problématique est que c’est tout l’inverse ! Nous avons besoin de rien pour nous sentir totalement bien. Ainsi le fait de croire avoir besoin de quoi que soit, nous conditionne à imaginer être bien ensuite et c’est ce processus d’attente qui génère tout le paradoxe qui nous enferme complètement à travers de multiples voies de conditionnement.

On ne peut être réellement bien que quand il n’y a plus de condition et croire le contraire, c’est se laisser illusionner par tout ce qui est mis en place actuellement. Ceci est le conditionnement extrême de notre réalité collective. C’est le plan même qui en nous œuvre pour que nous ne puissions jamais goûter au bonheur véritable, puisque nous sommes sans cesse en attente de quelque chose pour pouvoir atteindre enfin tout ce bien-être à venir.

Comme il n’est jamais disponible en l’instant, il devient ainsi un bien à venir. Ceci crée alors l’illusion mentale que ce qui va venir ensuite sera pour notre bien. C’est là tout le piège du système ! Il n’y a rien à venir puisqu’il y a seulement tout à vivre. Tant que l’on attend ce qui doit nous rendre bien, on s’empêche finalement de ne pouvoir jamais l’être. C’est tout le paradoxe dans lequel nous sommes cloitrés, car nous ne savons plus être, mais uniquement imaginer ce que ce serait de pouvoir être à nouveau bien.

Toutes nos façons de voir, restent sans cesse équivalente parce que nous croyons complètement que nous avons besoin de certaines choses, comme aussi de certaines expériences afin de pouvoir être bien. Tout ce fonctionnement d’attente et donc de conditionnement nous désactive de notre vie et de notre pouvoir d’être bien, en paix, et donc de pouvoir simplement vivre en joie.

Comme nous sommes conditionnés, nous croyons à tous ces besoins qui nous poussent futilement vers tout ce qui nous empêchera de pouvoir goûter à ce bien-être ou à une vie simplement heureuse. Dans cette manière de vivre, il n’y a plus de place pour le bien-être ou le bonheur puisque nous vivons plus dans l’instant présent qui est la seule porte accessible à l’expérience de ce bonheur indéfectible.

Notre conditionnement est seulement possible parce que nous croyons avoir des besoins qui seuls pourront nous combler. Ces besoins existent exclusivement dans notre royaume imaginaire à travers un temps à venir et donc par le biais d’une réalité illusoire. Cette réalité est devenue à terme notre seule base, car toutes nos références pour exister dans notre monde s’y ancrent et s’y nourrissent.

Ce royaume virtuel est mental. À l’intérieur de cette réalité illusoire, nous croyons avoir des besoins, comme nous croyons aussi pouvoir vivre seulement à travers l’idée que nous en avons. Cette idée, cette structure mentale, est devenue le prisme par lequel nous croyons pouvoir vivre en ce monde.

Cette structure mentale est sans cesse tendue conditionnellement et c’est pour cela qu’elle nous programme à réagir d’une certaine manière afin d’atteindre l’idée que l’on sera enfin bien quand on aura suivi ce que l’on croit avoir besoin de suivre. Dans cet état, nous sommes toujours sous tension, car nous ne pouvons plus nous poser puisque nous sommes sans cesse en recherche de combler tous nos besoins et tous nos désirs.

Dans cette quête insensée, nous voguons dans un océan mental dans lequel il n’existe plus de port pour se poser. Seul le mouvement de nos besoins et de nos désirs nous élance sans cesse à travers toutes nos pensées qui les réactivent sans cesse. Dans ce flux sans fin, nous sommes perdus dans son mouvement incertain puisque ne pouvant jamais atteindre ce qui nous en éloigne sans cesse.

Ceci est le lot commun dans lequel le genre humain est enfermé. Il est emprisonné à rechercher toujours ce qui lui empêchera de trouver enfin son bien-être, sa paix et donc son seul bonheur véritable. Avoir besoin de tout ne servira jamais l’être puisque, tout au contraire, c’est cela même qui l’asservit sans cesse.

Tout ce qui lui fait croire qu’il a besoin de quoi que soit, est la dynamique même qui asservit l’être à exister dans une réalité où il ne peut plus juste être lui-même, où il ne peut plus se suffire à lui-même. Finalement, il ne peut plus être souverain puisqu’il donne tout son pouvoir à toutes les croyances qui le poussent à faire tout ce qui l’éloigne de lui-même et ainsi il ne peut plus être que l’ombre de lui-même, soit l’ombre de toutes ces croyances qu’ils projettent sans cesse en lui.

Tout ce qui lui fait croire qu’il a besoin de quoi que soit, est la dynamique même qui le pousse dans un mouvement qui l’éloigne sans cesse de la possibilité de vivre en l’instant, dans ce moment présent, et donc de vivre une expérience réelle de sa vie. Tant qu’il croira avoir besoin de quoi que soit d’autre que de lui, il se perdra sans cesse dans les méandres labyrinthiques d’une vie où il n’aura plus jamais accès à ce qui est essentiel, puisque seul le superficiel l’alimentera et le poussera à avancer sur une voie sans issu.

Besoin de rien pour se sentir bien, c’est comprendre que le besoin est irréel parce que c’est l’idée du besoin qui crée la tension afin de nous pousser vers ce que l’on croit avoir besoin. Mais une fois le besoin comblé, d’autres besoins viennent sans cesse se rajouter puisque le besoin est sans cesse illusoire. Ainsi, cela ne pourra jamais combler l’être puisque c’est seulement une fuite insensée vers ce qui n’existe pas. Cela n’apporte rien, car le bonheur ou le bien-être existe déjà en soi si l’on sait simplement l’accueillir en nous.

Il n’y a jamais rien eu à chercher ou même à trouver, mais seulement à pouvoir le faire éclore en nous. Tout est là, mais comme nous sommes sans cesse en recherche de, en tension de, on ne peut accueillir ce qui est déjà là puisqu’on court de toutes parts vers tout ce qui n’existe pas.

Besoin de rien pour se sentir bien, c’est comprendre que l’on n’a besoin de rien parce que tout est déjà là en nous, mais comme nous sommes absents de nous-même puisque sans cesse perdus dans un temps imaginaire comme dans un espace tout autant virtuel, on se perd dans tous les sens. Finalement, nous ne pouvons jamais être présents à soi, au monde, et à la merveille même qui féconde en nous tout ce que nous vivons puisque nous sommes focalisés sur tout ce qui nous illusionne.

La merveille est là pourtant, sans cesse ! Quand enfin, on arrive à s’ouvrir en soi, dans l’espace total de tout ce que nous vivons, pour qu’elle puisse éclore en nous, alors elle nous élève dans le bien-être, d’être à nouveau soi-même. Ceci est le véritable bonheur, car c’est la seule bonne heure à suivre et donc à expérimenter. Celle de vivre à hauteur de l’expérience réelle de notre vie et plus jamais dans les temps imaginaires où l’abysse infernal cherche à nous y enfermer sans cesse.

Léa Dostonne https://oeuvre-spirale.com/

L’ÉNERGIE DE PEUR EST ISSUE DU MANQUE D’AMOUR

Par Delphine Orieux

Imaginons le manque d’Amour dans un espace, comme une galerie avec des trous et des tunnels. La peur est la manifestation de la circulation de l’énergie ou de l’attention, dans cette galerie. Ainsi l’énergie s’est refroidie, s’est assombrie et a ralenti, car l’énergie tâtonne pour trouver son chemin dans l’obscurité.

Le ressenti de peur, issu du manque d’Amour, ressort sous forme d’énergie vibrant au ralenti, aveuglée par la Lumière environnante.

Le remède se porte ainsi sur le ressenti de peur qui a besoin d’être consolé comme un enfant tétanisé et en pleurs, puis sur la galerie du manque d’Amour, qui ne demande qu’à être découverte, pour être remplie de lumière, dans l’intégralité de ses cavités.

L’image devient nette et claire, l’odeur est soudainement agréable, le son est audible et compréhensible et l’énergie qui en ressort est lumineuse, rapide et vivifiante.

Quand la lumière remplit l’espace, l’obscurité disparaît.
Quand l’enfant est consolé, il reprend tout naturellement sa place.

Voilà où se situe la guérison : dans la capacité à explorer les causes de non-Amour dans tous les plans de son existence et de câliner son être intérieur avec la plus grande douceur.

Lorsque l’humain saura appliquer cette capacité pour lui et son prochain, le monde sera transcendé intégralement et le bonheur perdurera à travers l’Amour de Soi.

Merci, merci, merci

Source : ouvrir-son-coeur.fr

JOUER LE JEU DE L’ABONDANCE

Message de St Germain reçu par Agnès Bos-Masseron

L’heure est venue pour l’humanité de considérer différemment sa réalité à tous les niveaux.

L’intention ne peut jamais être d’accepter le manque, mais de porter la vision de la plénitude. L’argent, les finances, n’ont rien à voir avec une attention matérielle. L’argent est énergie, l’argent est l’amour.

L’intention peut-être que chaque être hôte de sa conscience la possibilité du manque d’argent et porte la vision, et nourrisse la vision par la plénitude de son attention, de la plénitude de l’abondance financière…

La fraternité ne considère jamais les êtres humains comme des êtres étant tributaires d’un manque. La fraternité considère les êtres humains comme les créateurs de leur réalité.

À porter la vision de l’abondance, l’abondance se manifeste. À se sentir enfermé dans un carcan de manque ou de pénurie, la pénurie se manifeste.

Particulièrement maintenant, l’heure est à la grande ouverture et à la réalisation pour l’humanité que tout est possible depuis la vision. C’est la vision, c’est l’intention qui précipite la manifestation…

La vision implique le fait d’offrir pleinement le doute, d’offrir pleinement la croyance qu’il puisse manquer. L’argent est librement précipité par la puissance de l’amour…

La magie s’opère. La vie est magie pour celui ou celle qui accepte de la voir dans la plénitude de cette vision de magie.

L’humanité peut offrir ce carcan dans les croyances de conditions matérielles étriquées et jouer pleinement le jeu de l’abondance, le jeu de la création.

Agnès Bos-Masseron

Source : anandamath.org

POUR LA CRÉATION, L’HEURE EST AU GRAND ALIGNEMENT

Message de l’Être reçu par Agnès Bos-Masseron

Voyez, deux plans simultanés. Le plan de l’ouverture, sur la base et la fréquence de gratitude, sur la base et la fréquence du choix conscient et permanent de n’honorer que la partie la plus belle, la plus vaste, la plus haute de soi. Et simultanément, les plans des habitudes, des modes fonctionnement compulsifs. Il suffit du moindre incident, du moindre événement pour que l’habitude et le fonctionnement compulsif reprennent le dessus.

Et simultanément est l’Être de lumière que Je Suis. Cet être est être de choix conscient. Cet être a sa demeure, si l’on peut dire, dans la fréquence vibratoire la plus élevée, la plus puissante, la plus performante.

Si l’attention est offerte à cet Être dans la simple intention d’accorder son fonctionnement à celui inhérent à cette fréquence vibratoire, alors les autres plans se sentent nourris et peuvent prendre refuge dans la vastitude d’être lumière. La relation est bien comme cela. L’Être de lumière rayonne et fait le choix conscient de l’autodépassement permanent. Les autres fréquences prennent refuge, c’est-à-dire s’inclinent et font le choix ultime de quitter les modes compulsifs pour, en conscience, choisir de s’aligner éternellement. Éternellement s’aligner comme on écoute la vibration d’un chant limpide et l’on aligne sa voix à cette vibration.

Ainsi peut jaillir la civilisation d’harmonie. En soi, elle ne prend pas sa place dans une ligne évolutive. L’Être de lumière que Je Suis est éternellement présence. Seule est la multidimensionnalité. Les autres plans peuvent choisir de prendre refuge, c’est-à-dire de s’incliner, de se fondre et d’accepter de s’aligner, d’être écoute et de choisir d’être l’écho vivant de la voix éternelle.

L’heure est au grand choix. L’être humain peut choisir d’honorer la multidimensionnalité et alors incessamment invoquer, s’aligner à l’Être de lumière qui est le niveau, la fréquence la plus exaltée de lui ou d’elle-même.

Dans cette plénitude d’honorer, d’incarner la fréquence la plus vaste, la plus haute, cette note unique dans la symphonie divine, le silence est adoré et respecté. C’est lorsque l’on honore et s’incline devant la beauté du silence qu’il révèle sa richesse. C’est de cette richesse qu’est nourrie la vision et qu’elle s’épanouit. Porter la vision n’est pas un acte mental, c’est l’offrande du cœur au fonctionnement cérébral pour que l’impulsion de l’intention s’épanouisse spontanément en matérialisation.

C’est du cœur du silence que peut jaillir le visage de l’humain sacré. Car dans le cœur du silence, rien n’a pu s’infiltrer qui vienne créer un masque ou ramène toujours au même mode de fonctionnement, peut-être un peu amélioré. Il ne s’agit pas maintenant d’améliorer un peu l’énergie de l’année qui s’ouvre. Il s’agit de la sortir de l’emprise du temps pour qu’elle soit le jaillissement de rayonnement de la version la plus belle de la création dans la simplicité de l’harmonie et l’infinie puissance.

Pour la création, l’heure est au grand alignement. Encore faut-il en faire le choix. Il n’est plus nécessaire et encore moins inévitable de revenir sur les rails des modes automatiques et des automatismes de fonctionnement. Chaque moment, être le choix vivant. La puissance de ce choix vient de l’attention tout offerte à l’Être de lumière éternellement présent qu’est chaque être. Un autre registre, un autre diapason à partir duquel se joue la symphonie de l’incarnation. Le choix est maintenant. Cela aussi est inévitable, inévitable de par la multidimensionnalité, inévitable de par la beauté de la vie.

La Terre a fait le choix. Il est merveilleux de s’aligner.

Agnès Bos-Masseron

Source : anandamath.org

La plénitude de l’être

La plénitude de l’être est un état de totale présence. Où la conscience arrive à se focaliser, à travers tous les sens, sur chaque élément qui partage l’expérience de cet instant présent. La conscience est ouverte totalement sur tout ce qui se passe en elle, comme à l’extérieur d’elle. Rien ne peut plus interférer l’expérience, puisqu’elle s’est fondue dans le tout, et tout n’est plus qu’un en soi.

C’est un état dans lequel la conscience est si vide de tout qu’elle peut se remplir de chaque chose et donc de chaque expérience. Cette plénitude ne peut advenir que parce qu’elle est sans cesse vide, ouverte, présente. Sans ces trois éléments, la plénitude ne peut être expérimentée, car quelque chose l’en empêche.

Dans cet état, nous sommes en phase totale avec l’être de notre être puisqu’il est là, à travers notre ouverture, dans le vide et la conscience de ce que nous expérimentons. Nous lui permettons d’être présent à travers notre présence, d’être ouvert à travers notre propre ouverture.

Nous ne vivons plus alors nos états d’être, mais à travers l’état naturel de notre être authentique, source de tout ce que nous sommes réellement. Dans cet état total, incommensurable, nous faisons l’expérience de l’infini dans le fini.

Toute l’infinité de ce que nous sommes réellement peut vivre maintenant à travers nous et nous montrer tout à travers son regard. Nous faire alors sentir tout à hauteur de la sensation infinie de l’amour total pour toute chose, pour tout être, et donc pour toute vie comme aussi pour toute expérience.

La plénitude de l’être est la plénitude de toute chose, de toute vie et de toute expérience qui se retrouve en soi. Dans cette osmose de sensation, l’énergie s’ouvre en nous, à travers de douces vagues qui nous submergent et nous amènent peu à peu vers l’expérience vibratoire.

L’expérience vibratoire est l’école de la vie infinie qui, à travers tout ce que nous allons vivre, nous permet de retrouver l’intelligence infinie de notre être. Là, dans cette intelligence unitaire, le sens de tout ce que nous sommes s’ouvre et nous achemine doucement vers ce qui nous dépasse, mais qui pourtant est l’origine de là d’où nous venons.

Dans ce mouvement infini, nous comprenons alors tout puisque nous refaisons l’expérience à travers ce tout. Ce tout est là sans cesse en nous comme en chaque être que l’on rencontre. Ce tout est toujours prêt à nous aider et donc à nous retrouver, et quand on se retrouve, on redevient simplement ce tout, parce que c’est ce que nous sommes de tout temps, et donc de toute éternité.

Léa Dostonne https://oeuvre-spirale.com

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