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7 pistes pour se rendre heureux

 
Réussir sa vie, c’est construire un édifice en trois dimensions : matérielle, relationnelle et émotionnelle. Autrement dit : atteindre ses objectifs, tout en préservant de bonnes relations et une bonne image, sans pour autant sacrifier son bien-être. Une réussite sociale qui nous laisserait malheureux n’est plus considérée par nos contemporains comme un idéal de vie réussie. Mais autant les dimensions matérielles et relationnelles obéissent à une certaine logique, autant la dimension émotionnelle d’une vie réussie, avec ses aspects inconscients (nos névroses) et biologiques (notre tempérament) s’avère plus difficile à contrôler.Les êtres humains savent depuis toujours la difficulté immense à atteindre le bonheur. Aristote enseignait ainsi que « le sage n’aspire pas au plaisir, mais à l’absence de souffrance ». Plus près de nous, Jules Renard écrivait dans son “Journal” (Gallimard) : « Le bonheur, c’est le silence du malheur. » Comment, alors, ne pas se rendre malheureux ? Voici sept conseils, sept directions plutôt, qui représentent déjà tout un programme…

1) Prendre la décision d’aller bien

Lapalissade ? Pas si évident. Le philosophe Alain avait coutume de dire : « Il faut vouloir être heureux et y mettre du sien. Si l’on reste dans la position du spectateur impartial, laissant seulement entrée au bonheur et portes ouvertes, c’est la tristesse qui
entrera. » Il est toujours plus facile, moins coûteux en énergie psychologique, de se laisser aller au malheur. A l’inverse, faire durer le bien-être nécessite des efforts.

Pour expliquer cela, il y a d’abord des raisons personnelles : il existe des différences nettes entre les individus quant à leurs capacités à se sentir bien. Et des facteurs propres au genre humain : l’évolution semble avoir favorisé chez nous l’existence d’émotions négatives, dont la fonction est d’augmenter les chances de survie de l’espèce. La peur favorise la fuite ou le combat, la colère intimide les adversaires ou les rivaux, la tristesse attire la compassion, etc. Mais la nature, si elle a eu le souci de notre survie, n’a guère eu celui de notre qualité de vie. Le spectre des émotions et humeurs positives est beaucoup plus restreint, plus labile, et d’accès plus coûteux en termes d’énergie psychologique.

2) Ne pas laisser trop d’espace au sentiment de malheur

Si les émotions négatives sont occasionnelles, peu durables et perturbent moyennement notre quotidien, on peut attendre qu’elles disparaissent d’elles-mêmes. Mais flirter avec le malheur, valorisé notamment par le romantisme au XIXe siècle, comporte certains dangers que la psychologie commence à mieux étudier. Laisser libre cours à une émotion négative risque d’en prolonger la durée. On croyait auparavant à un certain effet cathartique : se plaindre permettait d’alléger sa souffrance, par exemple. Il semble que cela soit souvent l’inverse : la plainte répétée et sans réponse peut transformer en victime de la vie. Et le malheur se nourrit de lui-même : plus on s’y laisse aller, plus on en prolonge la durée. De plus, s’abandonner au sentiment de malheur va faire passer peu à peu d’une émotion négative ponctuelle – on se sent malheureux – à une vision négative durable – on a une vie malheureuse. Enfin, cela prépare le retour des émotions négatives ultérieures : le phénomène est bien connu dans la dépression, qui a une très forte tendance à la récidive, et il a été démontré en ce qui concerne l’humeur triste quotidienne.

3) Prendre soin de soi, surtout quand on ne va pas bien

Encore une évidence ? Oui, mais mille fois contredite par l’observation. La plupart des anxieux et des déprimés font exactement l’inverse. Plus ils vont mal, plus ils se maltraitent (en ne voyant plus leurs amis, en ne pratiquant plus leurs loisirs préférés…) et plus ils se maltraitent, plus ils vont mal.

Le cercle vicieux est alors enclenché. Faire des choses agréables lorsqu’on ne va pas bien ne relève pas de l’évidence, car on n’en a pas envie. Or, tous les travaux disponibles montrent qu’il faut réamorcer cette envie par des efforts initiaux (telle la remise en marche d’un moteur qui a calé). Et qu’il ne faut pas se tromper d’objectif : lorsque l’on va mal, le but des activités agréables n’est pas de nous rendre heureux, mais d’empêcher le mal-être de s’aggraver ou de s’installer.

4) Pas de perfectionnisme ni d’obsession du bien-être

Flaubert, en parlant du bonheur, écrivait : « As-tu réfléchi combien cet horrible mot a fait couler de larmes ? Sans ce mot-là, on dormirait plus tranquille et on vivrait à l’aise. » (in “Dictionnaire des idées reçues”, Maxi-Livres, 2001) Inutile de prendre le cher Gustave à la lettre, mais tout de même… La recherche du bien-être ne doit pas virer à l’obsession, et le droit au bonheur – inscrit par exemple dans la constitution américaine – ne doit pas se transformer en « devoir de bonheur », selon l’expression de l’écrivain Pascal Bruckner.

D’autant que le sentiment de malheur, qui fait partie de l’existence, peut parfois être utile, en nous faisant réfléchir ; ou nécessaire, en nous faisant ouvrir les yeux sur des réalités désagréables. Nous ne pouvons pas éviter sa rencontre, mais il est à notre portée d’en faire un bon usage.

5) Face aux soucis quotidiens, réfléchir, ne pas ruminer

L’étude du psychisme des anxieux montre qu’ils ont toujours des tracas en tête, mais que, paradoxalement, jamais ils ne les abordent efficacement : leurs ruminations ne leur apportent pas de solutions. C’est que la vocation du souci est d’être un signal d’alarme (attirer notre attention sur un problème) et non une façon de voir le monde ou de faire face à ses problèmes. Voilà pourquoi l’un des objectifs prioritaires des psychothérapies, notamment cognitives, est d’amener les personnes à considérer leurs malheurs comme des problèmes à résoudre et non comme des malédictions.

On utilise alors une démarche dite « socratique », qui consiste en un questionnement serré sur ces inquiétudes : qu’est-ce qui relève des faits et qu’est-ce qui relève de l’interprétation ou de l’anticipation ? Est-ce que continuer à me faire du souci m’apporte quelque chose ? Quel est mon scénario catastrophe ? Quelles sont les chances qu’il survienne dans ma vie ? Etc. Rude, mais instructif.

6) Ne pas nourrir d’émotions hostiles

Une grande part de notre malheur vient de la place exagérée que nous faisons aux émotions « hostiles ». Elles sont parfois intenses et tournées contre des personnes précises (rancœur, ressentiment, jalousie, etc.). Le plus souvent, elles prospèrent parce que nous privilégions notre besoin d’avoir raison (« Ils ont tort, ils doivent être punis ») à notre désir de nous sentir bien (« J’en suis la première victime, autant réfléchir à ce que je peux faire d’utile et passer à autre chose. »).

Dans d’autres cas, ces émotions négatives relèvent de l’irritabilité envers les défauts du genre humain, et font poser un regard critique ou cynique sur le monde et ses habitants : « Celle-là, si elle se croit belle… » Le manque de bienveillance est souvent preuve de mal-être, et toujours source de malheur. Philippe Delerm, l’écrivain des « plaisirs minuscules » (“La Première Gorgée de bière et autres plaisirs minuscules”, Gallimard, 2002), disait pour sa part avoir « choisi de vivre en amitié avec les choses de la terre ».

7) Savourer les moments de bien-être

La meilleure des armes contre le malheur, et la plus agréable à utiliser, c’est sans doute de profiter encore mieux des bons moments que nous offre l’existence. Savourer le bien-être lorsqu’il est là, l’intensifier, le densifier représente un très bon vaccin contre le sentiment de malheur. Vous n’éviterez peut-être pas la maladie, mais ce sera sous une forme atténuée ! Comme toujours, ce n’est pas si facile que cela en a l’air.

Le philosophe André Comte-Sponville parle très justement de toute la difficulté qu’il y a d’être « heureux quand tout va bien ». N’attendons pas l’adversité pour nous rappeler que la vie peut être belle et pour regretter de ne pas en avoir mieux profité… Nous voici revenus au plus ancien et vénérable des conseils de la philosophie, le bon vieux « carpe diem » (« Mets à profit le jour présent »).

Source: https://www.psychologies.com/

I M P O R T A N T !

Vous êtes touché par l’enseignement des baleines et vous souhaitez vous aussi, selon vos moyens et en conscience contribuer à leur sauvegarde.

Je vous propose de prendre connaissance et de participer à cette nouvelle expédition-mission de Jésabelle  en Norvège.

Illuminer les égrégores de chasse à la baleine, sans quitter le confort de votre salon, sera pour vous une nouvelle et puissante expérience très hautement vibratoire !

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Devenez officiellement supportaire de cette mission-expédition en cliquant sur le lien ci-dessous !

https://fr.ulule.com/hommage-aux-baleines-de-la-norvege/

Ensemble soyons solidaires avec les peuples de la mer !

Venez nager avec les dauphins vous aussi !

Un petit cadeau de Hawaï, un merveilleux souvenir ! Ne me cherchez pas dans le cercle, je tiens la caméra ! ^^ Enjoy !

L’aventure est terminée, embarquement !

Vendredi 13 janvier 2017,

Et bien nous y voilà ! Ce soir c’est le départ… Avant de me lever j’enfile mes bas de contention, car entre les chevilles enflées et la chaleur, je ne pourrai plus le faire plus tard et vu le temps de transport, ça craint ! ^^ Je suis un petit peu « tristouille » en prenant le dernier petit déjeuner au centre avec tout le groupe. Mais bon, toutes les choses ont une fin, même les bonnes ! Disons que c’est à contrecœur, mais bien contente de rentrer quand même…

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Au programme du matin, entretien individuel d’une ½ heure avec Jésabelle, à tour de rôle ; bagages et temps libre jusqu’au repas de midi. J’ouvre les festivités à 7 h 30 et après avoir fermé ma valise, je papote avec les filles, dans le jardin inondé de soleil, au gré de leur disponibilité. Le séjour est passé tellement vite et nous étions tellement fatiguées par le travail vibratoire intense que nous n’avons pas tellement pris le temps de le faire jusqu’à présent !

starbuckhilo_rPendant le déjeuner nous mettons au point « avec passion » le programme de l’après-midi. ^^ Et après les au revoir et hugs de rigueur, Karen emmène Jésabelle et notre amie qui restera une semaine de plus à Hawaï, chez le loueur de voitures pour deux voitures (nous n’avons plus de van). Dès leur retour, transbordements vers Starbuck, pour le wifi gratuit et ensuite aéroport. Des petits couacs, des petits retards (j’ai bien cru que j’allais devoir prendre un taxi…) mais à l’heure d’embarquer, in extremis, tout le monde est là, c’est l’essentiel !

Avec son Altesse et la troisième éclopée (du bras !), nous avions convenu que nous voyagerions « assistées ». À l’embarquement, nous demandons donc l’assistance à United Airlines. Deux chaises roulantes arrivent, sur lesquelles son Altesse et moi nous installons, le sac à dos sur les genoux et toutes les trois nous filons comme le vent vers la police des frontières, petit portillon, file spéciale et nous passons sans avoir à faire la queue et sans avoir à ouvrir le sac, on fait tout ça pour nous ! ^^ Nous avons juste à nous lever pour passer sous le détecteur de métaux et aussitôt après, hop assises !

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Nos accompagnateurs nous proposent de rester dans le salon d’attente du bas, afin d’avoir moins chaud (oui c’est un peu comme à la maison), en attendant l’embarquement. Pour chaque embarquement, nous sommes prioritaires et déposées à la porte de l’avion. À 22 h 23 le 13 janvier, nous décollons pour Los Angeles.

À peine arrivée à ma place dans l’avion, je suis agressée par les écrans qui diffusent en boucle la bande annonce d’un film qui, visuellement et vibratoirement, ne me convient pas du tout. Un machin du style « Resident Evil » ou autre horreur like ! Le hic c’est qu’il m’est impossible de changer de chaine, ça ne marche pas ! La seule solution que je trouve est de masquer l’écran avec les consignes de sécurité et de ne pas me risquer à tourner la tête d’un côté ou de l’autre ! ^^

J’ai le plaisir d’avoir ma filleule à côté de moi, car l’avion n’est pas plein et ensemble nous veillons à rester centrées et à bien respirer pour qu’elle ne soit pas malade comme à l’aller. Le 14 janvier vers 05 h 32 nous atterrissons à Los Angeles, soit un peu plus de 5 h après. Deux chaises nous attendent pour nous déposer à notre nouvelle porte d’embarquement.

Là nous nous séparons en deux groupes : celles qui passent par Washington (les 3 éclopées) et les autres qui partent pour Chicago ou San Francisco. Le temps de faire une pause pipi, de prendre un petit déjeuner avec ce que la vendeuse qualifie de « croissant » et nous voilà à l’embarquement.

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14 janvier 8 h 25, nous décollons pour Washington/Dulles où nous arriverons, compte tenu du décalage horaire à 16 h 30, (soit 5 h de vol). Là nos accompagnateurs ont dû faire de la marche très rapide, car le hall est immense pour aller à la bonne porte et le temps de transit très court, compte tenu du léger retard. Sans eux, je pense que nous n’aurions pas eu notre correspondance !

14 janvier 17 h 40, nous décollons pour Paris/Charles de Gaulle. Mes voisins de siège sont un couple de jeunes américains. Nous avons droit aux boissons, au repas standard United Airlines (c’est pas du Fauchon je peux vous le certifier !) et je m’endors pendant 3 bonnes heures, voilà qui me refait une petite santé… Je ne regarde pas mes chevilles que je sens aussi fines que des poteaux télégraphiques ! ^^ Après un vol sans histoire, nous arrivons dimanche 15 janvier, aux environs de 7 h (soit après un peu plus de 7 h de vol).

Nos accompagnateurs nous attendent pour nous emmener à travers les couloirs, les passerelles et les ascenseurs, récupérer nos bagages. Pendant cette attente, nous apprenons que nous pouvons bénéficier d’une navette « privée », pour aller à la gare TGV, ce qui évite d’avoir à prendre le Val ! Option que nous nous empressons d’accepter puisque nous avons le TGV à 9 h 58 pour moi et 10 h 15 pour mes compagnes de voyage.

Nous attendons donc au point accueil, bien au chaud, allongées sur des fauteuils, jambes surélevées, que le chauffeur arrive. Un Américain prend également place avec nous dans le minibus et nous roulons à travers cette véritable ville, qu’est Roissy, pour le déposer d’abord à son terminal, puis jusqu’au terminal TGV.

Là, la température n’est plus la même ; on se gèle, il fait 0° ! Tiens, ça me rappelle quelque chose… Lorsque je suis arrivée de Ouagadougou, à Noël, il y a quelques années de ça ! Même s’il n’y a pas autant d’écart de température : 38°-0° et que je suis tout de même plus couverte, c’est quand même sanglaçant ! ^^ Et puis, quand on descend dans la gare, ça n’est pas mieux… Cette gare, comme toute les gares d’ailleurs, est une cathédrale de courants d’air ! Heureusement que l’attente est courte.

tgv_rLe TGV arrive. Pour l’instant il n’est pas encore bondé. Je repère ma place, essaye tant bien que mal, de trouver où mettre ma valise. Au vu  de la grande « soupleté » de mes chevilles, c’est une charmante jeune femme : une Nîmoise qui m’aide à la glisser sous le porte-bagages et enfin je me laisse tomber dans le siège. Je commence à être très fatiguée et à ressentir une sorte de nausée de devoir passer encore 3 h 30 dans le train. Nous sortons de Paris, horreur, c’est tout blanc : il y a de la neige et ce, jusqu’à Valence !

Personne à côté de moi, j’en profite pour poser mon sac à dos sur l’autre siège et manger une barre énergétique, car avec le bruit du train, je commence franchement à zoner ! Et tandis que le zonage devient plus intense je remercie mes loulous, mes guides de mon plan vibratoire, mon « commando d’élite » d’avoir créé les convergences nécessaires à la foulure de mon pied gauche ; sans eux je n’aurais pas connu le plaisir de voyager « assistée » ! Quel bel équilibre, gratitude, vous êtes une super équipe et je vous aime !

Puis j’entends : « Nîmes, ici Nîmes, assurez-vous de ne rien oublier dans le train… » enfin c’est l’arrivée !

Voilà, une tranche de vie se termine, un chapitre se clôt… un peu à contrecœur mais quand même contente, car 2017 ne fait que commencer et comme je le dis toujours : « Une porte se ferme et une autre s’ouvre ! ». 2017 de nouveaux voyages ? Yep, I hope so !

Maloha à tous ! Aloha !

Fin de l’expédition.

Punalu’u black sand beach et ses tortues géantes…

Jeudi 12 janvier 2017,

Aujourd’hui la journée se fera en deux temps : une matinée d’intégration et de guérison auprès des arbres du centre et une après-midi à Punalu’u Black Sand Beach où nous aurons un moment de connexion intime avec les tortues géantes.

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eucalyptus_rPetit déjeuner comme d’habitude vers 7 h, ensuite séance de chi quong avec son Altesse, pendant que les autres font de la marche afghane et à 10 h tout le monde est présent pour une connexion vibratoire avec « The Tree » qui dégage une puissance impressionnante suivie d’une séquence de guérison et de montée en vibrations avec les eucalyptus du bord du chemin. La fin de matinée nous sert à intégrer toute cette énergie.  À 12 heures déjeuner et à 13 h 30 départ pour Punalu’u Black Sand Beach toujours avec Rayleen au volant.

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Punalu’u Black Sand Beach : ce sable noir est vraiment très surprenant et comme le soleil n’est pas vraiment au rendez-vous, tout est assez sombre. L’océan est d’ailleurs agité et il semble trop froid, avec bien trop de vagues pour que j’ose simplement penser à mettre un orteil dans l’eau !

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Dès notre arrivée, nous apercevons un groupe de 6 tortues. La zone où elle se situent est protégée et il est interdit d’y marcher. Assise sur le côté, je les observe tranquillement et ressens, en leur présence, un enseignement sur le rythme, le respect de son propre rythme, la patience ; comme une grande sagesse provenant de la terre… Peut-être aussi parce que la tortue de mer peut atteindre l’âge respectable de 80 ans et peser plus de 130 kg ! ^^ Ces vénérables sages s’économisent un maximum, ne soulèvent la tête ou n’ouvrent les yeux qu’une fois de temps en temps et ne bougent que lorsque l’eau les empêche de dormir !

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La sensation des pieds dans le sable est vraiment surprenante, on dirait qu’on a les pieds dans des petites perles de verre ! Nous nous déplaçons sur la plage et là nous rencontrons une autre tortue qui rentre en communion intime avec Jésabelle. Vous remarquerez comme l’eau sur le sable est bleue, c’est étonnant ! Les courageuses se décident à se jeter à l’eau… Quelle horreur ! Nos sirènes partent à la recherche des tortues qui se nourrissent ; au bout de quelques minutes on ne les distingue plus ! Certaines ressortent assez vite car elles ont froid, seule une irréductible restera dans l’eau jusqu’à notre départ !

punaluu-beach-parkNous opérons un repli stratégique sur une surface herbeuse, près de la cabane du lifeguard. Un petit air d’alerte à Malibu, de Surfer’s Paradise, oui oui, je le confirme, c’était un beau gosse !  Là nous sommes pile en face du Japon (en face du Japon… c’est un peu dur à imaginer !) et nous faisons un travail d’illumination sur l’égrégore de la chasse à la baleine.

Lorsque notre dernière sirène est revenue, nous retournons au van pour prendre notre petite collation et nous prenons la route du retour vers le centre pour commencer nos bagages et passer notre toute dernière soirée et nuit hawaïenne, pour la majorité d’entre nous.

Séquence émotions au moment de dire au revoir à Rayleen ! Repos, douche, repas et dodo.

Dernière sortie en mer : Kealakekua Bay…

Mercredi 11 janvier 2017,

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Hou là là, un sommeil de bûche, mais un peu bizarre ! Ce matin j’ai l’impression d’avoir intégré un dragon ! Des sensations étranges dans la colonne vertébrale, dans les côtes et dans les mâchoires.

Aujourd’hui, nouvelle et dernière journée en mer ! Bon cette fois-ci je vais pouvoir me jeter à l’eau, c’est ma dernière possibilité, alors… Petit déjeuner comme d’habitude vers 7 heures, ensuite séance de chi quong avec son Altesse et à 10 heures tout le monde est sur le pont pour le départ avec Rayleen. Comme d’habitude, 2 heures de route avec le petit arrêt pipi au centre d’achats et nous arrivons à l’embarcadère.

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Tiens, le chien n’est pas là, ouille, ça craint ! Mais non, ce sera relativement calme ! Tranquillement nous déjeunons sur le bateau en compagnie des membres d’équipage (sauf le capitaine qui pilote, c’est Jasmine qui lui porte à manger) et nous apprécions la mer et le soleil.

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Nokbay1us profitons de la compagnie des dauphins, toujours aussi nombreux, toujours aussi joyeux et joueurs. Le capitaine longe parfois la côte pour nous faire admirer des petites baies où l’eau est turquoise et transparente et où les vagues se fracassent sur la côte escarpée et noire ; de vrais petits bijoux ! Enfin nous arrivons à Kealakekua Bay. Cette région est une zone de conservation de la vie marine, interdisant la pêche et donc un lieu privilégié pour la plongée.

palmes_rLà, plus d’échappatoire, c’est le moment de poser les lunettes pour mettre le masque et le tuba (les palmes je ne peux pas avec mes pieds enflés !) et la frite : on n’exagère pas tout de même, sauter du bateau (chose que je n’avais jamais faite de ma vie !) sans frite : pure hérésie ! ^^ 1, 2, 3 et hop me voilà dans l’eau…

Avouez que vous n’y croyiez plus hein… ! Et bien si, me voilà à regarder le fond de l’eau ! Non mais, vous vous rendez compte… moi qui ai peur de la profondeur, je regarde le fond de l’eau ! D’accord je vous l’accorde ça n’est pas très profond, 3 ou 4 mètres. Pas comme à l’avant dernière sortie où il y avait 1100 m de profondeur… là je syncope ! ^^

Kealakekua-145_rEh bien, c’est comme si nous avions plongé dans un aquarium tropical… des coraux, des minuscules méduses ? et plein de poissons de toutes les couleurs, une vraie merveille. maxresdefault_rEt, pour nos sirènes, pour celles qui se sont bien plus éloignées du bateau que moi, le privilège de nager avec les dauphins de la baie, un grand moment pour chacune.

Après être remontée sur le bateau par l’échelle… au retour de la baignade donc, nous croisons un paquebot à l’ancre, qui débarque son flot de passagers sur la côte. À toute vitesse des bateaux navettes entièrement fermés, telles des boîtes de conserves flottantes et motorisées, font l’aller-retour en alternance.  Les touristes ne peuvent apercevoir les dauphins qui joyeusement sautent, qu’au travers de petits hublots. Quelle tristesse de ne pas être présents et conscients de ces instants fabuleux de communion avec les dauphins ! Enfin chacun son trip !

porte2_rPour notre dernière sortie, le capitaine nous offre de nous rendre dans une baie spéciale pour faire la photo de groupe. Vraiment, je vous garantis que c’est un as du pilotage et de la manœuvre, car la baie est petite et l’océan se brise fort contre les rochers ! Et surprise, c’est une baie dans laquelle nous découvrons une porte. Cadeaux, cadeaux et encore cadeaux ! Puis nous revenons au port où nous prenons le temps remercier et de dire au revoir au capitaine et à son équipage. Toujours émouvants les au revoir !

Une petite collation dans le van et c’est le retour vers le Centre par une route « spéciale » qui monte à 2000 m d’altitude, avec une alternance de passages carrossables et d’autres défoncés, du brouillard qui donne une impression surréaliste… Si nous avions besoin de nous faire secouer pour assimiler toutes les énergies que nous avons reçues, le pas-sage est fait.

Nous arrivons avec un peu de retard vers 19 h. 19 h 30 dîner, douche et dodo.

Journée randonnée au Volcan KILAUEA

Mardi 10 janvier 2017,

Aujourd’hui c’est journée de randonnée à la découverte de cratères volcaniques. L’un des volcans les plus actifs et des plus jeunes sur la terre, le KILAUEA est situé sur le flanc du MAUNA LOA. C’est là que nous nous rendrons pour activer le feu vibrant d’amour de notre cœur.

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Le nom Kilauea signifie « jaillissant » ou « s’étendant », en référence à l’éruption continue depuis 1983. Le Kilauea est un lieu essentiel dans la mythologie hawaiienne : il est considéré, par beaucoup, comme la maison de Pélé, la déesse du feu et des volcans.

C’est la dernière étape très importante pour moi et aujourd’hui, je marche parfaitement bien ! Départ 8 h 30 avec Rayleen que Jésabelle a réussi à garder comme chauffeur, son énergie féminine plus douce, moins pressée, moins nerveuse, nous convient bien mieux que celle de Marco ! ^^ 1 h 30 de route vers le musée du volcan que nous ne visiterons qu’en fin de parcours.

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Premier cratère de volcan, près du musée, avec fumeroles et lave en fusion parfaitement visible, le tout sous un superbe soleil. Rarissime, selon les dires de Rayleen !

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Puis petite marche jusqu’à un autre cratère, auprès duquel nous effectuons un petit travail avec de l’eau de Hawaï, filtrée par la lave du volcan. Nous bénéficions ensuite d’un temps d’intériorité, chacune pour soi. Mes deux pieds s’arrêtent, comme scotchés sur une pierre, et les yeux fermés, mes bras se mettent à bouger tout seuls, comme cette « Grande Dame » que je vois !

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champs_lave_2Tout doucement nous revenons au van et nous partons pour le bord de mer en passant devant des hectares de terre recouvert de lave ; paysages étranges !

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Nous déjeunons dans un endroit calme, loin des bateaux de croisière, après quoi nous nous préparons pour aller voir la « sea arch » ! Mais là, c’est plein de touristes qui arrivent par hordes !

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Il faut attendre et calculer le bon moment pour que Jésabelle puisse nous passer une par une devant cette porte « spéciale »… Je suis prête pour le grand final ! ^^ Prudente, elle demande à ma filleule d’être en appui. Waoow, heureusement qu’elle était là… sinon la fusée décollait ! ^^ Activation de mon élément feu : check !^^

J’ai le plexus cardiaque en feu et tout le long du retour je sens le travail qui se fait en moi. À l’arrivée je ne me sens pas vraiment stable, tous les réglages ne sont pas encore finalisés ! ^^

Douche, repos, repas et dodo, j’ai largement ma dose pour aujourd’hui !

Troisième sortie en mer à la rencontre des dauphins…

Lundi 9 janvier 2017,

Aujourd’hui nouvelle matinée en mer. Bon bin… la nage avec les dauphins ce ne sera encore pas pour moi aujourd’hui ! Au lever mon pied est toujours enflé même si je peux le poser et marcher un peu plus normalement… plus de canne, je ne fais qu’emprunter une chevillière à Karen.

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Lorsque nous arrivons au port, nous voyons le chien sur le bateau ; la mer serait-elle calme aujourd’hui ? En effet, comme pour la première sortie, la mer est calme et les dauphins nous accompagnent en très grand nombre autour du bateau.

Tursiops_truncatus_01-croppedUn grand dauphin est même venu à oeil_dauphinl’avant, dans l’axe du bateau, nous a regardé de son bel œil et s’est tourné pour nager sur le dos et nous envoyer ses puissantes fréquences. Séquence émotions !

baleineau_rSur le chemin, nous avons ressenti les fréquences des baleines, que nous avons vues ou non et chose extraordinaire, à un moment donné, un baleineau est resté immobile sous le bateau arrêté ! Waoow… Des cadeaux, des cadeaux, toujours plus de cadeaux, nous sommes vraiment gâtées ! C’est toutes abasourdies par ce que nous venions de vivre, que nous avons repris le chemin du port.

dauphins-in-hawaii-120584Vous voulez nager avec les dauphins demande le capitaine en arrêtant le bateau ? Aussitôt le groupe se déplace à l’arrière du bateau, pour mettre masques, tubas et plonger, comme une joyeuse colonie de vacances ! Aujourd’hui encore je reste à l’avant ! Avec beaucoup de plaisir je vais filmer les nageuses, le magnifique cercle de lumière qu’elles forment au milieu de cette foule de dauphins joyeux et joueurs. Un moment de communion absolument magnifique, un de ces moments qui restent dans le cœur et la mémoire !

meditationDe retour au centre et après le repas, nous nous regroupons dans la salle de méditation afin de travailler sur un double problème de dissonance que nous avons rencontré aujourd’hui. Ces dissonances qui entraînent une baisse du niveau vibratoire, non seulement pour soi, mais aussi pour toutes les personnes autour de soi.

Ce travail nous permet de bien prendre conscience de l’importance d’être dans de bonnes et hautes vibrations lorsqu’on fait quelque chose, comme rédiger un mail par exemple, pour de ne pas distribuer notre pollution au(x) destinataire(s).

Après ce travail je me suis mise à monter très fort en fréquences et Jésabelle a dû procéder à un soin particulier, à la suite duquel j’ai continué à monter jusqu’à entrer en résonance avec les guides de mon plan vibratoire qui m’ont fait passer un message par son intermédiaire.

Si vous croyez que ce message est du style bisounours, peace & love, vous vous fourrez le doigt dans l’œil jusqu’au coude et au-delà, ces loulous sont plutôt du style commando d’élite ! Et, si le but de leur message était de me faire réagir, ils ont réussi, je suis très en colère avec un profond sentiment d’injustice… d’autant plus que je ne saisis pas l’es-sence de ce message.

Nous terminons notre après-midi par des exercices que l’on réalise sur nos bouteilles d’eau, sur notre corps pour expanser nos corps énergétiques… Une nouvelle canalisation (mais pas de mes guides cette fois) avec de nouveaux cadeaux énergétiques et nous partons nous reposer avant le repas.

hibiscusUn repas toujours aussi beau et aussi délicieux ! Alors que nous nous installons après les 30 secondes habituelles de partage avec Karen et son fils, je prends une fleur d’hibiscus et la glisse sur mon oreille en disant à Jésabelle, « ça c’est pour essayer de les amadouer, mes loulous ! ». Elle sourit, moi aussi, mais ma colère était toujours présente, jusqu’à ce que je mange une soupe trop épicée pour moi, qui a mis le feu à mon palais ! Feu contre feu, ma colère a disparue ! ^^

Fatiguée, je m’endors comme une bûche.

Pétroglyphes et bain sacré de guérison…

Dimanche 8 janvier 2017,

Nous y revoilà ! La journée de dimanche se passe en deux temps : le matin, randonnée dans la réserve archéologique des pétroglyphes de PUAKO et l’après-midi, bain sacré de guérison dans la baie de HAPUNA BEACH.

Au lever, première constatation : je ne peux pas appuyer mon pied au sol ! Ah… pour marcher ça va être un peu duraille, aujourd’hui !^^ Je demande à Karen si elle n’a pas des béquilles, par hasard, vu tout ce qu’elle a dans sa trousse de premier secours…  La réponse et non, mais elle me prête deux bâtons de marche qui feront office de cannes !

Départ 8 h 30 et à 10 h, nous arrivons dans le parc. Cette matinée est dédiée à l’éveil des mémoires anciennes, lors d’une randonnée hautement vibratoire au contact des pétroglyphes. Les pétroglyphes sont des gravures effectuées dans la lave, composées de formes anthropomorphiques ou non.foret puako_r

Lorsque nous arrivons sur le site, de nombreux pétroglyphes sont déjà visibles bien avant même de prendre le sentier de randonnée dans une drôle de forêt !

Les pétroglyphes déclenchent chez moi de véritables « scud » énergétiques des pieds à la tête !

En voici quelques exemples.

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Après la canalisation du matin, Jésabelle me recommande, compte tenu de ma mobilité réduite, de retourner en bord de mer les attendre. À petits pas, accompagnée de mes (wooden/walking) sticks, je m’en retourne au bord de l’eau.

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Centrée dans mon cœur et focalisée sur le bruit des vagues, j’en profite pour respirer profondément et mettre ma cheville au repos sur le banc ! Privilège et joie immense, j’aperçois le souffle d’une baleine, ou plutôt à la forme du jet, le souffle d’un baleineau, un « juvénile » ! J’en profite au maximum jusqu’à ce qu’il reprenne le grand large.

Jésabelle et ses dames reviennent et me transmettent les vibrations du jour. Waoow, quelles sensations ! Encore une fois je suis obligée de maîtriser ma respiration pour ne pas décrocher. Merci à vous toutes mesdames pour ce partage !

Retour au van ou Rayleen nous attend pour nous emmener à la plage de sable blanc, (enfin, le sable des plages du Grau du Roi, de la Grande Motte ou de Carnon, quoi ! Mais c’est vrai que comparativement à la plage de sable noir, il est blanc ! ^^) à Hapuna Beach, pour le bain sacré de guérison de l’après-midi.

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Nous nous installons sur un coin de plage (dans le bouquet d’arbres, à gauche de la maison au toit vert, la plus à gauche sur la photo) avec des bois flottés en guise de sièges et prenons notre déjeuner, puis nous allons au bord de l’eau et au soleil. Nous bénéficierons, tour à tour, d’un temps privilégié dans l’eau, avec Jésabelle qui effectuera le soin et la reconnexion adéquate pour chacune d’entre nous.220px-Shaka-sign

17 h, retour au Centre. À chaque fois que Rayleen croise une connaissance, elle fait ce geste qui signifie bonjour !

Diner, puis je passe un peu de temps avec ma filleule et dodo car demain c’est un nouveau jour en mer !^^

 

The Kahuna Falls center

 Dimanche 8 janvier 2017,

Avant de vous parler de cette nouvelle journée, je vais prendre le temps de vous présenter le centre car vraiment il est très beau dans cet écrin de végétation.

Voici la salle de méditation appelée le temple ainsi que la douche extérieure.

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Cette même salle vue du jardin.

jardin

Cette superbe douche vue de l’extérieur et de l’intérieur.

douche exterieure_r

interieur de la douche exterieure_r

La coursive qui fait le tour du bâtiment principal.

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La cuisine ou Karen et son fils préparent les délicieux repas.

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La salle à manger et le salon.

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Une des vérandas devant les chambres

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La chambre.

chambre

Extraordinaire lieu de ressourcement, non ? Et surtout rien que pour nous !

Il me reste à présent à vous parler de pétroglyphes et de bain sacré… ce sera pour demain !^^

 

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